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charlysav

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Everything posted by charlysav

  1. Bonsoir, Deux principes s'opposent dans ta question: Placer des plumes en ailes d'avion pour un planer (Un trait ou une flèche ne font que tomber sitôt décochés) et monter l'empennage en hélicoïde pour un effet gyroscopique !! Imagine un planeur avec une queue en hélicoïde :05: Par ailleurs, il me semble que pour profiter de la stabilisation gyroscopique, il faut plusieurs centaines de tour/minute, les spécialistes pourront nous éclairer. De toutes manières, tu as raison quand tu dis "Waouh! La je dois dire que le carreau n'est pas à prendre a la léger pour avoir une bonne qualité de tir!" Avec un arc ou une arbalète moyens, un tir sera toujours mieux avec de bonnes flèches qu'avec un bon arc ou arbalète et des flèches médiocres ou inadaptées.
  2. Bonsoir, Vous m'avez donné mal au crâne avec vos développements ! Mais finalement, ça m'amène à conforter ma pensée : avec des moyens limités, seuls les essais mèneront à une amélioration. Question : Pour un empennage annulaire, quelle forme d'engin pour passer le barrage de l'arc?
  3. Bonjour, j'ai relu le post de ton lien(Brutus et Zol), il me semble que le test avec Queue plus grosse que Tête de fût n'a pas pu être fait. De fait la puissance de leur arbalète devait aussi engager pas mal de déséquilibre à ce niveau. Le problème est que la fabrication nécessite un tournage. Je pense que, comme pour l'arc, il faut essayer plusieurs formes, longueurs, empennage, pointes, et masses. Cordialement
  4. Bonsoir, Autre vocable, on dit aussi un trait d'arbalète. Flèche, carreau, trait, y en a-t'il encore ? J'avais levé ce texte (dont je ne suis pas l'auteur) quelque part sur un forum : Stabilité du vol des carreaux Ces carreaux témoignent de l'expérience aérodynamique des inventeurs romains qui les conçurent. Aujourd'hui, il est bien connu que l'empennage (qui sert à empêcher la flèche de vriller en vol) est une source de traînée importante. La réduction de la taille de la flèche permet d'allonger sa trajectoire pourvu que celle-ci ne se mette pas à voler de côté (en crabe), ce qui augmenterait considérablement sa traînée. Une des solutions consiste à profiler un fût tronconique plus étroit à l'avant qu a l'arrière. Quand un fût de cette forme commence à virer, la pression totale de l'air est plus élevée sur la partie arrière que sur l'avant si bien que la flèche reprend sa ligne d'origine. Autrement dit, le fût a un centre de friction (point d'équilibre de toutes les forces aérodynamiques agissant sur le fût) arrière du centre de gravité. Sur une flèche cylindrique sans empennage, ce point se situe environ au milieu du fût. Sur un carreau conique, le centre de friction se décale vers l'arrière, plus large. Comme le centre de friction se retrouve en arrière du centre de gravité, ce genre de flèche est plus stable que son homologue cylindrique et subit moins de frottement qu'une flèche munie d'un empennage. Elargir l'arrière du fût a aussi permis d'alléger la friction de l'écoulement de l'air sur sa surface selon la terminologie moderne, la couche limite se décolle plus en arrière de la flèche: le raccourcissement du fût se justifie par le fait que plus un cylindre est long, plus l'écoulement de l'air à sa surface tend à être turbulent. C'est pourquoi la turbulence (grande consommatrice d'énergie) est minimisée par des fûts courts. Un autre facteur qui augmente le rendement du carreau conique est probablement la conception de son talon : il est taillé en biseau pour s'ajuster entre les mâchoires de détente de la catapulte. À l'instar de la forme conique, cette encoche régularise l'écoulement d'air à la queue du projectile et réduit ainsi le sillage turbulent qui consomme beaucoup d'énergie. Rien ne nous autorise à penser que les experts techniques de l'époque connaissaient les efforts ou les détails du frottement et de l'écoulement de l'air. Ces concepts ne commencèrent à prendre forme qu'avec Léonard de Vinci. Les premiers carreaux furent sans aucun doute conçus empiriquement avec des réussites et des échecs accompagnés de déductions logiques; le but principal des recherches était probablement d'accroître portée et puissance d'impact. Néanmoins, les artisans de l'époque améliorèrent beaucoup la conception des projectiles les expériences en soufflerie que nous avons réalisées nous le confirment. Nous avons testé plusieurs traits: une flèche d'arc médiéval de guerre typique, un carreau d'arbalète médiéval et deux échantillons de chacun des deux types connus de carreaux de catapultes antiques. Nos résultats doivent être interprétés avec quelques précautions car la taille de ces projectiles, en particulier le plus petit, approchait la limite de sensibilité de notre appareil de mesure. Mais, même en tenant compte de ces limitations, cette étude aboutit à d'intéressantes conclusions. Premièrement, le plus petit carreau, assez bien conservé sauf pour ce qui est du talon un peu abîmé, avait une bonne stabilité dans tous les angles de vol possibles lors d'un usage normal. Deuxièmement, la comparaison entre les différents rapports résistance/poids des quatre traits nous révèle que ce rapport est, pour la flèche d'arc, nettement inférieur aux autres. Le poids d'un projectile peut être envisagé comme une mesure de la capacité à emmagasiner de l'énergie. Si tous les projectiles sont lancés à la même vitesse initiale, leur poids définit l'énergie au début du vol. La résistance du trait correspond au taux de perte énergétique. Un faible rapport résistance/poids correspond à une longue portée. Dans le cas de la flèche d'arc, ce rapport est environ deux fois plus élevé que celui des autres traits. Il apparaît donc qu'une fois les premières contraintes de conception des flèches surmontées, les ingénieurs de l'antiquité et du Moyen Age furent capables de beaucoup optimiser la conception. Cette conception était si bien adaptée aux matériaux dont ils disposaient qu'elle n'a plus guère été améliorée pendant tout le temps où l'arc a constitué une pièce maitresse de l'art militaire. Si cela peut aider, sinon comme le dit souvent un des "modos" ton meilleur ami est : "moteur de recherches"
  5. Exact, j'ai survolé le post via le lien que tu as mis et je me suis gavé des photos de ses réalisations. Il a de l'or au bout des doigts et une logique qui va de pair avec sa foi dans ce qu'il veut réaliser. Chapeau ! :115:
  6. Bonsoir, Bon certes ..., mais je ne vois pas tailler un rail dans un arbrier en alu, avec un bédane et une lime. Un minimum de matériel est quand même requis, ou alors l'ami que tu cites avec ton lien est un sacré ajusteur (tout est possible). Mais c'était une sacrée réalisation en peu de temps. Cordialement.
  7. Bonsoir Bien vu. Mais construire un engin pareil, il faut avoir un atelier de machines outils !! Je pense que l'on peut quand même construire un engin sans arc, j'ai déjà vu quelques réalisations. Bon courage, bonne réalisation. :29: Cordialement.
  8. ??? Si ça lâche, y a une assurance pour les Joyeuses ? :109: :06:
  9. Bonjour, J'ai trouvé un "Diderot et D'Alembert" sur : Gallica Qui traite des métiers du 17° & 18° (téléchargeable en pdf) Mettre : Diderot et D'Alembert, dans l"onglet recherche, item : auteur Est-ce cela ?
  10. Sans compter les ennuis dus aux fouilles et les retards de travaux ou la perte de jouissance même momentanée! Surtout pour un particulier :26: .
  11. C'est ce que je voulais exprimer. Merci de ces précisions Cordialement.
  12. Oui, exact. Mais seule la découverte dans un grenier ou autre grange en nue propriété vous appartient. La législation "française", par contre refuse toute appropriation du sous sol, y compris l'eau. C'est ainsi !
  13. Ca vaudrait le coup de passer une "poêle à métaux", on ne sait jamais !
  14. Bonsoir, Juste une question, es tu sur un site classé? car chez moi, aucune fouille n'est autorisée sans la déclaration en mairie aprés avis de l'administration des sites archéologiques. Je l'ignorais encore totalement, il y a 6 mois, quand j'ai du aller en mairie pour des papiers et qu'en attendant mon tour, j"ai consulté les affichages.
  15. Bonjour à tous. Quelques indications : Equipement militaire Romain Ça serait sympathique d'avoir une pièce d'époque.
  16. Bonsoir, C'est une continuation du post : http://webarcherie.com/forum/index.php?sho...c=19418&hl=
  17. Bonsoir @E@gle_One, Tu as entièrement raison, j'ai raisonné en valeur absolue pour rester simple, bien que mon dessin était vectoriel. Mais le fond reste le même. Cordialement.
  18. Bonsoir, Vu sur Archasse : Extrait de vidéo de décoche C'est ahurissant de voir aussi bien le flambage du fut!
  19. Avec cordes non parallèles : Cordialement
  20. Deux schémas pour illustrer (si ce n'est pas clair, dis le moi) :
  21. A partir du moment où tu veux un effet amplificateur, il faut que ce soit ta poulie qui bouge. Rappelles toi, la force dans la corde est la même de chaque côté de la poulie, donc l'effort, sur l"axe de la poulie, est la somme de ces 2 forces (quand elles sont parallèles).
  22. Ok, j'avais mal interprété ton dessin. De fait tu armes par la corde du haut donc les deux poulies du haut ne font que renvoyer la force des ressorts. Pas d'addition des forces comme je l'ai dit par poulie, tu récupères simplement la force des 2 ressorts additionnés.
  23. Bonsoir d'un petit nouveau qui s'en met plein les yeux depuis quelques semaines à parcourir tous vos posts. :24: La tension dans la corde est la même de chaque côté de la poulie, quelle qu'en soit le diamètre. Donc la force exercée sur l'axe de la poulie est le double de la force du ressort. Pour 2 ressorts, la force appliquée à la luge est la somme des forces des ressorts, multipliée par 2. De plus les forces renvoyées par les poulies du haut s'annulent, tu peux les supprimer et accrocher la corde à un point fixe (plus simple). Cordialement
  24. Sur la vidéo suivante je ne constate pas le même phénomène, ou j'ai pas encore l'œil. http://fr.youtube.com/watch?v=ZCOhEMuFFaw&...feature=related
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