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Voyages et Archerie


Ladybow
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J'aimerais vous parler d'Avatar le dernier film de Cameron très attendu il sort le 16 décembre 2009

Film de SF

J'ai visionné la bande annonce et il y a pas mal d'archers...

voici le synopsis

Sur la lointaine planète de Pandora, Jake Sully, un héros malgré lui, se lance dans une quête de rédemption, de découverte, d'amour inattendu, dont l'issue sera un combat héroïque pour sauver toute une civilisation.

hâte d'être au 16 décembre....

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je suis allée voir ce we l'exposition Teotihuacan au musée du quai Branly et je vous la recommande.

les objets qui y sont présentés sont vraiment exceptionnels

de nouvelles découvertes grâce à des fouilles en 2002 permettent d'éclaircir un peu la vie de cette cité des dieux...

il y a notamment des pointes de flèches en obsidienne et deux propulseurs en bois...

je vous laisse un lien sur picasa pour voir quelques pièces

http://picasaweb.google.fr/isabelle.micale/Teotihuacan?authkey=Gv1sRgCOq2yY6EjJO77gE&feat=directlink

"L’exposition rassemble environ 450 pièces exceptionnelles de la culture de Teotihuacan, grande cité de l’Ancien Mexique que de récentes découvertes ont permis de mieux connaître.

Les objets sont présentés par thématiques successives permettant aux visiteurs de découvrir cette cité antique, et de comprendre son fonctionnement, le rôle et l’influence qu’elle a eue dans le monde méso-américain.

Cette exposition unique présente des pièces qui, pour la plupart, n’ont jamais été présentées en Europe, et dont certaines étaient encore inédites au Mexique jusqu’à leur présentation à Monterrey de septembre 2008 à janvier 2009. Les objets sont issus à 95% des collections mexicaines et à 5% des collections européennes (collections des musées ethnographiques allemands et du musée du quai Branly à Paris).

date: du mardi 6 octobre 2009

au dimanche 24 janvier 2010

horaires: mardi, mercredi et dimanche de 11h à 19h ; jeudi, vendredi et samedi de 11h à 21h

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  • 2 weeks later...

Aujourd'hui je découvre ce peintre pratiquement inconnu et qui a peint des archers...

Fernand Pelez, la parade des humbles

Le Petit Palais accueille une exposition inédite consacrée aux peintures et dessins de Fernand Pelez (Paris, 1848 - Paris, 1913).

"Ses toiles captent la misère au coin des rues : le petit marchand d’oranges, le vendeur de violettes ; sur les visages, la fatigue, la faim… " :dans un "Appel aux Montmartois" l'écrivain Patrick Cauvin nous encourage à découvrir ce peintre de Montmartre . Jusqu'au 17 janvier.

Elevé dans le quartier des Batignolles auprès d’un père artiste illustrateur, Pelez s’est formé aux règles académiques à l’école des Beaux-arts, puis a centré son œuvre sur les figures du Paris populaire qu’il côtoyait à Montmartre où il installa son atelier : Femmes, enfants, clowns et acrobates, jeunes danseuses de l’Opéra offrent leurs figures ingénues ou lasses à l’imaginaire picaresque de ce peintre des humbles.

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  • 3 weeks later...

Voilà un article paru dans le Monde.fr

Cannibalisme de masse découvert dans un site préhistorique allemand

07.12.09 | 18h01

Près d'un millier de personnes auraient été victimes de pratiques ritualisées de cannibalisme, au Néolithique, vers 5.000 ans av. J.-C., sur le site de Herxheim, dans le sud-ouest de l'Allemagne, selon une étude publiée dans la dernière édition de la revue scientifique Antiquity.

Des fouilles réalisées sur ce site en 1996-1999 avant la construction d'installations industrielles et commerciales, puis de 2005 à 2008, ont permis de découvrir les restes de quelque 500 individus, alors qu'à peine la moitié de l'aire a été explorée.

Au total "plus de 1.000 individus" seraient concernés, selon Bruno Boulestin (Laboratoire d'anthropologie des populations du passé, Université de Bordeaux-1, France) et son équipe de chercheurs français et allemands.

Ils ont examiné précisément les restes de six adultes (dont au moins un homme), deux enfants (5-7 ans et 15 ans) et deux foetus retrouvés dans un des "dépôts".

Les traces sur les os témoignent de tentatives d'enlever les chairs ou de couper des ligaments ou tendons "similaires avec des pratiques de boucherie sur les animaux", relèvent les chercheurs qui concluent que les dix occupants de ce dépôt "ont été cannibalisés". Certains os auraient été rongés.

Il ne s'agit "pas du tout du canibalisme alimentaire", a précisé à l'AFP M. Boulestin, mais de "quelque chose d'extrêmement ritualisé".

"Ils ont découpé des corps, ils ont cassé les os pour récupérer la moelle, ils les ont mangés", insiste-t-il, mais "il ne s'agit pas seulement de cela".

En effet, les ossements humains sont "déposés de façon extrêment ritualisée, avec des céramiques qui viennent de très loin, des bris d'autres objets, des éléments d'animaux qui sont très sélectionnés" (cornes, pattes de chien, mandibules de carnivores), "tout ça est manifestement extrêmement codifié", ajoute-t-il.

Des anthropologues allemands avaient auparavant conclu à des pratiques funéraires.

Pour M. Boulestin, il est "impossible que ce soit une mortalité naturelle", compte tenu des âges des individus ("trop d'adultes et de grands enfants", jusqu'à "16 adultes dans certains dépôts"), leur mort simultanée étant peu vraisemblable.

Sur ce site abritant plusieurs dizaines de "dépôts", ces phénomènes de cannibalisme se seraient déroulés en "moins de 50 ans".

Sans exclure la possibilité de sacrifices humains, il relève que "c'est quelque chose d'extrêmement compliqué à démontrer en archéologie".

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  • 5 weeks later...

MMX ANNEE DU TIGRE

Un homme regarde un tigre grandeur nature, mardi 12 janvier. Cette œuvre, réalisée par l’artiste chinois Eao Quo-qiang est actuellement exposée au musée des Beaux-Arts de Taïpeh. Selon le zodiaque chinois, l'année 2010 est l'année du tigre, qui commence le 14 février.

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  • 2 weeks later...

Nous sommes en plein festival d'Angoulême, alors je vous présente une BD toujours dans le but de vous faire voyager... avec quelques planches...

Titre : La saison des flèches

Scénario : Stento, Samuel

Dessin : Trouillard, Guillaume

Couleurs : Trouillard, Guillaume

Editeur : Editions de la cerise

Dépot Légal : 11/2009

Par D. Lemétayer

Mettez un Sioux dans votre vie ! En 1879, Irving McMulligan, parangon du self-made-man à l’américaine, inventait un procédé exclusif permettant de mettre les Indiens en conserve. Grâce à la Mulligan’s Tradition Inc., le rêve américain s’exporte désormais dans le monde entier. Qui refuserait en effet "Le Far-West à la maison pour 19 euros seulement", surtout quand la boîte existe aussi en format familial !

Pour ce couple de retraités poitevins, la tentation est bien trop grande, mais l’appartement ne l’est manifestement pas assez. A mesure que la famille indienne prend ses aises, improvise un canoë dans le buffet ou dresse un tepee dans le salon, le couloir prend des allures de canyon et la cuisine est progressivement colonisée par des chercheurs d’or qui n'hésitent pas à dynamiter les canalisations. La voisine du dessous ne tarde pas à se plaindre d’infiltrations d’eau. Il n’en fallait pas plus pour que déferlent les services de l’immigration (et de l’identité nationale) : c’est qu’à la différence de l’Ouest sauvage, il est exigé, dans l’Occident modernisé, que l’on justifie de son identité et de la régularité de son séjour… L’appartement est assiégé, le vestibule occupé. Le petit groupe doit se retrancher dans les forêts de la chambre à coucher. C’est de survie dont il s’agit désormais, d’une ultime insurrection de l’imaginaire, quand bien même la résistance serait dérisoire ou la guerre déjà perdue.

Avec beaucoup de rigueur et de minutie, Gabriel Stento et Guillaume Trouillard s’emploient à décrire un univers burlesque où chaque situation est poussée à son extrême absurde : autant de variations surréalistes sur des thèmes qui imprégnaient aussi le précédent album de Guillaume Trouillard : Colibri. Dans ce dernier, préfigurant les conserves d'humains de La Saison des flèches, apparaissait déjà, sur l'une des dernières planches, un indigène pêchant des sardines en boîte sous les flashes des touristes. Ici, tandis que de vastes plaines repoussent les murs, que l'aquarelle s'émancipe des contours du crayonné, il est encore question du rapport de l’homme à la nature, de l'urbanisation effrénée et du mépris pour les peuples premiers. Le paternalisme vaguement condescendant du colonisateur est ainsi mis en scène au travers des quelques extraits édifiants d’un mode d’emploi, d’un dépliant publicitaire ou des illustrations confondantes d’un livre d’histoire. A parcourir leur carnet de bord, nos charmants retraités paraissent aussi hésiter un temps quant à la conduite à tenir, sans que l’on sache si leur revirement est inspiré par le mythe rousseauiste du bon sauvage ou par la charité bien ordonnée que commande la morale bourgeoise. C’était, il est vrai, avant la visite du photographe ethnologue Edward S. Curtis (The North American Indian), lequel, au début du XXe siècle, avait pris conscience de l’importance de faire connaître au monde les traditions amérindiennes sans pour autant les réduire à des attractions parquées dans des réserves ou les mettre sous vide dans des cylindres de corned-beef à longue conservation.

La Saison des flèches inaugure un nouveau genre : le "western d’intérieur". Décapant.

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  • 2 weeks later...

Article paru dans 20 minutes

On a peut-être retrouvé la célèbre armée de Cambyse. La disparition dans le désert égyptien de ce souverain Perse avec ses troupes en 525 avant J.-C., fait partie des plus grandes énigmes de l'Antiquité. 50 000 hommes s'étaient brusquement volatilisés lors d'une redoutable tempête de sable ! Deux archéologues italiens, à la recherche de ces guerriers mythiques depuis 1996, ont annoncé avoir mis à jour à la frontière entre l'Egypte et la Syrie des centaines d'ossements, de restes d'armes et des tessons de poteries datés du VIe siècle avant JC qui pourraient leur avoir appartenu. L'une des plus grandes énigmes de l'Antiquité est-elle sur le point d'être résolue ? L'historien Hérodote avait lui-même raconté l'épopée légendaire de cette armée lancée contre le temple d'Amon pour se venger de l'oracle qui refusait de reconnaître la souveraineté de Cambyse sur l'Egypte. Aucun soldat n'avait réchappé au sable brûlant soulevé par les vents violents du désert. Il y a quelques années, un archéologue égyptien avait déjà mis à jour dans la même région une série de pointes de flèches, des fragments de parures équestres et une boucle d'oreille achéménide datés de la même période. Les archéologues italiens vont désormais tenter de localiser l'ensemble de l'armée.

Persepolis-Takhte Djamshid (Prov. Fars, Iran), Palace of Darius I-Tachara (Achemenid, built under Darius I 522-486 BC; completed under Xerxes I).-Lance bearer of the Immortal Guard.-Detail from the relief at the southern staircase./ G. DEGEORGE / AKG

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Mort de Felice Quinto

retour en arrière Rome 1960...

Felice Quinto, un paparazzi tente de photographier Anita Ekberg....

voilà comment elle le reçoit....

article paru dans le Monde.fr

Transpercé par Anita Ekberg ! La photographie en noir et blanc a été prise à Rome, le 20 octobre 1960 ; elle a fait le tour du monde. L'actrice suédoise, qui vient de triompher dans La Dolce Vita, de Federico Fellini, surgit de sa villa, comme une furie, en robe noire et pieds nus, à 5 heures du matin. Elle tient dans la main un arc et elle se jette sur un homme pour lui donner un coup de genou dans l'aine. Auparavant, elle a tiré une flèche qui l'a atteint à la main. Cet homme, muni d'un lourd appareil photo armé d'un flash, c'est Felice Quinto, surnommé "le Roi des paparazzis". Le photographe de célébrités est mort, le 16 janvier, des suites d'une pneumonie, aux Etats-Unis, à Rockville (Maryland). Il avait 80 ans.

Ironie du sort : Felice Quinto aurait servi, précisément, de modèle à Fellini, pour inventer le personnage de Paparazzo, dans La Dolce Vita. Le cinéaste connaissait d'autres spécialistes de la photo volée de stars. Mais il est vrai qu'il fréquentait Felice Quinto depuis une dizaine d'années, et qu'il l'a vu à l'oeuvre, parmi la meute de confrères, durant les nuits agitées de la via Veneto, à Rome. Il lui a même proposé de tenir un rôle dans La Dolce Vita"contre 1 000 lires", selon le photographe. Ce dernier déclina - il y fait juste une apparition de badaud -, au motif qu'il gagnait beaucoup plus d'argent avec son métier, en vendant ses images aux magazines italiens.

Situation cocasse : le photographe tient sa place dans le paysage de La Dolce Vita, et, en même temps, il surprend Anita Ekberg, dans un café de Rome, en train d'embrasser un producteur marié ; la photo fut publiée. C'est là que naît la réputation d'un double Felice Quinto : courtois et portant costume de marque le jour, voyou la nuit. Il disait : "Il n'y a pas d'amitié dans la nuit. Le matin, les stars que j'ai photographiées ne se souviennent pas de mon visage."

Felice Quinto est né en avril 1929 à Milan, ville où ses parents tiennent une boutique d'appareils photo. Interrogé, en 1985, par le Dallas Morning News, sur sa formation au journalisme et à la photographie, il répondit : "Mon unique école était la nécessité de manger." Ses premières commandes, en 1955 : des portraits de l'actrice Silvana Mangano et de la danseuse Katherine Dunham.

Capter ses proies

Il devient paparazzi à Rome, capitale du cinéma et des stars, au milieu des années 1950. Avec son physique de bûcheron trapu, il invente quelques "trucs" pour capter ses proies sans se faire prendre : se cacher dans les buissons, porter des déguisements, sillonner Rome en scooter.

Felice Quinto s'installe aux Etats-Unis en 1963. Il travaille pour l'agence Associated Press, à laquelle il avait vendu quelques images de stars à Rome, sur des sujets plus classiques du photojournalisme : les funérailles de John Kennedy, Martin Luther King et le mouvement pour les droits civiques des Noirs. Felice Quinto fait aussi sensation, en 1978, quand il arrive à photographier le pape Paul VI mort, que l'on est en train de mesurer avant la fabrication de son cercueil.

Mais c'est son travail sur les célébrités qui restera. Dans les années 1970, il les photographie non pas caché dans la rue ou au restaurant, comme à Rome, mais à visage découvert au Studio 54, "la" boîte de nuit de New York à l'époque, connue pour ses fêtes folles, animées par des célébrités. Il saisit notamment Liza Minnelli et Bianca Jagger, dans des costumes sexy et flamboyants et devient une sorte de photographe officiel de cette cour noctambule, à la fois novatrice et décadente. "Quinto a fait de nous un phénomène médiatique, avec des images qui ont fait le tour du monde", a déclaré Ian Schrager, le cofondateur du Studio 54. Pour preuve, ses photos, tirées en format géant, ornent la reconstitution du Studio 54 au sein du MGM Grand Hotel & Casino de Las Vegas. Un livre de 1987 garde aussi la trace de ses photos au Studio 54.

Comme d'autres paparazzi ont pu le faire, Felice Quinto change du tout au tout sa relation aux stars : il ne les traque plus, il leur tire le portrait en confiance. Il fut même, dans ces années 1970, le photographe personnel de l'actrice Elizabeth Taylor.

Il arrête la photographie en 1993 et se retire avec sa femme dans la petite ville de Montgomery Village (Maryland). Loin des stars et des nuits baroques. Avec le temps, comme d'autres encore, ses photos de paparazzi ont été montrées dans des expositions et des musées. Il regrettait les dérives marketing, formatées, contrôlées de la photo de célébrités. "Le public veut voir ces images-là et, en plus, il y a trop d'argent à gagner avec."

Avril 1929

Naissance à Milan

1955

Premiers portraits : Silvana

Mangano et Katherine Dunham

1954

Devient paparazzi à Rome

1960

Altercation avec l'actrice

Anita Ekberg, à Rome

1963

Rejoint les Etats-Unis

où il travaille pour Associated Press

Années 1970

Photos au Studio 54,

à New York

16 janvier 2010

Mort à Rockville

(Maryland, Etats-Unis)

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Bonjour à Tous

juste une info pour ceux qui sont sur Paris aujourd'hui

A 18h le museum national d'histoire naturelle propose une projection gratuite de "la chasse au lion à l'arc" de Jean Rouch en 1965 suivie d'un débat

l'entrée est libre dans la limite des places dispo

A l'Auditorium de la grande galerie 36 rue Geoffroy st Hilaire 5e métro Jussieu

bonne séance

descriptif

"Les chasseurs Songhay, une caste héréditaire, ont seuls le droit de tuer le lion. Les bergers ne peuvent que lui lancer des pierres pour le faire fuir. Les Peul estiment que le lion est nécessaire au troupeau, et ils savent identifier chaque lion à ses traces. Mais, quand un lion tue trop de bœufs, il faut le supprimer, parce que c'est un lion tueur" (J. Rouch). De 1957 à 1964 Rouch suit les chasseurs Gaos de la région de Yatakala et le film retrace les épisodes de cette chasse où technique et magie sont intimement liées : fabrication des arcs et des flèches ; préparation du poison ; pistage ; rituel de mise à mort. Mais le vieux lion tueur, dit l' "Américain", réussira à déjouer tous les pièges et les Gaos atteindront seulement deux de ses femelles. Après la chasse les hommes racontent à leurs enfants l'histoire de "gaway gawey", la merveilleuse chasse aux lions.

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  • 4 months later...
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Dernière minute

Découverte surprise d'une structure en bois près de Stonehenge

LONDRES (Reuters) - Des archéologues ont découvert une version boisée du monument préhistorique mégalithique de Stonehenge, en Grande-Bretagne, a rapporté à Reuters le responsable du projet.

A l'aide de la technologie virtuelle, les archéologues ont mis en évidence un nouveau fossé circulaire à moins d'un kilomètre de l'actuel célèbre cercle datant de la période néolithique, il y a 2.000 à 4.000 ans.

"Cette découverte est remarquable", a estimé Vince Gaffney, professeur d'archéologie à l'université de Birmingham et chef du projet. "Cela va complètement modifier la façon dont nous envisagions le paysage autour de Stonehenge", a-t-il ajouté.

L'équipe a mis au jour des trous d'un mètre de large creusés dans la terre qui auraient servi à dresser des poteaux en bois.

Le monument mesure 25 mètres de diamètre, soit cinq mètres de moins que Stonehenge. Selon l'équipe, il aurait été construit à la même période.

Gaffney n'a pas exclu la découverte de nouveaux vestiges.

"Je n'ai aucun doute. Stonehenge n'est pas seul. Nous avons un immense paysage virtuel (à explorer)", a déclaré Gaffney.

Cette découverte entre dans le cadre d'un projet de plusieurs millions d'euros étalé sur trois ans visant à dresser une carte virtuelle du site.

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  • 1 month later...

Bonjour,

j'espère que vous avez passés de bonnes vacances

Pour la rentrée, Je vous entraîne au Sri Lanka.... avec un peuple à découvrir... Les Wannitala-Aetto

allez voir le blog

http://lescarnetsdemisha.over-blog.com/article-une-journee-chez-les-veddas-au-sri-lanka-54340583.html

Ils vivent dans la forêt tropicale à l’est du massif montagneux central du Sri Lanka. On admet qu’ils se sont installés au Sri Lanka plusieurs millénaires avant l’arrivée des Cingalais et des Tamouls qui dominent à présent l’île. Les étrangers les appellent communément les ‘‘Veddah’’.

. Comment vivent-ils?

Jusqu’à récemment, les Wanniyala-Aetto vivaient dans leur forêt, où ils chassaient le cerf, le sanglier et d’autres animaux ainsi que des oiseaux, et où ils collectaient du miel, des fruits et des noix.

Ils pratiquaient aussi une forme d’agriculture sur brûlis, défrichant dans la forêt de petits lopins de terre appelés ‘chenas’ pour y planter des céréales, des légumes et des tubercules.

Les familles se déplaçaient d’un lopin à l’autre chaque année, retournant au même endroit tous les sept ou huit ans. Aujourd’hui, les Wanniyala-Aetto habitent dans des villages à l’extérieur de la forêt.

Ils ne peuvent plus pratiquer la ‘chena’ et ne disposent plus que de petits lopins de terre où cultiver du riz et des légumes et élever bétail et chèvres.

Ceux qui chassent et collectent encore dans la forêt risquent arrestation et violences, mais pourtant beaucoup continuent de le faire. D’autres sont employés sur les terres des colons cingalais ou exécutent des danses et vendent des babioles aux touristes. Certaines femmes travaillent comme domestiques au Moyen-Orient.

A quels problèmes sont-ils confrontés?

Dans les années 1950, le gouvernement du Sri Lanka a ouvert le territoire des Wannyala-Aetto aux colons cingalais. Les forêts furent rasées au bulldozer, les terrains de chasse inondés et des milliers de colons vinrent s’installer.

En 1983, le dernier refuge forestier des Wanniyala-Aetto devint le parc national de Maduru Oya et ses habitants furent déplacés dans des villages gouvernementaux, avec l’interdiction de retourner dans la forêt sans autorisation.

On leur a également interdit la chasse et la cueillette. La transition vers ce nouveau mode de vie n’est pas allée sans difficulté et de nombreuses familles parviennent tout juste à produire assez de nourriture sur les petits lopins octroyés par le gouvernement. Les enfants sont éduqués dans la langue et la religion de la population cingalaise dominante.

Alcoolisme et maladies mentales sont monnaie courante dans ces nouvelles communautés. A partir de 1998, quelques hommes ont obtenu des permis de chasse et de cueillette sur une petite portion de leur forêt, mais ceux qui ne disposent pas d’un permis continuent de risquer amendes et emprisonnement s’ils sont découverts.

Ces dernières années, trois Wanniyala-Aetto, tous détenteurs d’un permis, ont été abattus par des gardes du parc. De nombreux Wanniyala-Aetto désirent retourner sur leur terre de Maduru Oya.

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Petit reportage sur l'Arc Trap

Redbow et moi avons testé la machine Laporte...

Premières impressions... C'est génial et on y prend vite goût...

C'était lors d' une compétition d'ARCTRAP organisée par Marc Rouget pour la première fois dans la région près d'Artenay.

Elle a eu lieu les 28 et 29 aout 2010, à Orgères en Beauce 28.

Mes excuses aux Dindes d'Auneau, on n'avait pas réalisé que c'était si proche de chez vous... sinon on vous aurait prévenu...

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