Jump to content

pierre

Les modérateurs
  • Posts

    13,357
  • Joined

  • Last visited

Posts posted by pierre

  1. Une autre méthode pour mettre la corde à deux sans fausse-corde consiste à bloquer la poupée de la branche du bas sur le creux du pied gauche (droitier), le dos de l'arc vers soi. La main gauche tient la poignée fermement et la tire vers soi pendant que l'autre main courbe la branche du haut. Une tierce personne met calmement la boucle en place sur la poupée du haut. Noter que l'on peut appliquer cette méthode seul avec un arc peu puissant et pas trop grand en faisant glisser la boucle placée sur la branche du haut avec la main droite vers la poupée.

    avec un peu d'habitude et en étant suffisamment grand, on peut même bander un longbow de 72" et 60 livres comme ça. :lol:

  2. J'avais un engin de ce genre, je m'en suis séparé. Je n'ai jamais eu une machine aussi bruyante que celle la et qui plus est c'est un vrai mange doigts. Si je n'avais pas eu des fers désafutés, il me manquerait probablement un morceau d'annulaire aujourd'hui.

    Ceci dit, cela reste très efficace pour usiner les lames de bambou. Quand je l'utilisais je n'effectuais que la finition sur la ponceuse.

  3. Si tu souhaites fabriquer toi même ta corde, en te tournant vers n'importe quelle archerie, tu trouvera les bobines de fil qui vont bien ainsi que le petit matériel qui aide, par exemple pour faire les tranchefils. Cependant, si une bobine de dacron coute une dizaine d'euros, il faudra compter un grosse trentaine (voire une petite quarantaine) d'euros pour du fast flight+ et encore plus cher pour des fibres plus moderne comme de l'astroflight du 8125 ou autre. Si tu souhaites faire une corde bicolore, en comptant la bobine de tranchefil et la machine à tranchefil, tu t'en tireras rapidement pour une petit centaine d'euros....

    Si tu décides d'acheter une corde toute faite, on ne trouve pas ce genre de modèle en archerie, il faudra alors que tu passe par un fabricant de cordes ce qui devrait te couter une vingtaine d'euros environs.

  4. Ha le bougre,

    je ne savais pas qu'on parlait de moi...

    heureusement ce week end, en Suisse, de vrais amis ont dénoncé Zeanluc, ce fourbe...

    Pierre, deux remarques, ma crispitude vient entre autre du prompteur,

    ce machin qu'il faut lire sans avoir l'air de lire et qui est assez chiant.

    D'autre part et plus important, je te signale que les saints peuvent être simultanéments durs et à poil long

    Quant à Zeanluc, quand je me serais occupé de son cas, ce faquin n'aura plus besoin de vagir :06:

    Je ne sais pas si tu as remarqué mais à chaque fois (ou presque) que tu vas ouvrir les mains, tu hausses les sourcils de manière démesurée... :ouf:

  5. Perso, j'utilise depuis longtemps des abaisse langue j'en prends 2 Un pour la résine, un pour le durcisseur puis j'en garde un pour mélanger le tout et pour étaler. je viens de renouveler mon stock les deux boites de 100 m'ont couté moins de 5 euros à la pharmacie du coin. j'ai, pendant un temps, essayé le rouleau mais je n'ai pas été convaincu et j'ai trouvé que niveau tarif, ça revenait carrément plus cher.

  6. Je comprends toujours pas .. Trop de vocabulaire :p Mais moi je veux juste savoir comment le mec sur le lien de JMG a fait pour faire la boucle :/

    Le mec en question c'est moi, il me semble que les photos sont assez parlantes...

  7. j'en avais entendu parler à demi mot, cela se murmurait le soir dans des tavernes enfumées fréquentées par les marins du port.Mais personne ne pouvait ou ne voulait le confirmer. c'était une légendes dangereuse aux relents de vérité à demi cachée. une de ses histoires qui vous mènent au confins de votre lucidité. de Après de longs moments de réflexion et d'hésitation, ébloui par les lumières chimériques j'ai fini par me lancer dans cette quête.

    On parlait d'un vieux monastère d'Europe du nord perché sur un pic désolé abritant un ordre ancien et méconnu de stylites ou de vieux moines cacochymes, gardaient une bibliothèque remplie de manuscrits dangereux et interdits. Ma recherche fut longue et éprouvante mais par un soir de décembre, bravant la tempête de neige et plus mort que vif, je frappais aux portes du lieu saint ou les robes du bure, réticents finirent par me faire rentrer et me prodiguer les premiers soins. plus tard, dans la nuit, j'arrivais à échapper à la vigilance de mon soigneur gardien pour explorer l’endroit. les manuscrits étaient concernés dans un donjon à l'aspect inexpugnable mais bravant tout cela je réussis à m'introduire dans ce lieu de savoir.

    Pour retrouver le texte tant désiré, je n'avais que quelques vagues rumeurs pour m'aider. On dit que celui ci avait été tracé à même la peau d'un modérateur de webarcherie qui aurait vécu au seizième siècle... Grand explorateur, ce modérateur inconnu aurait parcouru les confins du forum à la recherche de lieux inconnus. On raconte qu'a moitié fou et rongé par les maladies exotiques, il serait venu se retirer dans ce ce lieu désolé ou il aurait fini sa vie en proie au délire ardent. A sa mort, les moines, en lavant sa dépouille, auraient trouvé tatoué sur son dos, le fameux manuscrit. ils auraient prélevé la peau et l'aurait tannée pour en faire l'une de leurs reliques sacrées.

    Je fus chanceux et après quelques heures de recherches (les nuits durent longtemps en Europe du nord en hiver) Je pus me saisir du texte. je m’enfuis alors du monastère bravant le vent la neige et les loups affamés. mais il me fallait faire vite car je me doutais que les moines ne seraient pas dupes et se lanceraient à ma recherche. j'en savais déjà trop... et il leur importait que je ne puisse pas parler.

    Le manuscrit était une carte, je me mis donc immédiatement en chemin par monts et par vaux, bravant les intempéries. En remontant le courant du Mozambique, une tempête de mousson me fit chavirer. Je fus sauvé de la noyade par une felouque de pirates barbaresques qui me réduisirent immédiatement en esclavage. Un soir qu'ils fêtaient la fin de leur campagne de rapines dans le port de Zanzibar, s’enivrant de boissons et de filles, je réussis à leur fausser compagnie à bord d'une chaloupe. je hissais les voiles de mon frêle esquif et voguais plein sud est. Je me rapprochais du but, je le sentais dans ma chaire meurtrie. Après un mois de navigation au hasard, alors que mes réserves d'eaux étaient épuisées depuis plusieurs jours, un ouragan drossa ma coquille de noix sur des récifs. le choc fut terrible et je perdis conscience ce n'est que le lendemain que je repris connaissance, j'avais été emporté par le courant sur une plage de sable blanc et fin et je gisais au milieu des restes de mon vaisseau défunt.

    Mais j'avais réussi, j'avais posé le pied la ou le clavier du webarcher n'avait jamais mis la main....

    j'étais le premier à créer un sujet dans le forum dédié à Mayotte et je peux enfin prétendre à la possession de ce sous forum. ça vous la coupe hein?

×
×
  • Create New...