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invitation pour le festival en corée


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je vous transmets à tous le message suivant de la part de RaphPlessis

Bonjour a tous.

Nous sommes bien arrives a bon port malgre quelques peripeties limite epiques qui vous seront narrees a notre retour.

Ici l ordinateur ne donne pas acces a Webarcherie, et je commence a hair tres serieusement les claviers en coreen.

En tout cas c est ENORME.

On loge dans une chambree de 8 avec 3 tcheques pas en bois mais en ronflememts bien sonores. J ai meme l honneur d avoir des ronflememts polonais dans mon oreille gauche.

la meteo est tres favorable et les conditions ideales pour l instant.

Il y a manifestememt des vraies pointures du tir a l arc traditionnel qui viennent, impressionants tant par leur culture que par leurs qualites d archer. Et un bon paquet de participants qui sont surtout la pour le cote echange culturel, certains quittant leur pays pour la premiere fois de leur vie.

Les tanzaniens avec un materiel tres rustiques sont super gentils, les peruviens avec des fleches amazoniennes font des degats aux paillons. Ca vient vraimemt de tous les coins du monde.

Ce matin on part pour les demonstrations, alors je vous laisse, a bientot si possible.

RaphPlessis

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Guest arc à hic

chouet' l'outil à redresser les futs des flèches :108:

c'est pas tombé dans l'oeil d'un aveugle

Edited by arc à hic
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:20: ça à l'air vraiment super !!! tous ces archers de partout dans le monde, tant d'arc et de couleur différentes! :wacko::wub:

Le paradis des archers, en plus l'ambiance à vraiment l'air d'être au top !!

Y a t il une autre édition en prévision?

En plus avec Raph dans notre délégation (je n'ai pas le plaisir de connaître les autres) c'est la fine fleur des gentilshommes français que l'on envoi ! :108:

Eclatez vous bien les copains et faites nous encore plein de belles photos !

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Salut tous

Un petit message rapide avant de reprendre l'avion.

C etait vraiment GENIAL. :YAHooo:

Des rencontres avec de vraies pointures mondiales, des vrais spécialistes, des enthousiastes ...

On vous postera des liens de photos au plus vite, mais pour un compte rendu complet c'ètait tellement riche qu'il faudra du temps pour l'écrire.

Signalons la création de la WTAA, World Traditional Archery Association.

On a pris des contacts avec des gens de partout et on aura des possibilités de rendez-vous en europe dont je vous parlerai.

A très bientôt

Edited by RaphPlessis
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Et puis on sent bien que c'est son talent pédagogique qui s'exprime :rolleyes:

DSCF0069.JPG

"Alors, l'appareil photo il fonctionne comme ça, et puis voilà la photo qu'on a prise sur le petit écran de l'APN...

Et si tu veux on peut faire d'autres photos..."

Edited by ishi78
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Ben on a une réputation et un standing à assumer en tant que français à l'étranger.

Mais si je vais commencer le texte de nos péripéties coréenne, je peux déjà vous livrer une petite partie en primeur.

" Mes vaillants compagnons et moi même avions donc décidé de passer une nuit supplémentaire à Busan, nous avons donc demandé que des chambres d'hôtel nous soient réservées.

Ce qu'on n 'avait pas prévu, c'est qu'on irait passer la nuit dans un "love hotel", un lieu de détente pour couples si vous préférez l'expression.

Notez que la réceptionniste n'eût pas l'air surprise quand nous avons demandé une chambre pour 3 hommes, certainement blasée...

Le premier mot que put dire notre grand Wendat en entrant en premier dans la chambre fût "Mais c'est une blague?".

Pénétrant dans la chambre derrière lui, je fus aussi surpris de voir en tout et pour tout un seul et unique lit, grand, certes, mais rond...

"

A suivre... :whistling:

Edited by RaphPlessis
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WTAF 2008, rapport et petites histoires.

L'équipe française est composée de Anne, Jean-Marc, Emmanuel, Wendat et moi même. Alvaro, le seul espagnol, voyagera avec nous.

Jour J-1.

10h00. Départ pour l'aéroport avec mon tube de 16x220cm. Il passe tout juste dans la voiture de mon beau père mais en faisant preuve d'imagination on arrive à le caser. Il reste à savoir si ce tube ne me fera pas arrêter par la sécurité de l'aéroport.

10h30, Je suis au comptoir de FINNAIR pour récupérer mon billet. Le tube nonchalamment posé à mes cotés choit dans un bruit terrible, panique au comptoir, les passants se figent. Mine de rien, je finis de discuter avec la charmante hôtesse d'accueil et je fonce vers les enregistrements.

10h35. Je trouve Wendat au milieu de la file d'attente pour enregistrer les bagages, j'en profite pour le rejoindre et court-circuiter une dizaine de personnes. Comme souvent, personne ne bronche, il faut bien que mon gabarit ait au moins un avantage dans ce voyage. Alvaro nous rejoindra au comptoir, il reconnaîtra aisément les 2 balèzes avec les gros tubes à nos pieds.

Parlons en de ces tubes.

D'abord je suis bien étonné de voir Wendat avec un tube jaune pâle, bien loin de la superbe réalisation qu'il a posté sur le forum quelques jours plus tôt. Il s'avèrera que ladite peinture a obstinément refusé de sécher.

Ensuite ces tubes étant un tantinet trop grand au goût des bagagistes, ils seront voué à partir par un circuit spécifique destiné aux bagages « oversize ». Jusque là rien de bien grave, en pratique on va découvrir que ça ne va pas nous simplifier la vie, loin de là.

A l'enregistrement, les personnels de Finnair nous disent que les bagages suivront automatiquement les 2 correspondances et qu'on les retrouvera à notre arrivée à Busan. Vérification faite sur les autocollants apposés sur les paquets, ils ont bien le code de l'aéroport de Séoul puis celui de Busan.

Pour faire simple, disons qu'on a décollé avec un peu de retard mais qu'on avait largement le temps pour la correspondance à Helsinki. Wendat et moi souffrons un peu du manque d'espace pour les genoux, mais c'est un vol inter Europe relativement court, nous prenons notre mal en patience.

A Helsinki, joie, le passage en douane réservé aux ressortissants de la CEE nous permet d'éviter une file d'attente, pleine d'asiatiques.

17h30. Embarquement dans l'avion pour Séoul et là mauvaise surprise au carré. Primo les places sont encore plus étriquées que dans le premier vol, secundo Wendat et moi sommes côte à côte, on finira le voyage façon frères siamois avec les genoux de l'un tatoués dans les cuisses de l'autre. Pour faire bonne mesure, au milieu de la nuit la passagère du siège devant Wendat se rendra compte que le siège du fauteuil peut basculer vers l'arrière et le fait d'un seul coup, broyant ma rotule droite. Bloqué par la jambe de Wendat je crie de douleur, Elle préfère éviter de me regarder sous un flot d'insultes bien pesées. Je passerai une bonne partie du séjour avec une douleur persistante dans ce genou. Au milieu du vol des formulaires de douane nous sont remis. Devons nous déclarer nos arcs et arbalètes comme arme ou non, débat et finalement aucune case ne sera cochée. On posera la question aux douanier sur place...

(A suivre)

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Jour 1

08h25 Arrivée à Séoul. Au débarquement une hôtesse de la compagnie Asiana Airlines nous dit que nous devons reprendre nos bagages. Saisis d'un doute, nous allons vérifier sur le tapis de récupération des bagages et surprise, nos valises y apparaissent elles aussi. Evidemment pas les tubes. Ils doivent sortir par un tapis spécial adapté. Nous allons les attendre près d'une heure et demie. Passant en douane, personne ne semble comprendre notre question sur la formulaire de déclaration et on passe donc sans insister pour éviter des palabres inutiles. Jusque là pas de souci, on a encore le temps de s'enregistrer pour la correspondance, quoique...

Quoiqu'on ne trouve aucun comptoir d'Asiana Airlines ouvert. Ils y sont bien, mais désespérément vides. A force de poser des questions à droite et à gauche, on nous dit qu'il faut changer d'aéroport. Un peu comme d'atterrir à Roissy pour reprendre l'avion à Orly. Sauf qu'il faut près de 40 minutes pour y aller en transports, qu'il faut trouver la bon train ou bus, bref on est bien près de rater l'avion.

Désespérés, nous allons au comptoir de bus et nous sommes interpellés par un chauffer de taxi qui nous propose de nous embarquer pour un prix négocié. Une chose que nous ne ferions jamais seuls mais à 5, on est en confiance. Nous l'informons qu'on a une correspondance dans très peu de temps, il nous répond qu'avec de la chance on y arrivera. Il a un van mais les tubes seront assez délicats à faire entrer. Chargement express du van et en voiture pour l'aéroport. Le chauffeur nous redemande notre horaire de vol et va un peu pousser pour y arriver. 150 km/h au lieu de 110 et dépassements sur la bande d'arrêt d'urgence nous permettront d'arriver juste à temps à l'aéroport de Gimpo. On aura dépassés tous les bus de l'aéroport en chemin. Alors qu'on vide le taxi, Anne se précipite au comptoir pour réserver nos places. Dans l'urgence elle se précipite vers un comptoir réservé aux privilégiés, mais l'hôtesse accepte gentiment de s'occuper des tickets et de l'enregistrement. Elle aura bien du mal à cacher sa grande émotion en voyant débarquer le reste du groupe avec les tubes surdimensionnés. Nous transportons les tubes vers la douane et avons bien du mal à expliquer ce qu'ils contiennent. Les douanier nous laissent enfin passer, je crois qu'ils ne voulaient pas se compliquer la vie surtout pour un vol dont le départ était très proche.

11h10. Embarquement au triple galop dans l'avion pour Busan, joie et bonheur je ne suis plus à côté de Wendat, enfer et damnation je suis à côté d'un beau bébé de près de 2 mètres et encore plus large, le genre bucheron suédois. Heureusement le vol ne dure qu'une heure.

12h05, enfin nous arrivons à Busan. Devant le tapis de récupération des bagages des guides du TAFISA nous attendent. Le gros événement sportif dont le WTAF n'est qu'une partie nous prends en charge et nous dirige vers la sortie. On attend juste de voir sortir les tubes et là mauvaise surprise. J'avais scotché des tubes en carton sur le côté de mon tube, remplis de flèches. Le tube a manifestement subit une grosse chute et un des tubes carton est ouvert. Heureusement il était plein et les flèches coincées dedans, il s'avèrera que je n'ai ai perdu aucune. A peine remis de mes émotions, je pousse le chariot vers le hall et me trouve happé dans une tourmente faite de drapeaux français et de cris féminins. Une bonne vingtaine de femmes nous accueillent avec fleurs et acclamations. Nous apprendrons par la suite qu'elles font partie du club de supporters officiels des français. Il semble que ce rôle ait été distribué à diverses églises. Chaque église ayant la tâche de supporter un pays. Si j'arrive lâchement à pousser Anne et Jean-Marc au premier plan pour recevoir le bouquet, je ne pourrai pas esquiver l'interview TV avec le reporter coréen qui me demande ce que je pense de la Corée alors que je viens d'y poser le pied. Enfin nous récupérons les badges que nous garderons autour du cou pendant la semaine à venir. Emmanuel, arrivé par un autre vol, nous rejoint. Nous sommes tous ravis d'être enfin arrivés à destination.

Le seul souci est de rentrer à 7 dans un van, bagages compris. Un vrai miracle qui verra Anne sur les genoux de Bruno, les autres étant coincés sous un mont de bagages. On aura un gros moment de flottement quand le chauffeur s'arrête au milieu d'une avenue pour demander son chemin à un balayeur. Finalement l'arrivée à bon port nous voit face à un gros bâtiment qui s'avère être le centre de formation de transports locaux. La distribution des chambres nous attribue une chambrée de 8 pour Alvaro, Bruno, Manu et moi. Une grande chambre pour 4, c'est super, mais on nous indique vite qu'on aura des tchèques et un polonais en plus. Ambiance assurée. Je planque donc la bouteille de marc de Bourgogne que j'ai amenée et vais à la découverte du bâtiment pendant que mes camarades goûtent à un repos bien mérité. Je trouve un ordinateur en self-service mais qui ne donne pas accès à Webarcherie, dommage. J'y rencontre un australien et un japonais, un coréen, Daniel se joint à nous. On fait les présentations et on commence à discuter, ils sont rodés et étaient déjà présents l'an dernier.

C'est à ce moment précis que la magie commence à opérer.

On ne se connait pas, on parle un anglais approximatif, mais on est tous unis par une même passion qui nous a fait parcourir le globe entier pour se retrouver à cet endroit précis.

Et ce fait se vérifiera sans exception pendant tout le séjour.

A force de discuter il se fait soif, je retourne à la chambre prendre la bouteille et revient dans le couloir. Problème, on n 'a pas de verre. Qu'à cela ne tienne, un distributeur d'eau proche nous offre des cônes en papier qui feront l'affaire. Du moins c'est ce que je m'imaginais. Il s'avère vite que l'alcool perce le cône et qu'il faut absolument boire cul sec au plus vite.

La réputation des français commence à prendre corps. Ce ne sera qu'un début.

L'heure du dîner nous mène au self local, au menu soupe, riz, incontournables, ils seront nos ingrédients de base pour chaque repas. Découverte douloureuse, le cuistot s'est endormi sur la paquet de piment. Il s'avèrera que c'est la norme, pénible à subir parfois. Des baguettes en inox, typiquement coréennes, et une cuiller à soupe permettent de déguster à une allure modérée les plats. Pour la boisson, une armoire vitrée regorge de petits verres en acier inox. Elle indique qu'ils sont stérilisés par des rayons UV.

Juste après le repas, accablé de fatigue je retourne dans mon lit pour commencer une longue série de nuitées sonores qui s'enchaîneront sans discontinuer avec une progression de volume hélas inéluctable.

A suivre...

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Jour 2

Le réveil à 7 heures ne pose pas de problème, on est tous levés depuis 6 heures. J'ai passé une assez bonne nuit, mes camarades qui ont dormi l'après midi ont eu plus de mal. Le petit déjeuner servi de 7 à 8 heures ressemble à s'y méprendre au dîner de la veille. Seuls quelques céréales et boîtes de lait font passer le repas. Des petits pains sucrés sont accompagnés de confiture assez astucieuse : composée de 2 petits paquets, quand on les plie l'un contre l'autre la confiture coule sur le pain. Hygiénique et pratique. Par contre ni thé ni café. Plus tard je croiserai un canadien qui me soufflera l'emplacement de LA machine à café.

La journée est dédiée à l'arrivée des participants au festival, on envisage donc d'aller faire un peu de tourisme en ville. Mais un terrain de football proche nous attire irrésistiblement. Dans un coin sont posées 2 cibles qui n'attendent que des volontaires pour les percer de flèches. Je laisse mes camarades français aller en ville pour rester tirer avec les plus fanatiques. Le temps de prendre mon matériel, je retrouve sur le terrain un groupe d'africains venus de Tanzanie. Ils sont superbes dans les tenues de sport toutes neuves, marquées au nom de leur pays. Seuls 2 d'entre eux parlent anglais, ils encadrent le groupe d'archers. Mais leur sourire et leur bonne humeur naturelle feront tout le travail. Grosse erreur de ma part, je consent à leur faire essayer mon longbow, un d'entre eux veut utiliser une de ses flèches, elle explose à la décoche. Encoche trop faible. Par contre ils s'amusent comme des gamins à tirer sur une cible. Leur arc peint en jaune et bleu ne paye pas de mine, ils reste bandé en permanence. Leur technique est plutôt surprenante, ils tirent en se jetant en avant. Seul petit souci, ils semblent avoir bien du mal à extraire leurs flèches de la mousse. Et pour cause, ils utilisent des pointes barbées, leurs pointes de chasse. Cet entraînement matinal permettra de faire connaissance avec des archers arrivés la veille, allemands, canadiens, péruviens... Les péruviens aussi sont venus avec du matériel directement extrait de la jungle amazonienne. Etonnant de voir ce jeune indien tirer avec son selfbow et ses longues flèches à pointes de bois dur, dans le plus pur style de l'arc olympique, ancrage sous le menton et palette comme avec un arc classique.

Le repas de midi passe avec la rapidité de l'éclair, on décide de faire une petite virée en groupe dans un petit centre ville proche. Premier arrêt, la sortie du métro directement dans un supermarché qui comporte un fast food proposant du café à gogo. Arrêt inévitable pour la bande franco-germano-suédo-espagno-canadienne. Choc culturel garantit, les building grouillent de publicité éparpillées dans un joyeux bazar inorganisé, les boutiques qui veulent faire chic arborent un nom français. Les coréens semblent adorer la France et sont ravis quand je leur dit venir de Paris. Gerlinde, une allemande, a commandé des nouveaux verre pour ses lunettes à un prix défiant toute concurrence. Il semble que ce soit vraiment hors de prix en Allemagne. Dernier arrêt avant de rentrer, une boutique de glaces. Il y a divers pots de tailles variées, Gerlinde en choisit un de taille honorable, rempli de glace au thé vert. La vendeuse commence à planter plusieurs cuillers dans la glace, Gerlinde lui fait comprendre qu'une seule suffira. La coréenne estomaquée lui tend alors le pot, elle manque de tomber à la renverse quand je lui demande la même chose avec une seule cuiller moi aussi. Second round pour la réputation des français.

De retour au BTC, je retourne avec Alvaro sur le terrain de foot et on se refait une session de tir sympa. Rejoints par des tchèques déjantés qui s'avèreront partager notre chambre, on finit en tir nocturne.

Je passe vite sur le dîner, je commence alors à avoir un doute sur ma capacité à supporter la popote de la cantine pendant 8 jours.

Tout de suite après, cérémonie d'orientation et de bienvenue. Les gentils organisateurs se présentent à nous, discours de circonstance, acclamations à chaque délégation. Présentation du déroulement de la compétition et remise de diplôme aux arbitres nommés pour la circonstance. Le coréen que j'avais rencontré le premier jour est le chef arbitre.

De retour dans la chambre, on videra une bouteille d'hydromel tchèque, excellent.

Tout le monde se couchera rapidement, le voyage a été long pour tout le monde et la journée suivante promet d'être éreintante.

A suivre...

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