Flèche peinte

:06: .... Bon, quand même : Allez les Jaunards !!!

Pffff ! Mort de rire ! Et c'est tout ce que t'as trouvé comme excuse pour éviter de passer la tondeuse ? Je connais, ça ! On se la joue moitié écolo moitié botaniste (ma chère, mais comme ce garçon est cultivé, sensible et intéressant !!) et puis 8 jours après on se fait lamentablement piquer à gerber ses 12 Ricards sur les orchydées sauvages avec ses copains pochetrons ! C'est du propre, tiens !

En grande forme, Bigfoot !

Que vous en parlez bien, cher ami ! Le recurve, comme les vins, blancs, de Bourgogne, associe la rondeur à l'acuité, la vitesse au silence et l'homme à son plaisir. Merci pour le verre !

Le mythe est sympa bien que le personnage ne représente pas vraiment les prostituées de la ville mais une courtisane Italienne dont la présence sur place durant le concile est une pure invention romanesque de Balzac. Je m'interroge beaucoup sur les motivations des autorités municipales de Konstanz pour avoir fait ériger cette statue gigantesque il y a à peine 20 ans... Un différend avec le pape au début des années 90 aurait-il justifié que l'on ressorte de l'oubli les travaux d'un historien à propos des factures non réglées par les éminences dans certains établissements de la ville au début du XVème ? Genre "Je pratique le pardon des offenses, mais j'ai les noms...", au bout de 600 ans, ça révèle, pour ce qui est de la mémoire et de la conservation des factures, une certaine constance.

Il a dû penser que la perche tendue était un peu grosse, donc qu'il n'y avait que peu de mérite à s'en saisir...

J'ai retrouvé : Arcs 4, Fabrication des arcs "lamellés" J-Cl. Buisson (Emiletex sur le forum) Ed. Emotion Primitive, p. 139 : "Usinage des poupées Quand j'imprègne un arc, il me reste souvent un peu de résine et quelques chutes de tissu de verre. J'en profite alors pour imprégner ces chutes de tissu que je serre entre deux vitres pour réaliser des plaques d'environ 2 à 3 mm d'épaisseur...."

Quand j'ai des choses comme ça à faire j'utilise en effet du verre ou un plateau de marbre qui offre une surface bien plane, et, pour être sûr que ça n'accroche pas, je recouvre de scotch marron d'emballage, l'époxy n'accroche pas dessus. Il faut bien sûr être très soigneux en posant le scotch pour qu'il ne fasse pas de pli et que les bandes soient bien jointives. Je n'ai jamais osé essayer avec le verre seul mais je ne serais pas surpris que ça marche. Il me semble me souvenir qu'Emiletex préparait des renforts de poupées d'arc en résine teintée qu'il coulait sur des plaques de verre....

C'est vrai que c'est très soigné, genre professionnel, le montage et le polissage du bois. J'aime bien la courbe à l'avant du manche.

C'est vraiment de la belle ouvrage, nom de d'là ! Planqué derrière un pavois pareil on doit recevoir plus de bouquets de fleurs que de carreaux...

Pas de Crépy pour moi non plus, mon chantier là-bas est terminé plus tôt que prévu, j'ai quitté les lieux jeudi soir et n'y retournerai pas la semaine prochaine... En réalité c'est la déception de ne pas pouvoir affronter Pedro, Bigfoot, Zean-luc qui me fait renoncer...

deux plaquettes d'alu découpées exactement à la forme voulue, tu pince la plume entre les deux et avec une bougie ou un briquet tu crame tout ce qui dépasse...

Incroyable, ça fait au moins 35 ans que je pense que Blier dit "les volets verts", je viens de me revoir la scène ... les volets sont rouges. Je suis atterré ! Si ça se trouve je suis vraiment passé devant, la bagnole a même pu cahoter dans le cratère laissé par Teddy de Montréal et j'ai rien vu.... Quelle horreur ! Je peux même pas me prétendre victime de la maladie dégénérative qui rend les vieux liquides (j'ai oublié le nom), ou alors c'était vraiment une forme précoce ! Je vais entreprendre une thérapie à base de pomme.

Moi aussi mon pote j'y suis tété il y a 5 ans et j'avais guère le temps de flaner mais quand même je guettais par la vitre de la bagnole si des fois je voyais un petit bouclard avec les volets verts, prêt à faire une photo. Le chauffeur n'a pas dû prendre la bonne rue...

Ah oui, joil ! Dis-moi, ta cromignonne elle bossait où exactement ? Parceque j'ai entendu parler d'un établissement préhistorique...Une petite grotte du côté de Bien-Hoa, des peaux de bisons vertes, une patronne commack, comment que ça s'appelait, bon Dieu ?!... - Lulu la Magdalénienne ! - T'as connu ? - Et c'est devant chez-elle que Rahan-le-Cheval s'est fait éburner ! - Et par qui ? - Mimi-la-Châtreuse, une fondue qui travaillait qu'au poignard en silex !

Ha ben moi qui comptait sur l'effet de surprise pour vaincre, je suis foutu ! Bon c'est pas encore absolument certain que je vienne... Par exemple si la météo annonce des hallebardes, je resterai au fond de mon terrier (j'ai pas de casque assez grand pour me planquer entièrement dessous).

Ce n'était pas vraiment mon propos, même vraiment pas du tout. Je parlais de la relativité de l'intérêt qu'on peut accorder ou non à des images. En ce sens les photographies nous en ont toujours dit beaucoup plus sur les photographes et sur leur public que sur les sujets photographiés. Même dans un démarche ethno "à la Curtis", on n'y échappe jamais complètement. Cependant dans cette démarche ethno, les arrières plans sont là, qui eux ne posent pas, et font très souvent la valeur historique des documents. Ce n'est pas pour rien que ces arrière plans sont remplacés par des bâches/décor dans les studio. C'est pour que la photo ne disent rien d'autre que ce que veux dire le photographe. S'il faut parler de cette photo elle-même, il ne fait évidemment aucun doute qu'elle est posée et longuement préparée, qu'on a veillé au nombre des accessoires et qu'ils ne sont pas choisis au hasard. Ce choix des armes ne relève évidemment pas des temps de pause ni des traditions picturales mais de la mythification du personnage. Son attitude aussi. Lorsqu'on regarde des séries de photographies "de l'ouest" d'époque on se rend compte que sur les photos prises par le même photographe reviennent souvent les mêmes fusils, pistolets, et qu'il s'agit donc d'accessoires de studio. On parvient même à dater et attribuer des lieux et des auteurs à des photos grâce à ces accessoires connus Il ne fait non plus aucun doute que les portraits photographiques du XIXème et de la première moitié du XXème étaient systématiquement retouchés, les tirages et aussi parfois les plaques. Ce travail était une composante très importante du métier de photographe, au début du XXème, retoucheur était même devenu un métier à part entière. Je ne parlais donc pas de restauration mais de l'ancêtre de Photoshop, en cela rien n'a changé.

Peut-être qu'à l'époque il s'est trouvé quelqu'un pour laisser tomber du haut de son indulgence " ça fait quand même un peu studio Harcourt des hautes plaines". Aujourd'hui, comme c'est un document historique, il ne viendrait à l'idée de personne de déconsidérer la pose ostentatoire "avec armes et mythe" et les retouches abondantes dont les tirages n'ont pas manqué de faire l'objet. Peut-être même que le snobeur d'époque le mettrait aujourd'hui sur un forum, va savoir.

Salut à tous, Oyez ! Oyez ! bande de chenapans, Aujourd'hui, mercredi 9 avril, 20% du temps d'attente avant la livraison du Centaur sont écoulés. Il reste 289 jours, autant dire trois fois rien ( :38: ). Ce matin j'ai insulté des passants et j'ai mordu un chien mais ils l'avaient bien cherché à se parler en douce et à rigoler en me montrant du doigt et le chien il faisait rien qu'à s'approcher de mon territoire où j'avais fait pipi. Alors, bon ! Donc je vais bien, je tiens le coup. Le docteur dit que d'ici un mois ou deux ont pourra desserrer le collier en fer soudé à la chaine scellée dans le mur, si toutefois j'arrête de manger les planches de ma niche. Je vais faire un effort mais c'est dur... des fois les planches elles me regardent et elles parlent entre elles, alors je vais essayer de les ignorer mais faut pas qu'elles m"énervent, celles-là !! :102:

C'est précisément mon propos. Cette technologie "de pointe" permet entre autres de produire rapidement et pour des coûts très raisonables des prothèses de membres inférieurs arrachés par les mines et de les refaire régulièrement en fonction de la croissance des enfant smutilés, sur la base d'un scan 3D de l'éventuel membre restant. Or sur les chaines populaires de vidéo en ligne on ne voit toujours que des applications qui évoqueraient plutôt le soucis de pouvoir fabriquer d'autres mines, armes, bombes, munitions, lames etc. D'où ma proposition d'économiser les miroirs pour permettre à l'humanité de se voir en 3D.

Ces glands là devrait essayer d'imprimer un anus en 3D, ça leur économiserait un miroir.

C'était bien de celui là que je parlais, celui de Bernard, mais je n'ai pas souhaité mettre à mal l'ombrageuse modestie de notre ami avant qu'il ne se manifeste lui-même. C'est élégant, non ? ça te coûtera une rasade de rhum arrangé (et une sérieuse, on se connaît).

ça m'a l'air d'être du beau et bon travail ! Je n'arrive pas bien à voir sur la photo mais on dirait que tu fais des ligatures par simple enroulement sur le fût pré-encollé... c'est ça ? Sinon je ne vois pas pourquoi tu devrais attendre que la colle sèche pour couper les fils.. Si c'est bien comme ça que tu fais il y a une méthode simple pour faire des ligatures autobloquantes que tu pourras ensuite recouvrir de colle ou de vernis et qui seront beaucoup plus résistante qu'un enroulement simple qui risque quand même de se défaire à la longue. Un petit dessin : Tu commence par faire une boucle ( B ) plaquée sur le fût (tu peux la fixer avec un bout de scotch sur le fût pour qu'elle reste bien à sa place). Tu revient commencer ton enroulement au plus loin de la boucle. Quand tu as fait la longueur que tu veux tu passe l'extrémité ( C ) dans la boucle ( B ) et tu tire sur le bout ( A ) pour amener ta boucle sous la ligature. C'est bloqué, c'est serré, tu peux couper les fils qui dépassent.

Il arrive qu'on en trouve en jardinerie de ce diamètre là, le plus simple est de faire une recherche internet avant de se déplacer. Quand j'en ai trouvé c'était des longueurs de 2m. Il est bien sûr possible de faire un carquois dedans mais d'une part c'est assez lourd et d'autre part c'est un peu bruyant. Il faudra prévoir un truc à l'intérieur qui insonorise un peu. Pour faire des motifs, si on les fait dedans ce sera assez difficile et il est inutile qu'ils soient beaux car personne ne les verra. Il vaut mieux faire les beaux motifs dessus. Là, tout est possible, on peut faire de la pyrogravure, du décor à la flamme (lampe à souder ou pistolet thermique) avec des caches, de la dentelle découpée à la Dremel (ce qui aura en plus l'avantage de faire baisser le poids si on en fait beaucoup), du décor genre macramé à la ficelle tressée, de la peinture, de l'incrustation d'os, de corne, de perles, que sais-je encore... On peut y rajouter différents éléments décoratifs en cuir, en plume, en mandibule de renard, griffe de requin ou nageoire de tigre (éviter les mandibules de bison, les robinets en bronze ou les plaques de marbre, le poids est notre ennemi). J'en ai déjà vu de très élégants mais c'étaient des bambous de 5 cm de diamètre, largement suffisants pour mettre 5 ou 6 flèches et du coup, pas trop lourds. Bon travail !

Le problème avec ces gens qui veulent foutre du numérique partout c'est qu'ils sont tellement fascinés par la modernité de leurs machins qu'ils ne songent jamais à contrôler la validité des données qu'ils leur font bouffer. Alors forcémment, à la sortie les résultats sont aussi stupides qu'onéreux. Contrôlez vos fiches mon vieux, renseignez-vous. Quand vous saurez depuis quand exactement existe le championnat d'Europe de tir aux armes préhistoriques, vous nous aurez prouvé que vous savez intégrer une donnée fiable. Ce sera un bon début pour vous engager sur la voie du numérique. En ce qui concerne le forum, rassurez vous, là-aussi nous avons testé depuis longtemps. Et bien vous allez être surpris : ça marche !