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Cantal

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Posts posted by Cantal

  1. Quel type d'arc utilisez-vous? ( type longbow, recurve à fenêtre, compound, etc ?).

    Il faut faire suffissement d'essais pour caractériser le vol des flèches.

    A priori, sans autre information, on peut parier que la fléche n'a pas le temps d'amortir ses oscillations sur les premiers 5 mètres de trajectoire.

  2. Je pense que berceaux est une adaptation d'un terme mal compris et surtout mal orthographié au 18e et/ou 19e, le terme le plus juste est bien je pense Beursault qui vient du latin ... et qui signifiait à la fois le jardin de tir et à l'origine la cible. La confusion entre berceau et bersault est arrivée avec l'ancien français : tandis que le terme bersault était encore utilisé par les archers bien peu en connaissait l'origine latine d'où une confusion linguistique en associant une signification et ensuite une orthographe erronée au terme bersault

    le nom des troupes de montagne italienne les "bersaglieri" dérive si je ne me trompe de la même racine

    Robert Roth dans "Histoire de l'archerie, arc et arbalète, Max Chaleil-Edteur" écrit que berser ou bercer veut dire en France tirer à l'arc . Le terme est devenu Bersailler et bersauder, puis bersault et bersail pour le but à tirer.

    Les italiens ont bersagliere (tirer), bersaglieri (tirailleurs) et bersaglio (cible). Les allemands auraient fait, à partir du latin, birse, pirsen et enfin pirsch (le tir).

  3. [quote name='Catherine Mooyaart' date='08 September 2009 - 09:58 AM' timestamp='1252396707' post='614819']

    Bonjour

    Nous sommes sur le point de fermer l'enregistrement pour la Marche des Archers et le tir aux Marques pour le 500eme anniversaire de la Fraternité de St Georges le 11 Octobre - Au plein milieu de la City de Londres.

    La marche et le tir seront "gigantesque" et par conséquent nous avons dédié un site : La Marche et le Tir

    Nous vous invitons donc a jeter un coup d'oeil et a réserver rapidement si cette occasion unique vous inspire.

    Amicalement

    Catherine

    Et après la marche des archers à travers Londres, ils entreront dans les bateaux pour faire une descente en France?

  4. Bonjour, j'ai finalement testé le sac en toile de jute rempli de plastiques chiffonnés pêle mêle à l'interieur. J'ai effectivement constaté qu'avec mon poulie 54 lbs, même en tirant près non seulement je ne passais pas au travers, mais que la flèche s'arrêtait en quelques cms. Par ailleurs on la retire avec deux doigts avec une facilité incroyable. Ma question est:

    - Quand on connait la force de pénetration d'une flèche, comment se fait-il qu'elle s'arrête aussi facilement dans des materiaux aussi "fragiles"?

    Je pense que les spécialistes seront en mesure de me répondre car pour moi, cela relève du miracle !!!

    A vous lire .....

    Comme disent les tireurs sportifs américains, il n'y a pas de projectile miracle :" No magic bullet".

    La pénétration d'une fléche dépend de la forme de la tête ( pointe) et de sa quantité de mouvement.

    La quantité de mouvement est le produit de la masse de la flèche (en kilogramme ou Kg) et de la vitesse ( en mètres par seconde ou m/s).

    Par exemple, une fléche de 40 grammes volant à une vitesse de 100 m/s a une quantité de mouvement de 4 Kg.m/s.

    Une tête de flèche métallique en forme de pointe (type bodkin des médiévistes) pénétrera plus profondément une cible métallique qu'une fléche de chasse type bilame. Cette dernière bien affûtée sera plus efficace sur un gibier en provoquant uen hémorragie mortelle. Elle pourra même casser de l'os et traverser totalement le corps de l'animal.

    L'énergie cinétique qui est proportionelle au carré de la vitesse de la fléche n'est pas un bon indice de pénétration.L'énergie cinétique est plus sexy pour vanter les mérites d'un arc et faire vendre du rêve et des armes.

  5. Ca devient pas un peu compliqué tout çà ?

    Un tireur est plus compliqué qu'une machine à tirer qui est stable et fournit des résultats reproductibles.

  6. En fait l'établi dont je me sers va être remplacer par une structure légère (non définie encore) permettant le transport facile tout en étant suffisamment stable.

    Les suggestions sont toujours bonnes à prendre :20:

    Mon soucis actuel est de savoir si d'un tir à l'autre je peux reproduire les réglages. Donc à suivre.

    Un chevalet pliable rigififié par par vis et boulons.

  7. En fait le ien sur l'image que j'ai mise fait parti d'un lot de photos du meme album Picasa Web, je pense que vous (tu ?) pouvez y accéder car il est en accès public.

    Pour répondre à la question: j'ai démonté un ancien décocheur à doigt lequel (le décocheur...) est relié au cable du treuil.

    JE

    Donc, un décocheur sur le câble de traction. Simple et efficace.

  8. Il subsiste un très bon exemple de charnier (c'est l'appellation consacrée de ces "cloîtres") en parfait état de conservation (mais sans sa "garniture") à Montfort l'Amaury.

    Mais on s'éloigne du sujet.... :bhaoui..: :rolleyes:

    En effet :

    " À partir du IXe siècle et jusqu'à la révolution, on enterrait dans les églises ou autour de ces monuments. Les cimetières étaient ainsi placés au centre des villes et on y élevait ordinairement des ossuaires qu'on appelait charniers. Un des plus célèbres était le charnier des Innocents à Paris.

    (Pierre Adolphe Chéruel; Dictionnaire historique des institutions, mœurs et coutumes de la France , 1855)

    "

  9. Le tube en question est un Vibracheck Safedraw (sorte de pompe à vélo pour faire court) qui permet d'absorber l'énergie emmagasinée lors de la décoche. Le Vibracheck permet de s'entrainer chez soi, mais ici il me permet de régler le proto sans tirer de flèche. C'est pratique. :29:

    Bien entendu, le test du proto se fera sur un pas de tir avec les règles de sécurité comme il se doit. B)

    Je connais ce système dans un autre usage. Il est utilisé pour tirer du plomb poussé par l'air comprimé de l'absorbeur.

    Comment est fait le lâcher de la corde d'arc pour le tir?

  10. Moin poétique que Wendat, mon annecdote :

    en fait le cimetière des innocents est au 18e siècle un cimetière utilisé depuis plusieurs siècles et il est super fréquenté à un point tel que les fossoyeurs ne savent plus creuser une fosse sans en recouper d'autres .... Si ma mémoire est bonne déjà à la fin du moyen âge on avait construit tout autour du cimetière une sorte de cloître comme dans les monastère sauf que dans les combles sous les toits ont y déposauit les ossements récupéré dans le cimetière. Cete espèce de cloître déambulatoire était un lieu de promenade et de rencontre commerciale ont dit même que le clergé de l'époque se plaingait que les prostituées y tenaient commerce échangeant contre espèce sonnantes leurs vertus plutôt trébuchantes ....

    Bref au 17 et 18e siècle la surpopulation de macchabée était telle que l'ossuaire était plein et que les fossoyeurs était régulièrement contraint d'extraires des corps à peine enterré de quelques mois pour faire de la place ....

    Autre fait attesté en grèce dans les années 30-40 : dans le nord montagneux près de la frontière albanaise, le cimetière de certains village était tellement petit qu'après 1 an de mise en terre on exhumé les ossements et qu'on invitait toute la famille à boire du vin dans le crâne du défunt .... histoire de s'assurer de l'absence de mauvais sort ....

    Le cimétière médiéval peut être entouré par des murs et entouré d'un déambulatoire en forme de cloître. Un des plus exemples en France récemment restauré aprés avoir servi de parking auto est le campo santo d'Orléans.

    C'est au XVIIIéme que les cimetières autour des églises en ville ont été remplacés par des cimetières hors des murs pour des raisons hygiénistes.

    Des coutumes funéraires ( à Madagascar par exemple ) organisent des doubles funérailles : un ensevelissement rapide ( pour éviter la putréfaction des chairs en l'absence d'embaumement) et une sépulture définitive où la famille déterre solennellement les os, les lavent et les enterrent définitivement.

    Entre la disparition du corps et la sépulture définitive, le mort reste à proximité des vivants et peut venir hanter les lieux où il a vécu. La sépulture avec ses rites qui terminent le deuil officiel permet de neutraliser le mort ou de rendre bénéfique le nouvel ancêtre.

  11. Bonjour

    Pour ceux que ça intéresse j'ai commencé pour prototype de machine à tirer.

    Voici une photo sur Picasa Web :20:

    Photo de MAT 1

    L'établi est provisoire, la structure qui tient l'arc et le met en tension est de type "mécano" pour bricoler rapidement des essais.

    Le tout est of course bien moins cher qu'un Hooter Shooter de luxe. :whistling:

    A suivre...

    J'ai vu votre machine à tirer. C'est un bricolage ingénieux et rigoureux.

    Une question : pourquoi ce tube où semble passer la flèche lors du tir?

  12. Bonjour à tous,

    Je dois couper une dizaine d'ifs (femelles je crois: fruits poisseux) qui ont poussé à l'ombre d'un bâtiment et ont donc du aller chercher la lumière. Ils sont longs (env. 5-6 m) pour des section de base assez faibles (5-10 cm) et dénués de branche sur une bonne longueur. Ils me semblent donc intéressants (merci de confirmer ou d'infirmer).

    Reste ma question: à quel moment de l'année faut-il les couper pour obtenir le meilleur bois?

    Merci d'avance

    Corde ialement

    F.-X.

    Depuis deux cents ans, on sait qu'il n'existe pas de bonne ou de meilleure période de coupe pour un arbre.

    Duhamel du Monceau ( auteur en autres de " Élémens de l'architecture navale" , 1758) dit qu'il n'y a pas de différence entre des arbres coupés aux bonnes et aux mauvaises périodes.

    Mais, rien ne vous interdit d'en rester aux vieilles lunes.

  13. Beaucoup d'historiens du longbow nient la possibilité de l'existence au Moyen-âge de longbows fabriqués en lamellé-collé (plusieurs couches de bois différents encollés) l'argument principal étant qu'on n'a retrouvé que des arcs de plein bois (orme, frêne et surtout if). Le second argument est qu'on ne disposait à l'époque que de colles incapables de resister aux vibrations.

    Or je pense que de tels arcs existaient du moins aux XIV éme et XV éme siécles. Je pars d'une fresque de Canavésio et Baleison datant de 1491 et figurant dans la chapelle St Sébastien de St Etienne de Tinée (voir le dernier TAM pour les photos). Deuxième argument: On a conservé des borderaux de commande d'Edward II, d'Henry VI et d'Henry VIII mentionnant des "arcs paints" par opposition à des arcs de bois plein. Il est possible que ces arcs peints qui valaient 50 plus cher que les autres aient été protégés ainsi de l'humidité (la peinture à base de blanc d'oeuf devient resistante à l'eau). En effet, après enquête chez des amis luthiers et restaurateurs d'instruments anciens (dont Philip Tallis, à la fois luthier et longbowman hors pair) il ressort que la colle d'os à 20% resiste très bien à la tension et à la vibration de la décoche, mais craint l'humidité. Il en est de même pour la colle de vessie d'esturgeon.

    De surcroît, aux marches orientales du Saint Empire Romain Germanique, l'arc composite oriental était trés courant. Qu'on ne vienne pas me dire qu'il n'a pas suscité de copies et d'adaptations.

    Avez-vous des références de texte mentionnant le collage de bois pour faire un arc?

    Sinon, "Histoire sociale et militaire des archers, le grand arc " de Hardy montre un facteur de longbow moderne assemblant un arc en deux parties par une entaille en W à la poignée. Sans doute ne disposait-on pas toujours de fûts d'if de la bonne taille pour tailler des arcs entiers.

  14. Tout à fait dans le sens de mon article sur le dernier TAM, c'est bien le style de Baleison et Canavesio, on retrouve leur soucis du détail. Donc un argument de plus pour ma théorie sur la possibilité de longbows contrecollés.

    Bonjour.

    Je n'ai pas lu votre article dans TAM; mais pouvez-vous nous dire en quoi consiste la théorie des longs bows contrecollés?

  15. oui la ffta se fou de nous mais c'est pas d'aujourd'hui j'ai eu une conversation avec une grande du tire a l'arc fita qui travail pour la ffta l'autre jour il etais moin une qu'elle prenne une baigne tellement c'était honteux les paroles qu'elle avait sur le 3d

    mais moi ça m'empêche de prendre du plaisir de faire du 3d et je suis loin d'être le seul alors voila peut être qu'un jour on feras une fédération a par :bhaoui..:

    Bonjour

    C'est intéressant de savoir ce que dit un représentant de la FFTA sur le tir 3D. Les beignes, même méritées, ne sont pas un argument de discussion.

    Pourquoi ne pas nous faire partager ses propos ?

    Que nous puissions juger sur pièce.

  16. Bonjour

    Merci pour les articles.

    Il est interessant de voir qu'ici aussi les textes parlent de nouvelles tactiques et de meilleure coopération entre les armes mais le role des archers francais n'est pas du tout mis en avant en comparaison des historiens anglais.

    Si l'on prend les livreds de Lt-Col Alfred H. Burne (Wordsworth Military Library), une autre interprétation est nette. Jusqu'a Castillon les archers Francais ne sont pas utilisés comme arme a part entiere. Si vous pouvez lire l'anglais nous avons fait un résumé sur notre site Page sur Castillon

    Amicalement

    Catherine

    La description de la bataille de Castillon est très claire, même pour un français rescapé des cours d'anglais. L'animation permet de bien visualiser le déroulement.La mise en oeuvre efficace de l'artillerie à feu est la surprise tactique de la dernière bataille de la Guerre de cent ans.

    A Castillon, les archers français sont utilisés de la même manière que les archers anglais dans les guerres écossaises où ils avaient appris leur métier : en bataillons, protégés, disciplinés et commandés. Ils sont utilisés comme une infanterie dans une parfaite exploitation du terrain et de la surprise.

    La cavalerie assure la victoire en poursuivant les survivants de l'assaut anglo-gascon.

  17. Bonjour,

    en fait je cherche des vis à tête bombée 6 pans creux pas américain UNF:

    8-36 L=1/4"

    et

    8-36 L=5/8"

    au moins une vis de chaque...

    Cela se monte sur un repose fleche MAthews: la grande est la vis de bloquage du réglage latéral, la petite est la vis de bloquage de la cordelette d'effacement

    Merci

    Olivier Collet

    En fait, c'est le même pas de vis en deux longueurs ( 6 mm et 15 mm quelquechose).

    Achetez-en une poignée et coupez à la longueur.

    Désolé, je n'en ai pas en stock.

  18. Bonsoir

    C'est interressant mais j'ai lu malheureusement trop de livres ou l'on semble oublier que nous avons gagné la guerre de cent ans, non pas en oubliant l'"artillerie de jet" mais au contraire en reconnaissant son utilité et ne mettant pas tout de suite en jeu la charge lourde de la cavalerie.

    Je n'arrive pas a trouver de livre specifiquement sur Castillon refletant ces aspects stratégiques.

    C'est a Castillon que le Statragene militaire francais a permis la victoire en reconnaissant que chaque arme, chaque bataillon devait travailler ensemble.

    Les Francs Archers (etant en partie seulement) responsable de la victoire au meme titre que les autres armes.

    A Castillon les archers ne sont plus ignorés. Ils prennent leur juste place.

    Amicalement

    Catherine

    :)

    Wikipedia propose un article sur la bataille de Castillon. Le contexte stratégique et la tactique française sont précisés.

    L'utilisation de l'artillerie en défense de retranchements et la coopération des Armes (infanterie, artillerie, cavalerie) sont bien détaillées.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Castillon

    Wikipedia donne ses sources : M. BARDON (Revue Historique de Bordeaux: La Guyenne militaire, Tome II Drouyn Histoire de Castillon de Guignard, "History to day" N° de mars 1953) et articles de G. Marchou, A. Garde, R. Biron, Vital-Marseille, etc. :

    http://jm33500.canalblog.com/archives/2006...17/1237620.html

    On sait que Talbot était téméraire et mauvais tacticien.

    Bonne lecture au Maître des missives.

  19. Bonjour,

    avez vous de bonnes adresses pour acheter au détail de la visserie pas américain (UNF) pour remplacer sur arc et accessoires genre viseur ou repose flèche?

    Merci!

    Olivier

    Un achat ou une commande chez :

    http://www.weber-metaux.com/2008/Accueil/weber-metaux.htm (le plus réputé)

    http://www.marleva.net/conversion-pouce-mm.html

    http://www.rgparts.com/fra.html

    http://www.bricovis.com/visserie-americaine.htm

    http://www.foussierquincaillerie.fr/quinca...ngue-blanc.html

    Je n'ai pas testé ces vendeurs. Donc pas d'avis sur leurs prestations.

  20. Avez vous vous ce livre en votre posession?

    Parle t-il de l'entrainement de archers entre le XIV-XVIeme?

    Ou avez vous acheté ce livre?

    Merci par avance.

    Votre bien dévouée Honorable secretary and master of the letters

    Catherine :23:

    Je n'ai pas lu ce livre.

    Ce livre est édité par les Editions Crespin-Leblond et par Emotion primitive : http://www.emotionprimitive.com/livres_histoire.htm

    On peut le commander dans les bonnes librairies et directement par internet.

    Autre livre intéressant :

    " Archers et Arbalétriers au temps de la guerre de cent ans (1337-1453)" , Joël Meyniel, ISBN : 2-914123-93-0, 150 pages - Format 14x20 cm, Emotion primitive, dont voici le résumé :

    L'utilisation stratégique de «l'artillerie de jet» (arc et arbalète) a toujours été déterminante dans les grandes batailles médiévales mais rarement en faveur des Français. Face aux armées d'archers anglais, disciplinés et organisés, les stratèges Français ont une vision trop traditionnelle de l'art de la guerre, basée sur une cavalerie indisciplinée, appuyée par une artillerie d'arbalétriers mercenaires. En 1450, en optant pour une «artillerie à poudre» (bombardes et autres canons), les Français innovent dans l'art de la guerre, condamnant irrémédiablement «l'artillerie de jet» au déclin et à sa fin. Les soldats anonymes de la guerre de Cent Ans, vont être les acteurs involontaires de profonds changements qui feront naître les états modernes, les Etats-Nations. Les champs de batailles que sont Crécy, Azincourt ou Poitiers sont encore là pour nous rappeler ce que fut la vie de ces hommes. Au détour d'un chemin, en scrutant l'horizon, on peut, avec un peu d'imagination, percevoir le sifflement des flèches. Aussi, prenez plaisir à parcourir ce chemin et laissez-vous guider sur les traces des hommes de trait...

  21. Bonjour

    C'est tres interressant car je pensais Charles VII était le 1er a organisé d'une maniere systematique des compagnies d'archers pour battre les Anglais.

    En GB le nom de Guilde est aussi tres utilisé et dénommé "Guild".En fait les similarités entre les 2 pays sont toujours presentes et c'est donc pour cela que je cherche a connaitre l'entrainement des archers francais.

    Jusqu'a aujourd'hui, je me suis basée sur Charles VII et les Francs Archers car cela correspond en date au regne d'Henry VIII et aux tirs aux marques qui etaient l'entrainement anglais pour juger les distances. Bien sur il y avait aussi les buttes..

    Revenons a la France:

    Si je me souviens bien au Nord de Paris sur l'autoroute A1, il y a une sortie Les Francs Archers, savez vous pourquoi?

    Serait-il possible que les Francs Archers s'entrainaient dans les champs entre les murs de Paris et St Denis?

    Amicalement :28:

    Catherine

    Catherine Mooyaart, nous sommes trés honoré de lire les interventions du "Honorable secretary and master of the letters " de la Fraternity of Saint-George.

    "The compagny keeps a low threshold of entry for shooting in Longbow so that all may join " est remarquable.

    Peut-être trouverez-vous des informations sur l'histoire des compagnies de tir à l'arc françaises avec ce livre édité par les éditions CRESPIN-LEBLOND en octobre 2007 : " Le tir à l'arc 1900 " de A. de Bertier, V. Cordier et A. Guglielmini.

    Voici le résumé de l'ouvrage :

    "La bibliographie française de l'archerie est riche de plus de quatre cents ouvrages. Nous vous proposons dans ces pages la réédition d'un de ses monuments : LE TIR A L'ARC, plus connu des initiés sous le nom de « LE BERTIER ». Ce livre fut publié en 1900 par la librairie Hachette et Cie dans la collection « Bibliothèque du sport ». Cet ouvrage est signé par : Le Comte A. de Bertier, V. Cordier et A. Guglielmini. Le tir à l'arc sportif est aujourd'hui le résultat d'une évolution rapide et fortement influencé par la dimension internationale du sport. Ces pages sont les témoins de la fin d'une époque où le tir à l'arc puisait encore son existence dans des traditions façonnées lentement par les siècles et les archers. L’archer d'aujourd'hui trouvera dans ces pages le formidable message de ceux qui l'ont précédé dans sa passion, derrière un arc. Il y trouvera des racines qui nous l'espérons lui permettront de se sentir relié à l'histoire de son sport et d'en tirer ainsi toute la force. Illustré de près de 150 dessins et gravures dans le texte. "

  22. Merci beaucoup a vous tous, je vais explorer ces pistes. A vrai dire je ne pensais pas avoir des réponses aussi rapides ^^. Merci beaucoup a tous :07:

    Un dernier lien à " Am.J phys. april 1981" sur la balistique de l'arc et de la flèche : http://sci-toys.com/bow_and_arrow.pdf

    Voir " annex B, air resistance effects ".

    Mais rien sur l'aérodynamique de la fléche en ce concerne l'écoulement de l'air autour de l'empennage, la portance des plumes, la trajectoire, la stabilité, etc .

    Eventuellement pour commencer : http://aerodynamique.chez.com/empennages.html

    Bonne lecture.

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