fred03800

Comment vas-tu faire pour régler l’épaisseur des coins ? (afin qu’els ne dépassent pas d’un coté ou de l’autre) Tu vas y aller à tatillon (en limant petit à petit, de quoi avoir chaut dans l’atelier) ou bien prévoir un peu plus petit et mettre des petites cales fines entre ?

Je ne vois pas bien sur les photos, pour bloquer l’arc, tu utilise 2 calles (en forme de « U ») et 2 coins ? Tu n’aurais pas une autre forme a faire pour les plaques de renfort de chaque coté de la noix, tes pièces en métal son bien travaillé sauf ces 2 rectangles de tôle qui ne sont pas terrible esthétiquement. J’ai également vu le scram le WE dernier, jolie réalisation.

Oké, Il faut donc en retenir que la corde doit toucher le milieu de la flèche lors de tout son parcours sur l’arbrier (d’un coté c’est logique). Sur mon arbalète c’est le cas (petit diamètre de corde) mais la flèche est dans une gorge et du coup la corde se retrouve bien centré pas à port à la flèche. Sur les jolie pièces de musé l’on voie des belles et grosses cordes : car (c’est un point de vu perso) la matière utilisé pour faire la corde ne permettent pas de faire plus petit est c’est peu être pour cela que qu’il n’y a pas de gorge sur l’arbrier (juste une encoche en bout d’arbrier et de l’autre coté c’est la noix qui s’occupe de tenir la flèche) le tout a fin que le point d’appuis de la corde ce retrouve centré sur la flèche. J’en déduis donc aussi que sur une arbalète puissante l’on peu mettre une petite corde (technologiquement possible avec le dacron par exemple) mais a condition que la flèche soie dans une gorge afin de la code ce retrouve centré par a port à la flèche. Donc un petit pence bête : flèche diamètre 8mm = corde de 8mm, sinon si code de 4mm il faudrait une gorge de 2mm. Je ne sais pas si je m’explique bien, mais qu’en pensez vous ?? (Du coté fonctionnelle et non du coté historique). Je suis également d’accords avec Fabrice que le point de la corde à moins d’influence sur une arbalète que sur un arc à cause de la course plus faible.

Pour ce fameu laçage j'ai désider de le refaire en cuir plus épais (et aussi de le passer à la sire, ce que j'avais deja pancé, mais pas eu le temps de faire).

Cela fait plaisir de voir quelque membre du forum en vrais et de pouvoir metre un visage sur les psedo du forum. Je regrete de ne pas avoir eu plus de temps pour parler, mais cela ma quand même motivé pour expérimanter plein de nouvelles choses.

Je pence également que cette pièce représente coup important (mes pourtant dur de faire sans). Sinon, Vinki, tu en es où de ce projet ?

Je suis d’accord avec toi que pour 30€ tu trouves de l’électrovanne à 15bar, mais dans les gammes pro tu en trouve du 400 ou 500bar (c’est par exemple la pression des bouteilles de plongé, et de divers mélange gazeux comme l’argon, co2, ,azote…). Bon oké par contre il faut compter 100€ ht voir plus.

Oula : Réalisation des vérins : ce n’est pas avec du tube de cuivre de 22mm(intérieur) que tu vas arriver à faire des vernis correcte, il faut un tube plus solide et surtout rectifié à l’intérieur à l’aide d’un tour (en fer voir en alu ou dural) Le piston également doit être plus épais pour ne pas ce mettre en biais (il doit être également rectifié. Que vas-tu utiliser comme joint ? (Torique,à lèvre…) 12bar de pression me paresses faible pour ce type de réalisation. Plus les piston seront petit en diamètre plus cette engin sera efficace (et le contraire plus les flexible d’alimentation et la valve sera gros). L’avantage d’un système comme cela serai de pouvoir utiliser les branche de l’arc comme un système de levier (en mettant l’axe du vérin à la moitié de l’arc ou même au 1/4 ou 1/3). Pour ma par je ferais plutôt : le vérin : corps tube acier 15mm intérieur, épaisseur 4mm, piston axe en alu de 8mm et la rondelle en dural de 14,95mm de diamètre et 3cm d’épaisseur équipé de 2joints torique. Les 2 branches de l’arc le plus léger et rigide possible (ex : alu, dural, fibre..) Axe fixé au 1/3 de la branche (à étudier) Pression d’utilisation 100bars voir plus pour avoir quelque chose de correcte au tir. Pour la vanne, une élécro-vanne de qualité devrait faire l’affaire. Le tous monter avec du flexible de 8 ou 10mm intérieur. Je pence aussi qu’il faudrait travailler avec pas mal d’allonge. Une réalisation comme cela demande beaucoup de temps, de précision et d’outillage (tour à métaux voir fraiseuse si l’on ne veux pas passer des heures avec une lime). De plus il faut passer beaucoup de temps à tracer des plans exacts et porter une grande attention sur la sécurité car à cette pression les choses peuvent devenir dangereuses !!!!! Ps : réalisable mais pas par un bricoleur du samedi soir (sans être méchant et prétentieuse, juste pour dire qu’il faut bien touché au bricolage et avoir un bon atelier bien fourni avec l’outillage adécouate).

• pour l’étrier je me suis inspiré d’enluminure (de même le l’arbrier) ex sur enluminure « Chanson de sainte Marie » daté de 1260-1270 et « livre d’heures » daté vers 1300 • Pour la fabrication de cet étrier j’ai un peu triché… mais il a bien eu une étape par la forge. • L’arc fait 68livre à 15pouce, et sur l’arbrier il n’est utilisé que à environ 65livre, et comme je le disait avant il y a 28 bruns de Dacron, ce qui est plus que suffisant pour cette puissance. • L’arbrier est composé de plusieurs essences de bois (hêtre, cerisier et frêne), je fait le placage et ce qu’il en ressort et un joli chevron qu’il reste a travailler comme ci c’est un monobloc (un ti peu plus dur car il fau faire les 2 cotés parfaitement symétrique sinon les différentes épaisseur de placage ne ressorte pas au même endroit d’un point de vu esthétique) Pour le laçage c’était la premier foie que je le faisais, je m’y suis repris à 2 fois (que). Je ne sais même pas si il y a un tuto la dessus. J’ai juste regardé les images d’une pièce de musée et puis j’ai testé…il faut une grande bande de cuire (épaisseur 2mm voir 2,5, et environ 2 mètre) et 1/2h de travail juste avant de manger (sa motive pour trouver la bonne technique plus rapidement si l’on veut manger chaud).

Oui, la ligature en cuir (qui je pence, n’est la juste pour faire beau) est basé sur de la doc histo. Sur le livre de Holger Richter (Die Hornbogenarmbrust) tu vois 3 arbalètes 15ème avec ce type de ligature en cuir. Un peu tardif par a port à mon arbalète mais bon j’ai pu me retenir de tester.

Cette aprèm je viens enfin de finir l’arbalète (étrier, ligaturage, rivetage et décoration). Les dimensions : Longueur de l’arc 97cm Longueur total (avec étrier) 107cm Poids 2120g (oups, j’ai oublier de regarder la puissance exact de l’arc, qui doit faire environ 65 livres) Je la trouve un peu lourde à mon goût (l’arbrier pourrait supporter un arc bien plus puissant). Coté tir elle est très douce et agréable, tir correcte (hormis mes flèches, il faut que j’en face des digne de ce non) Bref, voila quelques photos :

L’histoire ne dit pas tout, mais il devait y avoir des aléas !!

L’envergure le l’empennage me paré un peu grand, as tu repris des cote d’un model existant ? Les encoches où l’empennage est collé sont t-elle vrillé ? Le sens des fibres du bois n’est pas correcte sur ton prototype, en mettant les fibres légèrement en diagonale du gagnera en solidité (de plus les pièce de musé sont comme cela) Ps : le tilleul est un bois léger et fibreux contrairement au cerisier qui est assez dense et lourd.

Quelqu’un du forum a-t-il déjà testé les empennages en bois ? J’ais de joli lamelles de frêne de 2mm qui à mon goût iraient très bien pour faire l’empennage (léger solide et sur de petit dimension rigide, donc pas de déformation pendant le vole). Mais avant de me lancer dedans j’aurais bien aimé avoir des avis, il sont les bien venu, merci.

En revenant sur la fixation de la noix, Fabrice, as-tu résolu ton problème ? Perso dans ce cas je mets un axe (de 6mm généralement en stub) et je le perce à 4 voir 4,5mm puis une foi en place je ligature avec du fil de lin (de couture, bien plus résistant que le fil de « Brico-machin »).

Des projectiles enflammer sur des arbalètes je ne sais pas non plus, mais lors de la première guerre mondial, quelques soldas plus débrouillard et imaginatif avaient modifier des arbalètes et didoullié des projectiles pour y fixer une grenade affin de les envoyer plus loin qu’a la main dans les tranché adverse.

Moi aussi je suis curieux JMC, car plus la corde et grosse, plus elle est lourde, donc la puissance restitué à la flèche est plus faible car une partie et pris par la corde ! ?

La corde est en Dacron et il y a 28 bruns (plus que du double requi)

Pour une première, cela commence bien. A revoir sur la prochaine les proportions et un arbrier monobloc. (et puis cacher c’est vis moderne qui ne vont pas avec le reste) Mes 3 premières arbalètes étaient elles aussi avec des lattes en hêtre ça dépanne bien. Continu comme cela, tu es sur la bonne voie.

J’ai pas eu le temps d’en faire plus (toujours pas d’étrier) Ps : l’arc n’étant pas ligaturé sur l’arbrier, je n’ai pas fait attention à l’équerrage sur les photos. J’observe un léger déséquilibre, mais qui je pence, n’aura pas d’incidence sur le tir. (Sur les 2 photos l’arc n’est pas bien positionné et en plus cela accentue par effet d’optique le défaut). Comme on dit : AFFAIRE A SUIVRE AXE: C’est aussi une bonne solution que de rentrer l’axe en force, mais pour ma par je ne peu me permette que mes client démonte le mécanisme ou le modifie… (Sinon, je disais plus haut : mes axe font 6mm de diamètre mais pour compléter : chaque extrémité la partie qui sera martelé est réduite à 4mm, on petite rondelle et mis au préalable).

Oui, une par je pence a cause du bois : le frêne a plus de mémoire que l’if, et je pence aussi pour l’autre par que le bois à bien plus de contrainte que pour un arc traditionnel. Dans 3 semaine je vois Yves (le facteur de cette arc) et j’en parlerais avec luis avant de repasser commande, mais pour l’instant je ne connais pas mieux en ce qui de la qualité de ces lambeau. Une fois armé la courbe le l’arc me semble correcte, mais merci bien pour ce coup d’œil de connaisseur. Je vais refaire des photos.

Pour les axes, pourquoi à chaud ? (il sont dans du bois) Le matage ce fera très bien à froid, sinon pour info ce n’est pas du fer standard, mais du Stub (légèrement plus dur). Par contre Robin je ne comprend pas ta question (il doit ma manqué du vocabulaire d’archerie : « suivi » ).

Oui, pour la fabrication c’est beaucoup plus facile.

A oui, j’oubliais, le ligaturage (je pence que tu parle de l’autre poste arb 1470). J’utilise une corde à guinder de lin (et quant j’ai de chanvre) On trouve les bobine à 18€ le kilo, compter 4 à 5 arbalètes ou si vous commander à Berengier c’est du 8€ ht la bobine. Par contre je n’utilise pas la méthode de nouage comme sur un lien du forum. J’ai que un seul bout, pas de reprise. Le plus tendu possible. Une foie le ligaturage fait je le fini en passant de la paraffine chaude au pinceau + décapeur thermique, sa m’arrive de mettre de la cire d’abeille ( l’odeur et plus agréable, mais le résulta et un peu moins dur) Sinon en revenant sur l’arbalète de l’autre poste, il y a une variante car j’ai abord fixé l’arc à l’arbitrer, puis après en deuxième étape l’étrier au reste (on m’avais passé une photos d’une pièce de musé que j’ai taché de reproduire au plus fidèle d’après ce que j’ai pu en déduire).

Aujourd’hui j’ai un peu avancé, il me reste principalement l’étrier (faut que je trouve un beau faire et qu’il reste histo), laxe de la noix + de la que de détente à riveter et le ligaturage. Voila quelques photos : Détails de la noix Détails de la queue de détente Je pence la garder pour moi (sinon comme on dit : « c’est le cordonnier le plus mal chaussé ») L’arbrier devrait ramassé une belle patine avec d’autre couche d’huile de lin et un peu de temps. Ps : Fabrice, ne t’énerve pas, je ne pence pas la finir demain car pluie annoncé et ma forge est dehors, donc pas d’étrier.