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Le Stress


Guillaume
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Qui n'a pas senti son coeur battre plus vite lors d'un duel ou trembler au début d'un concours ?

Avez vous une technique pour ce genre de désagrément ?

Le stress est il bon pour le tireur ??

Permet il de se surpasser ??

Donnez votre avis ou vos méthodes... :07:

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  • 6 months later...

pour moi le stress c bien quand on sais l'utiliser par exemple moi j'ai premier au challenge de mon club alors que j'étais a un niveau moyen le stress ma révéler mes capaciter et depuis je suis l'un des meilleur de mon club ma tecknique ci il en a une enfaite j'en n'ai plusieur la plus béte mais qui marche c de chanter rigoler discuter avec les autre entre chaque volé respiré un bon coup en penssant a qq de drole en badant l'arc et la pour moi le temps de tiré ma fléche le stress a disparue :29:

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  • 2 weeks later...

Au début le stress j'avais du mal à le gérer, ce qui provoqué de léger tremblement lorque je tirais mais maitenant le stress ne me dérange plus , une bonne respiration on ne fait plus qu'un avec son arc et tout autour de moi n'existe plus.

Niko, :37:

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Sans stress, on a du mal à dépasser ses limites.

Un peu de stress et l'adrénaline nous booste pour bien faire.

Trop de stress, et on fait n'importe quoi...

:05: pas facile de gérer çà !

Bref, pour moi aussi la respiration est capitale dans la gestion du stress pour l'amener à un niveau optimal lors du tir : inspiration profonde par le nez (abdominale) au préarmement, expiration lente par le nez à l'armement et tir avant que les poumons ne soient compètement vides.

Bien sûr, le stress ne se gère pas qu'au moment de tirer la flèche.

Avant : avoir des pensées positives, saluer les copains, raconter une ou deux petite blagues, commencer à se concentrer lors de l'échauffement et travailler sur la respiration.

Entre les volées : ne pas se focaliser sur les points ou sur les résultats des concurrents, écouter de la musique, bouquiner, blaguer avec les potes, ignorer les rabas-joie et autres "casseurs" de bras.

Les points souvent rapportés comme le plus important : être positif, tirer chaque flèche indépendemment des autres, ne pas accorder d'importance aux scores, ne pas vouloir faire du mieux que l'on peut mais se contenter de faire ce que l'on sait faire.

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le stress un grand farceur qui le jour j nous faire surpasser nos limite ou nous faire régrésser au point 0 et le pire je pensser le controler mais j'avais tor impossible on ne peux le controler c'est lui qui nous control :unsure: non la j'égager mais je ne suis pas loin de la vériter :19:

mais enfaite ci il y a pe étre un moyen éfficace c'est de ce préparer au stress avant de l'avoir mais le stress qui nous fait perdre tous les moyen c'est quand on est fatiguer ou contrarier la il empire tout :angry:

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Assez d'accord avec cette analyse.

Se préparer pour gérer son stress : se mettre en situation de compétition très régulièrement, apprendre à bien respirer, apprendre à visualiser son geste et des moment heureux si on est contrarié.

Personnellement, je fait du yoga, excellent pour apprendre à bien respirer et à domestiquer ses émotions !

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Guest patrice

Le stress, celui qui gêne et engendre la panique. Je n'ai pas de recette miracle, je pratique le kyudo et le travail sur la respiration est une bonne aide. Attention, se mettre au kyudo dans le seul but de gérer le stress en compétition serait une abération.

Peut être faut-il relativiser aussi les enjeux de la compétition et ne pas se mettre plus de pression qu'il n'ait nécessaire.

Important, s'entrainer sérieusement, pas seulement lacher des flêches, mais avoir un entrainement construit. Quand on à bien travaillé, que l'on sait que l'on a pas laisser de place au hasard et à la chance on est forcémment plus serein en compétition.

Se laisser du temps, tous ne viens pas tous de suite.

Ne pas hésiter à chercher des compétitions d'un niveau relevé, se confronter à plus fort que soit est très formateur. Pour ma part il m'a fallu trois ans et trois circuits nationnaux pour réussir à battre un tireur belge de niveau internationnal, je suis un bon tireur mais sans plus.

La première fois, j'ai eu peur, je n'ai pas vu le jour.

La deuvième fois, le même tireur, je le pousse au barrage où il me bat.

La troisième fois, un autre tireur de même niveau, je le bat et lui barre théoriquement la porte des championnats du monde à new york.

trois ans, trois concours mais, quel apprentissage.

Enfin pour les irreductibles stressés, un coctail temesta-vitamine C, à voir. :10:

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  • 1 month later...

Moi j'ai toujours passé du temps en compét à destabiliser les autres, discretement, et ça m'a permi d'oublier mon propre stress, et de battre régulierement des archers plus forts que moi à l'entrainement .

( pour vaincre un lion , il faut penser en termes de lion ) Gery c'est de qui ça ? :24:

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  • 2 months later...

bonsoir a tous :)

a l'entrainement seul, je me débrouille pas trop mal sur le parcour :29:

avec les potes çà dépend des jours, :lol: en compet meme amical, je cafouille un max, :05: surtout au début, apres quand tous est perdu... :22: , çà va mieux....ouff :10:

mais aprés un canon de rouge, c'est le top :109: :P

a+

Thierry :115: :115:

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  • 6 months later...
  • 1 month later...
Ben moi je mange deux-trois carré de chocolat noir avant d'arriver sur le pas de tir, puis je fait le vide dans ma tête, quelques bonnes bouffées d'air avant l'action kool, et puis on y vas..... :)

faut surtout pas manger pendant un concours....encore moins du chocolat

normalement il ne faut rien assimiler depuis 3havant le concour jusqua la fin de la compet a cause de la digestion qui pertube le mental pendant le tir

le seul truc c boire 100 a 200ml toute les deux volées

petit truc dietetique et pas trop mauvais

dans 1.5L d'eau mettre : 8a 15 sucres en morceau

1pincée de sel

1 comprimé de levure de biere si on veut ( bon pour le transit de l'energie!)

c'est une boisson conseillée par un dietéticien archer

sinon pour le stress.... moi je regarde le chrono (de ma montre ou du pas de tir si y'en a un)

qd il reste 97 secondes je commence a tirer ma premiere fleche

qd il reste 57 secondes je commence a tirer ma 2eme fleche

qd il reste 37 secondes je commnce a tirer ma troisieme fleche

pourquoi mes nombre finissent par un 7? pour voir si j'ai ete trop long ou trop rapide sur ma fleche ... je met en moyenne 7 secondes

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super, et quand tu as la fringale, il est déja trop tard.

Le porblème avec les diététiciens, c'est qu'ils savent nourrir un malade, mais pas un sportif.

Si ton diététicien était compétent, il t'aurait dit que le chocolat, pris en petite quantité, est l'anti-stress le plus efficace qui soit.

En tir à l'arc, il faut être frugal avant pour ne pas être chargé*, mais pendant la compétition, il faut manger avant d'avoir faim et boire avant d'avoir soif.

*: exemple connu de beaucoup ici, le tir FITA sur 4 distances; on tire les longues le matin, puis pause (déjeuner), et les longues l'après-midi, en commençant par le 50m sur cible de 80; pour des raisons de simplicité, pas mal de clubs proposent des plats "sans portion", préparable en marmite, tels que couscous, cassoulet, pâtes (sucres lents!); et voila pourquoi, de l'avis général, "le 50 m, c'est super dur"; tu parles, en plein soleil avec un cassoulet sur l'estomac :pfff:

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de mon coté , le stress se manifeste par des tremblement de la jambe gauche d'une manière incontrolable. et ce tremblement n'est la que pendant les tirs les plus stressant. autrement je n'ai rien. pour ce tremblement je n'ai pas encore trouvé la parade.

j'arrive à l'atténuéer en me conctractant la tension dans les lombaires.

si vous avez un truc je suis preneur; sauf s'il s'agit d'absorbé quelque chose, là j'en veux pas.

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Je ne peux pas vous aider, je ne connais pas le stress en compétition :blink: . Aux exam' deux fois, seulement, mais c'était la pure panique ,la paralysie, rien à faire :19:

sinon pour la sérenité:1 la préparation

2 la confiance en soi

3 l'humilité (la simplicité= on n'est jamais capable de faire mieux que ce qu'on fait-sinon on le ferait...)

:115:

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Oui pour le chocolat qui contient comme les bananes, le maïs, la viande de volaille..... du tryptophane. Cette molécule est le précurseur de la sérotonine, et de la mélatonine.

La sérotonine est un des principaux neurotransmetteurs de notre syst. nerveux central et joue un rôle important dans notre gestion de "l'humeur" et du sommeil.

Ce tryptophane n'est pas synthétisé par l'organisme et sa seule source est exogène (comme 8 autres acides aminés d'ailleurs) d'où l'importance d'en importer dans l'organisme par la bouffe.

Mais le chocolat, par le plaisir apporté lors de sa consommation nous donne aussi une récompense en libérant de la B-endorphine, notre opiacé interne en quelque sorte d'où ce rôle antidépresseur/euphorisant.

Les 2 théories cohabitent pour l'instant.......

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Un petit truc qui m'a bien fait rire :bounce: et qui une fois mis en pratique c'est réveller terriblement eficasse :20: . Vous vous trouvez une petite phrases personnel qui vas rythmer votre phase d'armement, chaques mots doit vous faire pensez à ce que vous devez faire au moment ou vous le dite, par exemple vous pensez fierté B) au moment de vous mettre sur le pas de tir, force :costaud2: quand vous bander votre arc, ex..., ça peut être une suite de mots ou une phrase.

Les avantages sont assez simples :

- à chaque mots correspond une action, vous êtes donc sur de ne pas zapper une étapes et celà vous permet de vous concertrer sur celle(s) qui sont vos faiblesse(s). :bhaoui..:

- en répetant ainsi vos mots, ou phrase, vous donnez un rythme à vos tir qui deviennes plus régulier. :king:

- et surtout pendant que vous pensez à ça vous ne pensez pas à autre choses ( le stress :01: , la mauvaise :thumbdown: ou la bonne :thumbup: flêches de la volée précédente, la vie en général :whistling: , etc... )

C'est très simple à mettre en place et le résultat ce fait resentir très vite, enfin pour moi en tous cas !!! :109:

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c'est pas mal ton idée mais j'ai peur que ça casse le coté intuitif, instinctif, spontanné du tir. je fais qqch qui ressemble un peu à ça: je tire dans ma tete.

enfin j'imagine que je tire, je le répete, par coeur, en y associant les sensations que je dois ressentir, et l'image que je dois voir.

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