le carreau ainsi qu'on l'appelle étant posé sur l'arbrier n'y tient dans une rainure que par son poids et parfois une languette de métal à l'arrière
donc pas de grand mouvement de bras sinon le carreau tombera - en clair, l'arbalète devra rester à plat pendant les déplacements, à la rigueur le nez en l'air à 45° puisque le carreau est pris à l'arrière - il est raisonnable de penser que l'arbalète armée peut se manipuler n'importe comment si le carreau n'y est posé qu'au dernier moment, dans le cas d'une course à pied ou à cheval par exemple (sécurité de manoeuvre)
pour le bruit et pour en avoir entendu, ce serait proche d'un "stang" sec, court et sans vibration derrière puisque la corde frotte sur l'arbrier
l'armement sera fonction de l'époque du récit - il y a eu des mécanismes à main, à crémaillère , à palan à manivelle, à levier etc
souvent il y a (eu) une ferrure à l'avant en forme d'étrier de cavalerie pour passer le pied dedans au sol
la posture dépendra du contexte - si ton héroïne est coincée sous une table, à cheval ou dans un arbre ............ un tir très incliné vers le bas ne peut se faire justement qu'avec cette languette de maintien à l'arrière sinon le carreau va tomber tout seul
le tir lui s'effectuera toujours arc bien horizontal, le carreau n'étant guidé que dans sa rainure, il pourrait partir de côté - l'arbrier lui peut prendre des angles raisonnables
l'entretien sera fonction du matériel donc de l'époque du récit - moderne, il supporte la pluie et la neige sans souci avant un séchage final - antique .... produits d'entretien adaptés aux matériaux ( bois métal fibres etc)
d'autres questions ?