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Lyvelinois

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Everything posted by Lyvelinois

  1. Beau travail. Bravo. Je ne connais pas les dimensions, j'en ai un qui rentre dans les poches arrières des jeans et c'est très pratique (au-delà de 4 flèches, c'est moins top).
  2. Je suis d'accord aussi avec tout le monde. Je ne suis qu'un amateur qui fait des coutals pour s'amuser et se faire plaisir et non un spécialiste de la coutellerie. Seiji07, ton couteau est très sympa et le buis de toute beauté. Pour répondre à la question, Komank'ilafé ? Car le but des post est d'abord partager son savoir faire bien ou mal et ses expériences heureuses ou malheureuses. J'ai cherché pas mal de temps, essayé à la main et puis je me suis rendu compte que l'arrondi de la lame de mes piémonclous (merci, Corbeau pour le nom de baptême) avait tous peu ou prou la forme d'un arc de cercle de diamètre 100 mm. Comme j'avais une lame de scie de ce diamètre et de bonne épaisseur, je l'ai montée avec un axe usiné au tour à métaux sur ma perceuse à colonne (costaud et précise). J'utilise un tasseau bloqué comme guide latéral qui règle aussi la profondeur de la rainure et une butée pour arrêter la pièce au fond de la rainure. Le dos du manche est découpé après rainurage, le manche du couteau est tracé sur le bloc de bois, donc j'ai une face de référence. Pour régler : avec le réglage du plateau de la perceuse, j'amène le manche à fleur sous la lame (on a plateau, manche, lame), je règle le tasseau sur les tracés et la butée d'arrêt. Je retire le manche et avec la manivelle, je règle la hauteur de la lame. Bien sûr, j'utilise une pièce de même épaisseur pour faire des essais et quand tout est OK je pousse le manche avec les mêmes précautions que pour une dégau ou une scie circulaire : pousser avec un poussoir et avancer lentement. Je ne sais pas si je suis assez clair ???
  3. Si l'on doit appeler les choses par leur nom : comment appeler le premier"piémontais " que tu nous as montré (un des premiers Gill, je crois), qui possède 2 clous ? Quand on a une lentille plate qui vient se bloquer sur le manche, pas besoin de 2e clou. Mais si on fait un petit enroulement qui permet de raccourcir l'encombrement du couteau et de protéger la poche des trous intempestifs (cause de divorce), pour bloquer la lame en position ouverte que fait-on ? A moins de chiader vachement le manche avec l'intercalaire pour permettre à la fois de fermer le couteau et bloquer le couteau ouvert de façon esthétique, et bien on met quoi, bingo, un 2e clou. Et comment ça s'appelle alors, un 2 clous piémontais, un piémonclou ou autre. Sans rigoler, la coutellerie est pleine de ces hybrides, jusqu'à ce qu'une forme se stabilise en donnant un nouveau nom puis se déforme par d'autres influences (des couteliers (pros et amateurs comme moi) qui sont sur ce forum ou d'autres, font des couteaux où on sent plein d'influences - ce n'est pas un jugement de valeur - en mettant leur touche perso, qui plaît ou pas, et en ayant des couteaux très aboutis tant par les formes que les matériaux). Ceci n'est pas une réplique mais juste une réflexion. En vous remerciant de vos lectures.
  4. Je savais ouvrir une paul et mique en nommant ce couteau piémontais, ayant commencé mes activités coutelières par des piémontais pur jus, avec lentille ou zigouiguis divers. Ce couteau-là, un Lyvelinois désormais, est une évolution de mon travail. A quel moment les piémontais ont-ils évolué vers les 2 clous (ou l'inverse, j'avoue ma totale ignorance) ??? Je signale au vol qu'un 2 clous n'est pas plus simple à régler qu'un piémontais, la position du pivot et le contact lame-clous doivent être très précis, sous peine de voir la ligne du couteau détruite. Pour Terb : la lame est montée sur l'axe entre 2 rondelles en téflon, celles-ci assurent la friction et le maintien en position fermée. Merci de votre lecture attentive.
  5. Le dos La vue du ventre pour la rainure
  6. Après un peu d'absence de cette partie du forum (j'ai consacré pas mal de temps à la réalisation d'outils de tour à bois) et à la mise au point d'un système de fabrication sûr de couteaux piémontais en évitant la fabrication des manches en plusieurs couches. Celui-ci, un deux clous, mesure 11 cm fermé et 19 cm ouvert, lame de 20mm de hauteur sur 2 mm d'épaisseur, manche monobloc rainuré à la machine en buis un peu vieilli, axes rondelles et arrêtoir en acier. Les photos : Fermé Ouvert Un autre message suit
  7. Je me permets de mettre un petit grain de sel pour abonder dans le sens de Fabrice : je ne tire plus au propu, non parce que je ne fais pas de points (quand on débute, c'est normal), non parce que c'est la faute au matos (au cours des rencontres on a plein de conseils et d'indications, et ça m'amuse de bricoler du matos (j'ai du temps) mais parce que j'ai trop mal à l'épaule au cours de l'épreuve et encore pire le lendemain et c'est dû à mon âge grandissant. Je ne pense pas que si on pouvait tirer de plus près, je tirerais de nouveau. Je précise que je tire à l'arc souvent, 2 à 3 entraînemets/semaine plus les concours dominicaux.
  8. En stock, les vieilles lames de scie à métaux transversales sont assez pratiques : elles font 2 mm d'épaisseur et sont déjà bien droites. Si tu les usines tranquillement, en refroidissant souvent, tu peux faire des lames de pliants que tu n'auras pas besoin de tremper puisqu'elles le sont déjà. Le XC75 n'est pas trempé au départ, mais te demandera une trempe (avec un barbecue dans lequel tu mets des briques pour faire un petit foyer) et des revenus (dans le four domestique). C'est moins pratique dans un appart. Tu peux t'en procurer chez Eurotechni (dénomination DNH7 de mémoire, je crois).
  9. Quand tu vas la forger, elle va se détremper toute seule. Les traitements thermiques que tu dé cris se font après les noemalisations et la trempe, ils permettent que la lame reste trempée tout en gardant un peu de souplesse. Tu as une bible à portée de souris : www.coustil.free.fr
  10. Ces conseils sont déjà une bonne base, mais il n'y a pas que les dimensions, la qualité des bois utilisés, le profil donné à l'arc jouent aussi pour beaucoup.
  11. Après le pot-au-feu et dégustation, un tour ou deux dans le lave-vaisselle et c'est nickel. Ou alors trempage dans de la lessive de soude pour l'os cru (attention, ça sent un peu, je ne fais plus que la première suggestion... du chef).
  12. Une pointe reste une pointe quel que soit le diamètre de l'outil.Tu peux enfoncer + ou -, mais je crois que le but est de faire des points fins et jouer avec la densité des points.
  13. Je pense que si tu as du mal à tirer un arc traditionnel de 30 #, c'est que tu n'as pas le bon geste. Je te conseille de te rapprocher d'archers qui pourront te conseiller.
  14. Joli résultat pour ce concert à 4 mains. Bravo.
  15. Attention, un trafic clandestin important de chaussons a été remarqué entre Auneau et la Belgique. J'espère que la police ne s'en mêlera pas. Super l'accueil, le parcours, l'équipe des Daims, tout très bien quoi.
  16. C'est sûr, l'acier de roulement, ça résiste, mais ça donne de supers tranchants. Beau travail pour tout, j'aime beaucoup ton travail sur le manche. Une question, la garde en bronze, tu l'as coulée ou travaillé (à chaud, à froid) ? Faut que je m'y remette, faut que je m'y remette...
  17. La graisse de canard (ou de foie gras), c'est pas mal aussi. J'en ai toujours un morceau au congélateur. Par contre, pas laisser son arc près de chiens.
  18. Pour mon backstand, j'ai un moteur de 2 CV (1500 W je crois) et ça va bien. En le roulant à l'extérieur (bicoze poussières) je l'utilise aussi pour les arcs et ça va bien. Je pense que si ta poulie de sortie avait un diamètre plus important, tu aurais plus de vitesse. Sympa, ton bricolage.
  19. Merci pour le tuyau sur le passage humide et le temps de repos. Pour rayer le bois j'utilise du papier verre grain 40 que je passe dans le sens du bois. J'utilise ce duo et il est très pratique. On a le temps de faire son collage sans s'énerver et la cuisson au soleil marche bien. J'en suis à mon 3e lamellé et aucun n'a cassé, malgré une utilisation intensive et passage entre plein de mains.
  20. Enfiler lame sur une ou deux grosses pommes de terre la protègera d'un échauffement exagéré lors de la soudure à l'arc. Après, si tu rajoute du fromage, tu peux déguster une tartiflette originale. :banana:
  21. Très jolie reproduction. J'espère que le TOAI le traitera avec tout le respect qui lui est dû.
  22. Joli travail, peut-être à Auneau pour le voir ?
  23. Peut-être une encoche de corde déséquilibrée ?
  24. ça, c'est un couteau féminin : formes élancées et élégantes, lame piquante, manche dont les rondeurs incitent à le saisir fermement. Un couteau d'homme, quoi. Bravo à toi.
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