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pierre51

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  1. Je viens de relire le début du post. La colle a lachée (surement inadaptée). Que crois-tu qu'il serait arrivé s'il avait tenté un début d'équilibrage à la mains? Je viens de réaliser que le décollement d'une enture n'as pas grand chose à voir avec "l'explosion" d'un dos, certain propos sont donc quelques peut décalés. ne pas m'en vouloir.
  2. L'afaiblissement cré par les chevilles me semble évidant et indiscutable. Je pensais à l'évitement de la possibilté de rupture de l'arc à la poignée, entre les chevilles, puisque justement ses forces de cisaillement vont fendrent le bois en long entre les chevilles. La colle maintient les surfaces de collage en supportant un fort cisaillement. Les chevilles déportent ces contraintes en forces longitudinale qui peuvent fendre la poignée, non l'éclater, ce qui provoquerait de dangereux éclats et vilaines bléssures. Je considère qu'un arc bien fait présente un risque de casse uniformément répartit sur toute la zone qui travaille, d'ou, une certaine rétissance avec les arc à poignée travaillante (surement injustifier). Et je trouve intéressant de comprendre la manière dont l'arc peux se briser mais n'y connai pas grand chose (je n'ai pas non plus cherché). Bien sur les colles modernes sont sérieuses, et, parfois, inspirent trop confiance. Elle auront toujours de possibles faiblesses (là je fais dans le parano, quoi que).
  3. Il est écrit dans arc 1 de placer les chevilles à mi-épaisseur de l'arc fini, je crois que cela maximise la solidité de l'arc. c'est quelle siècle? 20°? Si je comprends, la technique n'est compatible qu'avec des arcs "loisirs" (pas très puissant) et-ou (?) ne travaillant pas à la poignée?
  4. Pour ne pas trop perdre de bois, tu peux t'entrainer (sur du bois blanc, genre frênes - érables, courant et très corrects bois d'arc) à fendre et refendre puis à transformer en chevrons... Ca réchauffe. :ouf: :06:
  5. Au risque de dire une ânerie (je ne comprends pas bien la photo), les chevilles semblent localisées dans l'obier blanc et relativement près du dos. De plus, elles me semblent foncées comme le duramen. Si c'est ça, la fracture se comprend : le bois est fragilisé par inhomogénéité, conduisant ici à la séparation de l'obier et du duramen puis bris sur le point faible constitué par le mauvais collage déjà signalé. remarque à ceux qui estiment les chevilles inutiles : ici la rupture à eu lieux à coté mais en dehors de la poignée : aucun risque de blessure à la main. Ce détails pouvait avoir sont importances à une époque ou on pouvait casser plusieurs arc par an... Les chevilles ne renforcent pas l'arc, elles le sécurisent. C'est une idée, comme ça... Je doute que quelqu'un dispose de données statistiques permettant de répondre sur ce point.
  6. Je n'ai même pas cette consolation, en bon myope, je vois parfaitement de près (du moins, encore pour quelques années : avant de devenir miro et presbyte :107: :06: ).
  7. Tant qu'à ne laisser aucun doute sur l'étendu de mon ignorance, je suis bien incapable d'aller lire le post initial et je n'avais pas fait gaffe que le post avait été modifié (ce qui est poutant clairement indiqué).
  8. Baudelaire m'échappe complètemnt :pleure: , j'en regrette l'illestrisme notoire auquel je me suis réduis. N'ayant pas les référrences culturelles, je me marre 1/2 et pourtant plus que depuis bien longtemps.
  9. Le problème d'usure doit venir de la finition de l'encoche. As-tu pensé à adoussir les angles? Perso, j'utilise une lime de chaine à tronconneuse diamètre 3.5mm (je n'ai pas trouvé plus petit) pour tailler "patiemment" (car je ne me serre pas d'étau et là, avec une scie, mes doigts ) et faire le fond. Tu vas bien trouver une solution préservant ton tranche fil?... Si ce n'est pas déjà fait.
  10. Ceux qui auraient un doute peuvent tirer sur du bois vert ou sec avec une blunt dure pour constater les dégàts. Même avec une bonne blunt en caoutchouc, "la piétaille" va la sentir passée... seule la blessure est évitée pas la douleur. Merci pour eux.
  11. Ma deuxième phrase est maladroite ... :ouf: , difficile d'énoncé clairement ce que l'on pense de manière obscure. En termes techniques (trop dur pour moi, sur ce coup, de faire le lien entre théorie et pratique tout en étant "abordable pour tous") : je ne vois pas quel muscle, os pourrait subir ou exercer une force constante, permettre une vitesse d'execution constante, nécessaire à un mouvement "continu", lors de ce geste ... d'ou ma réaction sur ton propos "Le geste de tir étant continu et non immobile". La notion de mouvement continu a un sens en mécanique. Ici on aborde la bio-mécanique du sport, que je ne connais pas. Bravo, pour la largesse de ta pensée (d'autres m'auraient, je crois, envoyé bouillir...) :29: Merci, pour ces réponses des plus instructives (pour ceux qui aurons suivi car ici les évidences ce font rares :smart: ) . Désolé, pour ceux qui veraient de l'ergotage dans mes propos ... Pour aider les courageux : nous avons quitter la théorie balistique du tir pour nous intéresser à l'archer. Celui-ci n'est pas simple à abstraire. Il est pourtant essentiel dans la maîtrise de l'arc : c'est quand même lui qui tire. L'échange étant pluridisciplinaire, il est nécessaire de clarifier pour se comprendre. Le tout en restant accessible et vulgarisateur autant que possible, ce n'est pas rien. Chacun fait de son mieux, à son niveau. J'aborde certains sujet pour lesquels mon niveau est bien faible d'ou quelques "bafouillages" de ma part.
  12. Merci d'avoir remis le lien (il apparait déjà au début du sujet). J'ai clairement évoqué les risques d'un séchage accéléré. Celui-ci est aussi plus délicat à réhussir, et un séchage express (une semaine) est probablement trop ambitieux pour un débutant (en tout cas pas recommandable). Je réfléchi à ouvrir un sujet "réhussir le séchage en appartement" ceux-ci étant souvent chauds et sec, disposant rarement d'un garage, abris... obligent à un séchage rapide. Il y a forcément des déboires mais tu l'écris toi-même : "ça arrive", le comportement général est que ça marche, dans certains cas et en si prenant bien. non?
  13. Une référence est fournie. Techniquement assez complète pour moi. Personnellement du frêne refendu et dégrossi en section 2*4cm ne se déforme pas visiblement et ne fend pas spécialement (quelques mm perdus ne sont un problème). Idem du noisetier : dégrossi sur le tiers des extrémités si non refendu, donne du bois propre à la facture. Ceci en appartement bien (trop) chauffé, biensur, je ne stocke pas à coté d'un radiateur. Bien sur, il y a des échecs, surtous dus à du bois mal choisi. Je ne maîtrise pas assez pour faire une ébauche "au plus près" et faire un séchage "express". Commencer l'équilibrage au pied après trois semaine puis patienter, me conviens. Comparé aux durée "traditionnelles", c'est déjà rapide. N'hésite pas à en profiter pour refendre (pas évidant au début sur du petit bois de 10 cm de diamètre).
  14. Oui, c'est mieux. Le geste de tir étant continu et non immobile : exprime un ressanti sportif et non la réalité physiologique des structures musculo-squelétiques. J'appel motricité fine ce qui stabilise le mouvement et lourde ce qui fournit la traction. J'ignore si la différence se trouve au niveau nerveux (proprioception?) ou musculaire (antagonistes, agonistes, stabilisateurs). Les méthodes d'entrainements que tu proposent sont intéressantes. Par contre ta réponse me semble contradictoire. Tu parle d'un tireur dont les tremblements sont inchangés pour différentes puissance d'arc et tu affirme "la montée en puissance/endurance des muscles s'accompagne toujours d'une meilleure maîtrise des muscles". Que comprendre? L'augmentation de la puissance et le contrôle des tremblements sont deux entrainement complémentaires ? La puissance musculaire facilite mais ne crée pas la stabilité (atténuation des tremblements)?
  15. Je ne serai pas si catégorique. Les techniques de séchage rapides marchent. Il est bon de voir long, garder l'écorce le plus longtemps possible. Tu te rend vite compte des défauts du bois (vrille, surface irrégulières et donc trop fragile pour sécher vite), à éviter avec un bois délicat ou ressemblant à un défit. Raisonnablement (risque de fissure faible, problèmes de déformations anormales évités), tu obtiens une "ébauche" sèche en trois semaines. Si tu as le temps, la place, la volonté d'assurer la réhussite d'une facture de qualité, prends ton temps. Je suis loint d'avoir tous lu sur le site, mais je n'ai pas trouvé de références comme quoi un bois sécher rapidement (mais bien, quand même...) serait sensiblement moins résistant.
  16. Physiologiquement faux, même assis sur une chaise et bien calés sur le dossier, nous tremblons. Cela est du à notre inadaptation à l'immobilité (hé oui! nous sommes adaptés au mouvement). Dans des conditions normales, ce tremblement est parfaitement géré et nécessaire à l'équilibre (oreille interne) et l'évaluation des distances (répérage spaciale) grâce à la paralaxe. La puissance à partir de laquelle on tremble au point de ne plus faire du tir mais de la musculation (on change de discipline) est je pense un seuil. Chacun peut tracter des puissances plus importante mais avec perte de la motricité fine nécessaire à la précision du tir. Et là se pose une question intéressante : l'amélioration de la motricité lourde s'accompagne-t-elle de l'augmentation de la puissance de la motricité fine ou celle-ci doit-être bossée de manière spécifique? Merci pour l'explication de l'effet d'arrachement.
  17. Cécile, pardonne moi, je crois que l'on ne s'exprime pas dans la même langue mais on est bien d'accord (y compris, je n'ettaye pas : il y a eu de nombreuses références fournies et nous ne sommes pas à une conférence). Un bras qui bouge, qui n'est pas à la bonne hauteur, c'est l'archer qui éloigne la flèche du centre de la cible. Je ne peux pas parler correctement de l'aspect sportif, je peux compter sur des personnes comme toi pour corriger mes herments sur ce point. J'ai cru comprendre que "monter en puissance" consistait à progresser physiquement en conservant les qualités techniques acquises. Je ne comprends pas : " Les défauts de décoche sont d'autant plus gommés que l'arc est puissant." Veux-tu dire que je plus je suis bourin, plus je peux avoir une décoche approximative? Je n'ose le croire (trop beau pour être crédible). Précision : pour moi la décoche commence quand je commence à tirer sur la corde, voir un peu avant quand je me place. Une trop grande puissance permet de voir des erreurs qui ne seraient pas visibles si l'archer utilisait une puissance moindre (on appelle cela amplifier). Ce n'ai pas la puissance de l'arc qui constitue le facteur important mais la capacité de l'archer à l'utiliser correctement. Il me semble que les champions utilisent la puissance "nécessaire" et guère plus, y compris en catégorie "chasse" catégorie pourtant exigeante en raison de la masse des projectiles. Une "caractéristique" du tireur serait obtenu en traçant la courbe tremblement-puissance (ou tout autre paramètre caractérisant la gestuelle). Je doute que l'on trouve une droite... P.S. quand j'ai écris "amplifie les erreurs" je pensais bien certaines, plus du coté archer. J'ai expliqué (et justifié) que d'autres étaient diminuées (d'ou l'intérêts de la montée en puissance pour les longues distances en extérieur)..
  18. Ton point de vue se précise. Tu comptes bien mais tu lis et réponds trop vite. Je t'ai proposé quatre points de vue possibles pour aborder les trois sujets... Une idéalisation n'ai en rien une erreur! Tu traiteras ton sujet comme tu veux. J'ai seulement attiré ton attention sur le fait qu'un arc puissant amplifie les erreurs et demande plus d'effort au niveau réglage pour être "maîtrisé" et précis. C'est un paramètre à prendre en considération, parmis d'autres. J'ai montré des liens entre la théorie, la puissance et la précision. Les mots-clefs pour bien comprendre sont dispertion, sensibilité et stabilité. Ces mots sont à considérer dans leur sens mathématique et physique.
  19. Tu aborde trois sujets en même temps! Et sans préciser le ou les point(s) de vue qui t'intéresse(nt). -tireur "concours" qui veut marquer des points -fabriquant d'arcs et flèches qui veut vendre et faire du chiffre -"etno" qui veut veut nourir les siens -guerrier, aspect militaire, tactique, mode de combat, utilisation de l'arc? Concernant l'aspect puissance/précision, si l'on considère un arc et une flèche la précision déprendra essentiellement de l'archer... Avec plusieurs flèches, ça se complique. Et plusieurs arc... patatra. Tu simplifie le problème, tu considère un arc idéal et une flèche idéale. Pour que celle-ci soit adaptée, tu doit considérer plusieurs paramètres (puissance de l'arc : rapport masse de la flèche/ puissance de l'arc, spin/ masse de la pointe pour régler la question du paradoxe) ensuite vient le réglage de l'arc (tiller...). Au final tu as forcément une dispertion des valeurs des différents paramètres, celles-ci influançant plus ou moins le résultat final (on parlera de sensibilité et de stabilité). Quand tu augmente la puissance de l'arc "réel", tu doit augmenter la masse des branches et de la flèche. L'inertie du système augmente et sa sensibilité à certain paramètres diminue (vent, réglage de la hausse) permétant d'améliorer le groupement des flèches. Sa sensibité à d'autres paramètres augmente (décoche), le groupement dépand alors de l'archer... J'ai résumé ma compréhension actuelle du problème. Il y a matière à compléter.
  20. Ce besoin d'une voiture bien de chez-soi est surprenant pour de grands voyageurs, assoifés de soleil...
  21. Le soleil tape dur par ici : pas besoin de fumer de la crotte pour sentir les vapeurs d'inspirations.
  22. Ce temps reviendra dans quelque mois : LES SOLDES... au milieux des prairies goudronnées parcourues de féroces voitures déchainées, ces chasses sont des plus périlleuses et y emmener de jeunes chasseurs est peu recommandé. Il reste encore de belle chasses de printemps et d'été dans les sous bois encombrés et aux abords des rivières. La prudence impose d'y venir ganté, boté et lourdemment équipé c'est une chasse ou il vaut mieux venir nombreux. Chaque chasse raporte des butins encombrants, alors des bennes s'imposent.
  23. C'est bien le problème... A moins que les dit lapins soit sur un terrain cloturé de manière continu à une hauteur et une profondeur suffisante ... auquel cas ils seraient considérés comme des biens meubles, de la même manière que ceux sortant d'un clapier ! Pour ton jardin, tu ferais mieux d'investir dans une cloture. C'est moins cher qu'une condannation pour braconnage :06: . En plus ton arc, tes flèches seraient confisqués à tous les coups et les outils utilisés pouraient l'être, aussi (et le seraient certainement si tu insiste). de quoi réfléchir, non ?
  24. Félicitations pour l'if. Je crois qu'il n'y a pas beaucoup de personnes qui utilisent le rabot sur ce bois tortueu... à confirmer par les plus expérimentés. Continue ta recherche en lisant la base de connaissance : il y a un sujet épinglé "débuter....", bonne lecture
  25. Cet "arc" n'est clairement pas fini. A plusieurs niveaux (équilibrage, masse des poupés,...) il mériterait plus le terme d'ébauche :ouf: . Merci pour les remarques, Elles m'aideront pour progresser niveau facture. Quand je le reprendrai pour le finir je mettrai volontier des photos dans un nouveau sujet... avant je ferais 2-3 arcs dans des morceaux de bois plus faciles. Par contre cela ne m'aide pas sur le sujet de ce topic : 40# et 60#, deux "arc" de portée et donc vitesse de sortie comparable (les flèches sont identiques), rendement, confort très différents... Et un groupement de flèche qui me surprand dans le cas du second. Mes connaissances ne me suffise pas pour en faire l'analyse. Pour faire un parallèle avec l'automobile, ça me fait penser à un moteur bridé : moindre vitesse, mieux controlée, plus facile à régler. Avec les réserves expérimentales, déja émisent. J'attend toujourd sur ce sujet, je le pense délicat et pas forcément motivant puiques ça reviendrai à une contre performance par rapport aux objectifs habituels.
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