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Voyages et Archerie


Ladybow
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un peu d'histoire...

l'idée de cette machine vient de trois copains qui habitent Nice. Ils ont imaginé le concept de cette machine pour l'archerie

ils ont contacté l'entreprise Laporte qui a mis trois ans à mettre au point cette formidable machine.

l'un des concepteurs était présent il s'appelle Emmanuel Ogier j'espère que je n'écorche pas son nom!!!

le voici...

remarquez que quand la flèche atteint le disque, elle le renverse pour le faire tomber d'une manière horizontale comme cela les flèches sont protégées et ne se brisent pas...

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le déroulement...

il fallait avoir un minimum de six flèches

chaque personne devait tirer 6 séries de six flèches tout seul face à la machine

l'arbitre prenait soin de ne marquer 10 points que quand la flèche avait pénétré le disque un toucher ne vaut rien

après les meilleurs archers étaient retenus pour une séance de mort subite dans les 16 eme de finale... le meilleur a fait 150 points catégorie enfant et oui... sinon cat homme 110 je crois...

qu'est-ce que la mort subite?

le premier qui touche deux fois le disque gagne...

en finale il faut toucher trois fois...

voilà en gros le règlement mais vous pouvez retrouver tout cela sur le site de Marc Rouget

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Patience !

Réponse lundi ....

Nous étions une vingtaine de participants dont de nombreux membres de l'ACAEL et l'ASCAL associations de chasseurs à l'arc d'Eure et Loire et du Loiret.

Plateaux de 25 cm à 12 m de distance au sol et entre 8 et 12 m de hauteur de façon aléatoire sans parler du vent qui vient compliquer encore les trajectoires...

Le tir me semblait facile au début car le disque plus lent que ce que j'imaginais avant mais après des touchés à 2 sur 10 j'ai fait des séries à 0 sur 10 sans comprendre comment faire mieux mais avec le sentiment de ne pas être dans le tempo quand c'est à chaque tir ou bien à gauche à droite au dessus au dessous...

Frustrant et agaçant mais le soir venu vous ne manquerez pas de compter les plateaux percés de flèche en plein vol en vous endormant.

J'aurais pas du essayer ... encore un sport addictif...

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C'est amusant et bien sympathique qu'il y ait ce genre de compétition. Faudra que j'essaye un jour... Merci pour le reportage !

Ce serait pas le 3° en arc droit avec des plumes d'un beau fushia qui touche en post #306 ?

Ah ce n'était pas évident !!! j'aurais aimé te confirmer mais non c'est le tireur de gauche...

on voit nettement la flèche fushia qui trépasse...

il faut essayer

c'était très fun!!!!

dés que Marc Rouget réfait un arc trap

on poste un message...

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  • 3 months later...

Aujourd'hui je vous entraîne en Finlande à Helsinski au musée du Design sur les pas d'une exposition...

... L'exposition traite de la chasse en Russie aux temps des Tsars

"les chasses du Tsar - Trésors du Kremlin"

http://www.designmuseum.fi/main.asp?sid=2&sivu=18&kpl=81&show=1

Si quelqu'un en sait davantage sur les arcs en Russie... il est libre d'intervenir...

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toujours dans les collections russes

mais cette fois si vous allez à Amsterdam

ne manquez pas cette expo

je joints un article du Figaro et une photo (Chevalier à l'arc (Ve siècle avant J.-C.). (State Hermitage Museum, St Petersburg)

La richissime collection du musée de Saint-Pétersbourg consacrée au conquérant macédonien est exceptionnellement présentée hors les murs.

(Envoyé spécial à Amsterdam)

Il fut grand, elle fut grande… Plus encore que Louis XIV, Catherine II de Russie admira Alexandre. Durant son règne, de 1762 à 1796, supplantant l'Ottoman, elle étendit la zone d'influence de son empire au Moyen-Orient. Son rêve ultime était de rétablir un royaume grec ayant pour capitale Constantinople. Dans ce but, elle prénomma son petit-fils Alexandre, l'éleva dans le culte du Macédonien et réunit tout ce qu'elle pouvait trouver concernant l'épdlopée exemplaire du fils de Zeus des berges du Nil à celles de l'Indus.

Ces 350 pièces sortent pour la première fois des réserves de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg. On peut les admirer cet hiver et ce printemps à Amsterdam, dans la vaste antenne de ce musée d'État installée depuis un an et demi dans un hospice du XVIIe.

La différence est nette entre les vestiges contemporains d'Alexandre - une seule pièce de monnaie frappée de son vivant a été retrouvée mentionnant son visage de profil sur une face - et les objets ultérieurs évoquant la légende. Les uns sont rares, les seconds abondants.

Dans le hall inaugural, Alexandre III de Macédoine (356-323 avant Jésus-Christ) est d'abord un prince Grand Siècle. Le voilà, format monumental et attitude héroïque, dans des cartons de tapisserie dessinée par Charles Le Brun ou dans des tableaux peints par Sebastiano Ricci. Ces œuvres fixent les idées, signalent qu'Alexandre est avant tout une métaphore du grandiose et du sublime.

Un deuxième volet le ramène à la réalité de son temps. Cette Macédoine où il est né, ses professeurs, ses héros, Achille et Hercule, ses idéaux. Magnifiques vases peints, statues, cuirasses et casques précisent ce cadre. Quant à l'or et aux bijoux, ils témoignent de la richesse et du raffinement de la civilisation dont il hérite.

Coups de foudre à répétition

Viennent ensuite les expéditions qui, en un peu plus de dix ans, vont mener en Orient l'enfant de la Grèce fédérée à la tête d'une armée de 50.000 hommes. Des objets venus d'Égypte et de Perse, des tribus nomades ou de Babylone illustrent les riches civilisations rencontrées. Sur un mur, une carte interactive et des écrans d'ordinateur guident le visiteur dans les méandres de cet incroyable itinéraire.

À chaque pas du conquérant, l'hellénisme se propage à une vitesse fulgurante. Au premier étage, où l'exposition est divisée en petites sections géographiques, des statuettes en terre cuite d'hommes, de femmes, de dieux, de satyres, de musiciens, d'amours ou des fragments d'architecture attestent du succès de cette culture grecque. Comment expliquer ces coups de foudre à répétition, révolution culturelle inouïe, d'une rapidité et d'une ampleur sans précédent? Par le fait que l'hellénisme ne s'impose pas mais, au contraire, se donne à qui veut. Sans doute est-ce là, par-delà l'audace et le destin si exceptionnels de l'élève d'Aristote, la vraie cause de la pérennisation de son mythe : au fil des sections, on repère ainsi Alexandre en pharaon ptolémaïque, en bouddha du Gandhara ou encore, des siècles plus tard, en Iskandar, beau prince enturbanné des miniatures perses. De telles métamorphoses ont également prospéré en Occident, dans le monde romain comme à certaines époques médiévales. Quant à la Renaissance, elle a bien sûr redécouvert les mille épisodes de ces temps glorieux par les textes. Et les a sublimés aussi bien dans la précision virtuose de ses minuscules camées que dans ses opulentes fêtes de cour. Où princes et nobles s'armaient de cuirasses en écailles d'ivoire, de rondaches, chefs-d'œuvre d'argenterie, et de casques à l'imitation grecque pour mieux s'investir à leur tour de la gloire inépuisable d'Alexandre.

Seule déception: celle de notre époque. Cette si belle exposition se conclut avec un extrait du mauvais péplum d'Oliver Stone dans lequel un Colin Farrell peroxydé fait un bien piètre héros.

Jusqu'au 18 mars, Hermitage Amsterdam, Amstel 51, Amsterdam.

Catalogue en anglais Museumshop Hermitage, 310 p., 35 €. Tél. : + 31 (0) 20 530 74 88 (www.hermitage.nl).

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  • 3 months later...

Bonjour

j'aimerais organiser un circuit en Mongolie pour juillet 2012

je sais je m'y prends un peu tôt mais j'aimerais avoir votre avis pour vous proposer un voyage sympa

je travaille avec une agence de voyage et c'est avec elle que je compte créer ce circuit qui sera orienté bien-sûr sur l'Archerie...

Nous irons dans un premier temps à Ulan Bator pour assister au Naadam

j'aimerais que l'on rencontre un champion de tir à l'arc et qu'on assiste à son entraînement

j'aimerais aussi que l'on puisse emporter nos arcs pour tirer là bas ( il faut des autorisations et je vais y travailler)

Aller dans la steppe vivre chez une famille ( les balades à cheval possible)

dans le nord de la région de la Selenge il ya les meilleurs artisans facteur d'arcs... il faut que je vois si c'est possible

il y a aussi des sites archéologiques que l'on pourrait aller visiter...

quinze jours à trois semaines...

j'attends vos remarques et suggestions

A bientôt

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Il faut que tu contacte Batmunkh à Ulaanbaatar info@mongolianarchery.com site : http://mongolianarchery.com

Il était en Corée, si je me souviens bien il ne parle que la langue de la perfide...

D'autre info demain.

A+

merci Wendat ce sera fait

je vais aussi contacter JP Mugg car je sais qu'il est allé là bas il a certainement de précieuses infos

A bientôt

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Voici une autre personne source : Alexander Amia il dirige une entreprise de tourisme en ULM et Paramoteur en Mongolie "Tour Fly Mongolia" (lui aussi en Corée ces trois dernières années )

Il est archer bien sûr et instructeur vol également.

Courriel : flymongolia@magicnet.mn

Site Web : www.flymongolia.mn

Téléphone mobile : 976-99045965

Téléphone fixe : 976-99195965

A+

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Voici une autre personne source : Alexander Amia il dirige une entreprise de tourisme en ULM et Paramoteur en Mongolie "Tour Fly Mongolia" (lui aussi en Corée ces trois dernières années )

Il est archer bien sûr et instructeur vol également.

Courriel : flymongolia@magicnet.mn

Site Web : www.flymongolia.mn

Téléphone mobile : 976-99045965

Téléphone fixe : 976-99195965

A+

le site web ne marche pas je ressayerais plus tard merci en tout cas pour tous ces contacts...

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  • 2 weeks later...

voilà un salon sympathique j'y suis allée déjà plusieurs fois

j'ai fait même un temps partie de l'association ABM.

Festival Partir Autrement 2011 : donner du sens au voyage

La quatrième édition du festival Partir Autrement, organisé par l’association ABM (Aventuriers du Bout du Monde) aura lieu les 2 et 3 avril prochains à Paris. Un rendez-vous incontournable pour partager les expériences de voyage des baroudeurs. Au programme cette année, plus de vingt projections de films de voyageurs, des débats, des conférences et des expositions sur ces voyages d’un autre genre, tantôt émouvants, tantôt engagés, mais toujours passionnants.

extrait guide du routard .fr

"Un festival pour les voyageurs

Des voyages originaux et solidaires

Voyageurs d’aujourd’hui et de demain

Pour en savoir plus

:: Un festival pour les voyageurs

ABM est une association qui réunit tout au long de l’année les passionnés de voyages autour de festivals, d’événements, d’excursions en randonnée et d’ateliers photos et vidéos, organisés partout en France. Elle regroupe près de 4 000 adhérents sur toute la France, avec 18 antennes régionales. Une association où vieux routards et futurs voyageurs se retrouvent, échangent, créent de l’émulation. ABM gère des centres de documentation et d’échange, avec conférences, projections, mais aussi ateliers pratiques (langues et photo).

Après le succès du Festival des Globe-trotters, lancé il y a près d’un quart de siècle par ABM, les adhérents ont eu envie d’un autre festival dans un esprit plus convivial, avec « plus de profondeur et de débat, dans la conviction du voyage » explique Didier Jéhanno, directeur de la revue Globe-trotters et fondateur d’ABM. C’est ainsi que le festival Partir Autrement est né.

Au programme de cette manifestation : une vingtaine de projections de reportages, des débats et des conférences avec les voyageurs qui ont réalisé les films, des stands et des expositions. Le but de ce festival est de faciliter les échanges et la proximité entre le public et les voyageurs et de permettre à ces derniers de raconter leur vécu de manière conviviale, autour d’une table ronde.

Cette année, environ 1 500 personnes sont attendues, dont 60 % d’adhérents. Moins centré sur le tourisme responsable que les années précédentes, le festival abordera de nombreux thèmes divers et variés, du couchsurfing aux bienfaits des plantes, traités par des voyageurs de toutes générations : il y en a pour tous les goûts ! Le festival Partir Autrement vous donnera des envies de voyages et, qui sait, peut-être aurez-vous LE déclic sur une destination à laquelle vous n’aviez jamais songé…

:: Des voyages originaux et solidaires

Parcourir l’Argentine à cheval, regarder un film projeté sur la voile d’un bateau au Sénégal, découvrir l’autre facette de l’Iran au-delà des clichés, celle des mini-jupes et des joueurs de beach volley, telles sont les idées de voyages hors du commun qu’ont eu Fanny, Pauline, Françoise et Marion. Ce sont des paysages ou des modes de vie insoupçonnables que ces voyageuses du bout du monde découvrent et nous font partager. Souvent, c’est le moyen de transport qui fait toute l’originalité du sujet. Car le tourisme responsable, c’est aussi l’utilisation de transports proches de la nature : à cheval, à vélo ou à pied.

Le festival met en avant des voyageurs solidaires, qui souhaitent faire de leur périple un projet utile aux autres : Sylvain a eu le projet émouvant de parcourir les sommets du monde pour son père atteint du cancer et décédé à la suite de sa maladie. Ses voyages sont aujourd’hui un moyen de défendre sa cause, celle de la lutte contre le cancer. Grâce à ce festival, on découvre des gens attachants, des « gens qui vont plus loin que le voyage pur et dur », confie Didier Jéhanno. C’est le cas également de Virginie, qui a réalisé trois clips sur New York intitulés « Le monde plein les oreilles ». Ce documentaire vise à partager des expériences de voyage avec les déficients visuels, à travers les bruits d’ambiance de New York. Cependant, le documentaire est destiné à tous : vous avez peut-être vu New York, mais l’avez-vous déjà écouté ?

Enfin, notre coup de cœur va à Olivier, qui a décidé de parcourir la France en passant par des lieux-dits aux noms évocateurs : Désespoir, Paradis, Enfer, Rêve… La preuve que le dépaysement est à portée de main, qu’on peut aussi voyager différemment sans aller au bout du monde et sans se ruiner.

:: Voyageurs d’aujourd’hui et de demain

Mais entre le projet abstrait et la réalisation concrète, il y a un monde… Qu’il n’est pas si difficile de franchir, surtout pour les jeunes. En effet, la plupart des aventuriers sont jeunes et c’est aussi cette génération qui est mise en avant durant le festival. Les jeunes osent davantage sauter le pas, et ce sont eux qui feront les grands voyageurs solidaires de demain, selon Didier Jéhanno, qui espère que le festival donnera envie à d’autres jeunes de tenter l’aventure. Une aventure qu’ils rêvent peut-être de vivre depuis longtemps mais qu’ils n’osent pas réaliser.

« Le but est de montrer que c’est accessible, facile et réalisable, explique Didier Jéhanno. Les gens nous disent qu’on a de la chance, mais ce n’est pas de la chance ! Il suffit de se lancer… ». Pour le directeur d’ABM, le voyage est une véritable expérience de vie formatrice : « les gens reviennent plus sûrs d’eux, différents, enrichis ».

Le festival Partir Autrement incite à aller à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont une autre culture, une autre vision du monde et de l’avenir, et qui proposent des solutions concrètes face à leurs difficultés. Être plus tolérant et ouvert d’esprit, faire connaître ces « porteurs d’espoirs » et les encourager dans leur projet, tels sont les principes du festival.

L’exposition de photos Esp’errance par exemple présente différents projets locaux à travers le monde, comme la construction de fours solaires en Bolivie. C’est cela, partir autrement. Ce festival nous donne des pistes, des idées, mais à chacun de faire son propre itinéraire, selon son budget, son expérience et ses envies…"

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je vous conseille l'expo Corto Maltese à la pinacothèque de Paris

l'entrée est un peu chère mais cela vaut le coup... on peut y découvrir les aquarelles d'hugo pratt

notamment celles de Papouasie Nouvelle Guinée

c'est superbe!!!!!

un ticket pour un voyage imaginaire et extraordinairement dépaysant.. :good:

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AUTRE EXPO

Odilon Redon

23 mars - 20 juin 2011

Exposition

Les Galeries nationales du Grand Palais

Un parcours chronologique pour (re)découvrir l'œuvre d'un des génies de l'art moderne : Odilon Redon.

De l'époque angoissée des Noirs (fusains, lithographies) jusqu'à la profusion colorée des dernières œuvres, Odilon Redon (1840-1916) a profondément marqué la génération symboliste, puis celle des Nabis et des Fauves, les jeunes peintres de la couleur. Il a été l'explorateur des méandres de la pensée, de l'aspect ésotérique de l'âme humaine, empreint des mécanismes du rêve.

L'exposition est organisée par la Rmn-Grand Palais, le musée d'Orsay et le musée Fabre, et réalisée en collaboration avec le département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France. Revenant sur l'évolution stylistique de l'artiste, des noirs aux couleurs, dans un parcours chronologique, elle réunit 170 œuvres remarquables (peintures, dessins, pastels et fusains) issues des grandes collections françaises et internationales (Allemagne, États-Unis, Israël, Japon, Pays-Bas, Royaume-Uni). Elle propose également des documents d'archives (photos, lettres, revues, ouvrages) qui permettent de reconstituer les liens d'Odilon Redon avec les intellectuels de son temps.

Elle sera présentée au musée Fabre, à Montpellier, du 5 juillet au 16 octobre 2011.

Commissariat général : Rodolphe Rapetti, conservateur général du patrimoine, chercheur associé à l'INHA.

Ouverture tous les jours de 10h à 20h, nocturnes le mercredi et le vendredi jusqu’à 22h. Fermé le mardi et le 1er mai.

Tarif : 11 € - Tarif réduit : 8 € - Gratuité pour les moins de 13 ans, bénéficiaires du RSA et du minimum vieillesse. Gratuit pour les demandeurs d’emploi dans le cadre de l’opération « Culture pour tous » soutenue par la Macif

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