bernard

Tu peux tailler tes encoches directement sur le fut, en les positionnant perpendiculairement au fil du bois. Je les tailles avec deux scies à métaux collées ensembles et je les termine avec du papier de verre. Une ligature en tendons ou en fil de lin sous l'encoche et le tour est joué.

Beau travail , BRAVO Attention avec les plumes de vautour, la détention de plumes d'espèces protégées est illégale... Je sais que c'est idiot, mais c'est ainsi :05:

Ca devait être sympa... et la boisson locale c'était quoi ? Bière de berce ou hydromel ? :03:

Sont bien fournis les marchés chinois... c'est pas par cheux nous qu'on trouve ça . Belle collection en tout cas

On peut aussi tailler le verre des bouteilles de champagne. Il est assez épais pour qu'en le retouchant par pression , on arrive à faire des pointes correctes. Les écrans de télé sont bien aussi, Verre au plomb légèrement bleuté, c'est parfait , Les cendriers en verre c'est bien aussi

Belles pointes :29: Pour la jonction , je ferais une sorte de pédoncule ayant la largeur de ton fût , rentrant d'un cm dans le fut . Une ligature en tendon et colle de peau et on peut tirer.

Des futs en cornouiller de 6,5 mm des plumes d'oies et des pointes en cornouiller de 6 grammes (environ) Ah non je suis hors sujet............. :19:

Oui il y a un gisement dans la massif central, j'ai oublié le nom du bled, mais l'obsidienne n'y est pas pure et donc pas taillable

l'obsidienne se taille comme du beurre par rapport au silex. Encore qu'il y a des silex plus facile à tailler que d'autres... Mais ne cherchez pas d'obsidienne dans la nature en france, il n'y en a pas en france, hélas.

Faites vos arcs , ce sera du sur-mesure.

Parfaite :24: :24: une photo de la jonction fut/avant-fut, c'est possible ? En tout cas bien d'accord avec toi que le montage en queue de billard est plus simple à faire que celui de Stellmoor... Il avient du temps à perdre en ce temps là :whistling:

entre horizontal et vertical...............

Qu'est ce que tu bosses... Pour l'instant ça ne manque pas de charme.

Moi je ligature, avant et arrière de la plume, et la base de l'encoche que je fasse les futs ou que je les achète dans le commerce. Celà me permet d'être sur que ma flèche ne me blessera pas et de penser seulement à mon tir... mais ce n'est que mon avis.

Sympa tes flèches, l'ours 88. Tes ligatures, elles sont en quoi ?

L'un n'empèche pas l'autre...........

Tu apprendra cite à connaitre Pierre, l'homme qui tape sur le clavier plus vite que son ombre, ce qui explique son orthogrphe parfois chaotique :37:

String, rien de plus simple, je fais mes pointes et les passe ensuite pendant environ deux minutes à quelques centimètres d'une flamme. Il faut juste éviter de les enflammer Il me semble qu'elle sont ainsi plus solides, mais le cornouiller est déjà un bois très dur et je n'ai pas fait une véritable étude sur leur durabilité :37:

C'est notre ennemi Thanatos le grand faucheur ????

Les pointes, en silex du bergeracois ou de la vallée de la Seine pas si facile que ça, mais une demi heure de boulot quand ça va bien. ligatures en tendon ou en lin et colle de peau. Ce sera tout pour aujourd'hui.

Une autre série, celles que je ne tire pas, enfin si, une fois , parce qu'une flèche est faite pour voler... Toujours un fut de cornouiller, je n'ai que ça et je m'en félicite. plumes d'oie blanche , décorations en faisan ou pintade et ligature en lin

désolé pour la photo au dessus qui est un peu grande. Les pointes sont en cornouiller, durcies au feu , passées au brou de noix et cirées. J'en casse une de temps en temps au niveau de la ligature, mais il ne faut qu'une dizaine de minutes pour en refaire une.........

Voici celles que je tire depuis deux ans: fût en cornouiller, plumes d'oiseau trouvé sur la route :109: pour celle de gauche, dinde pour les deux autres, ligatures en fil de lin et colle de peau

Le mamouth, il avait un sérieux gout de reviens-y... Sans rire je crois que chacun de nous a appris des autres et tout ça en se faisant vraiment plaisir

On a vu quelques randonneurs, mais sauf un(e), il sont restés dubitatifs, distants et muets, comme des porcelaines de Saxe aphones.