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neziere

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  1. Concernant le problème des armes, j'ai déjà eu affaire aux représentants de la loi (ce qui m'oriente vers les arbalètes!) et je crois qu'il faut rester très vigilant sur les connaissances (ou absence de) et réactions imprévisibles de ces messieurs: 1/ dans un cas j'ai eu affaire à des policiers de commissariat de quartier, qui ont fait de joyeuses confusions dans les catégories (déclarant en 4ème ce qui n'était que 5ème donc méfiance....) ont déclaré morceaux d'armes classés des objets qui ne l'étaient pas (méfiance!) 2/ dans une affaire connexe, j'ai eu affaire à des représentants de l'OCRTAEMS (Office Central de Répression du Trafic d'armes, Explosifs et Matériaux Sensibles du ministère de l'Intérieur) : des pros, maitrisant très bien le domaine des armes et de leur classification (et accessoirement sachant faire une perquisition). Tout ça pour dire : tu as raison, sujet pouvant devenir délicat, donc je laisse tomber car ta remarque est juste : ou commence l'arme à feu? Donc retour aux arbalètes classiques et fin du sujet . Jean-Marc
  2. Merci pour ce riche commentaire. 1/ Je n'ai jamais parlé de gaz comprimé en bouteille ou cartouche dans mon post, seulement de cartouches à blanc, d'ou le titre "à poudre".. Tout à fait d'accord sur la problématique (d'ou le "a priori" de mon post 1). 2/ Je connais un brevet US sur l'armement avec bouteille de gaz comprimé (ce qui ne signifie pas que ça fonctionne). 3/ Une cartouche (opérationnelle) d'arme de poing donne une pression maxi dans la chambre de l'ordre de 2500 kg/cm² avant départ de la balle, cette pression étant de l'ordre de qques centaines au bout du canon. Les cartouches à blanc sont moins chargées, et là réside effectivement un facteur limitant : pression finale du contenu du système piston/cylindre qui devra se déplacer sur la longueur de la course d'armement (25 cm??) au moment ou devrait se faire le'accrochage sur la noix... 4/ J'avais annoncé dès le départ que je m'éloignais du médiéval, donc aucune contrainte de ce coté. 5/ Il y a des pertes (thermiques, mécaniques) pour armer l'arbalète, qui se retrouve arbalète classique jusqu'à ce que le trait en passant déclenche le démarrage d'une nouvelle explosion. (la mises en place d'une nouvelle cartouche devant avoir lieu en fin d'armement en utilisant la pression résiduelle. Bon, c'est spéculatif, mais pour moi ça reste un projet amusant. ne reste plus qu'à faire des essais (sur la valeur du concept pression finale, brutalité du processus, etc...) Encore merci pour les commentaires
  3. voir sur Youtube des essais officiels de la Navy (railgun) Stop, je sors du cadre des arbalètes
  4. Parceque : 1/ les carabines sont des engins classés,qu'on ne peut acheter et détenir sans formalités que si la puissance est < 10 joules (pouet!) 2/ sinon permis de chasse ou inscription dans un club 3/ si 2, de toute façon capacité en semiauto limtée à 3 coups dont & dans la chambre 4/ essais de flèches à empennage coulissant avec un colt 45 durant la dernière guerre : résultats lamentables, abandonné (flèches arrivent en travers) 5/ ça existe : fusil sous marin russe anti-nageurs semiauto avec un énorme chargeur (flèche+étui sont associés). Réputé efficace , je crois, jusqu'à 30 m de distance.'mais développé par des pros!). Voilà qques unes des raisons.
  5. Bonjour A poudre mais pas aux yeux! (que les puristes détournent le regard) Pour revenir sur un commentaire que j'ai fait ailleurs : 1/ au lieu d'utiliser des moyens mécaniques pour bander l'arbrier, pourquoi ne pas essayer un rechargement par cartouche à blanc ? (la lenteur possible du processus devrait permettre un temps prolongé de l'échappement et donc un silence relatif. Une poussée de 150 kg /cm² (Nm?) en fin de course du piston ne doit pas poser de problème. 2/ on peut rêver : arbalète à répétition puissante, tout mouvement d'armement étant remplacé par un chargeur de cartouches à blanc, et on peut conserver le chargeur de flèches type chinois . On pourrait même concevoir les 2 chargeurs couplés en séquençant l'alimentation 3/ utilisation d'une cartouche à blanc pour mouvoir le système de détente. La détente primaire peut être de qques centaines de grammes, comme sur une arlme à feu : pression sur queue de détente->libération dpercuteur->pecussion cartouche->poussée sur piston...et hop... Peut être suis un peu hors sujet ? Elucubrè je?
  6. Pour voir fonctionner le système : http://fr.youtube.com/watch?v=UYgbKi4SX5M http://fr.youtube.com/watch?v=Vf97Fn11_Lc&...feature=related les mots clés : crossbow repeating
  7. Bonjour à tous (merci pour le café owl) Ayant peu(pas) d'expérience dans les arbalètes mais long un passé dans les armes à feu (la suite va faire frémir les puristes...) Pourquoi ne pas utiliser les ressource s disponibles pour faciliter le fonctionnement des arbalètes : utilisation d'une cartouche à blanc 1/ gros modèle pour bander l'arbrier (cela nécessite une pression maxi de 200 kg/ cm2 (désolé de ne pas parler en N:m) qui n'a rien de rhédibitoire Prévoir un cylindre avec petit orifice de sortie en bout pour permettre une sortie lente des gaz (bruit). le cylindre aura eu le temps de se vider et de revenir en place (ressort de rappel) avant même l'installation du trait suivant. 2/ agir sur la détente : la pression du doigt n'a plus qu'à libérer un percuteur comme sur les armes à feu, ce qui permet de réduire la pression à qques centaines de grammes. Dans les montages je vois rarement (jamais ?) des roulements à aiguilles, or la pression statique de l'arbrier s'applique à l'axe de la noix à travers celle-ci, et les frottements, surtout si c'est acier/acier, ne doivent pas être négligeables, d'ou décoche plus lente (et usure=jeu). Enfin concrernat 1 et 2 : quelle serait la catégorie administrative d'une arbalète à cartouches (mais incapable de tirer des balles) arme d'alarme ? Merci de vos retours Jean-Marc
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