Titus Flavius

Pour la chirobaliste, celle avec un cadre métallique, la crosse est décrite par Héron d’Alexandrie en forme de demi lune, avec un rayon assez grand de façon à pouvoir y mettre son bassin et exercer ainsi une pression pour l’armer. J’ai résolu le problème en y mettant un axe permettant à cette crosse de pivoter quand on veut épauler. Solution attestée par un diagramme dans un manuscrit… Pour la première machine, la manubaliste, il n’y a pas besoin de ce système car elle demande une poussée moins grande, où plutôt étant plus lourde de l’avant, son poids permet de l’armer plus facilement. Pour armer, il suffit de réenclancher la corde archère dans la griffe et de pousser, la règle coulissante revient en arrière et on la bloque avec le crochet visible à la fin de la règle. En fait la principale difficulté, vient de la réalisation de la règle coulissante en queue d’aronde sur un mètre…

Pour la chirobaliste 'la deuxième avec le cadre en métal, Héron d'Alexandrie parle de cette

L'avantage de ce système, c'est qu'il s'rame preque tout seul sans forcer par le propore poids de l'engin... et que l'on se fait moins mal au dos en poussant qu'en tirant à soi enfin je pense

Uploaded with ImageShack.us

En fait, c'est un tout petit peu plus compliqué que cela... Les bras à l'intérieur ramenés vers l'arrière supposent un bâti beaucoup plus solide car soumis à des contraintes plus importants. Et cela n'est possible qu'avec un système comme la chirobaliste

Ces machines étaient très puissantes, mais elles étaient très complexes à mettre ne oeuvre. Elles n'ont donc pas vraiment perduré. L'arc remplaçantce système.

LE gastraphète décrit aussi chez Héron d’Alexandrie fonctionne de la même façon quuant à l’armement mais il est pouvu d’un arc dont malheureusement on ne nous dit rien dans le manuscrit. Je vois que vous utilisez souvent du rotin dans vos réalisations. Quelles sont ses qualités et où peut-on en trouver ? Merci

Le gastraphète fonctionne exac

pas bêt j'essiaerai demain et je vous redirai cela. En fait ce qui est intéressant par rapport aux arbalètes médiévale , c'est le fait que l'on n'aie pas gardé du tout le système de déclenchement. Ce dernier est entièrement décrit chez Héron d'Alexandrie, bien que pas facile du tout à comprendre

aucune idée... A sire vrai je ne sais pas vraiment comment on la calcule la puissance... Je sais seulement qu'elle est fonction de la résistance des cables à la torsion. A titre indicatif chaque toron est composé de 25 mètre de drisse de théâtre de 4 mm et la corde archère est composée de 14 brins de Kevlar torsadés. c4est la seule chose qui résiste à l'engin. A titre indicatif pour le scorpion , il y a 88 vrins de Kevlar... Je ttrai une photo de l'engin.

Uploaded with ImageShack.us

Pour la taille des carreaux , une découverte récente faite à Zama donne à peu près vingt centimètre avec un empennage taillé dans la masse. Je vais vous mettre un schéma.

Et mince je suis découvert... Oui c'est une de mes trois machines de guerre romaine et grecque avec une chirobaliste et un scorpion. LA machine présentée juste au dessu est une peti

Oui. TEst de tirs autour d'une centaine de mètres avec des carreaux de 20 cm. Portée effective à tir tendu entre 40 et 60 mètres.

Désolé pour les fausses manips mais quand j'essaie d'écrire le message , je ne vois pas le texte s'afficher. Je n'ai que les barres de mise en forme du texte et c'est tout. Impossible d'avoir la main pour voir ce qui est écrit... Quelq'un peut-il m'aider ? MErci. Je voudrais attaquer un gastraphète qui qui est une arme grecque fonctionnant sur le même principe que les arbalètes médiévale du moins pour l'arc... et j'essaie de commprendre toutes vos discussions intéressantes sur les problèmes de construction de cet arc. Il existait aussi des arbalètes chez les romains mais elles ne semblent avoir été utilisées que pour la chasse enfin d'après le peu de vestige archéologiques retrouvés sur des bas-reliefs.