Après un morceau de peau de joue du sanglier, je me suis essayé à l'épine dorsale d'un chevrillard, le tout à l'alun. Là grosse catastrophe car les poils partent par poignées, même sur la peau crue pourtant prélevée dans les 2 heures suivant le coup de grâce. J'ai eu plus de réussite avec un morceau de peau de chevrette, un de bête rousse et un de laie ragote. Mais pas encore de quoi faire un carquois, le but des ces travaux. La joue a servi à confectionner un protège lame de chasse.
Si quelqu'un sait comment faire pour éviter la chute des poils...
Pour les maux de dos, comme lame disque, j'utilise une pelle retaillée calée au genou contre un muret. En fait, ça fait surtout mal à l'épaule droite (d'arc, pas de bol !).
Ma source d'inspiration est "Le tannage des peaux de petite taille" de Jacques Sudre collection savoir et pouvoir, chez "La maison rustique".
Si tu ne l'as pas déjà lu, Oeil de Lynx, je te le prête dès nos prochains ragondins.
Merci aux courageux, courageuses qui postent conseils et photos didactitielles, tout n'est pas perdu !
