Arkipousse

Autre vue de la cuisine et des cuisiniers à l'oeuvre

Et puis, entre la 2ème et la 3ème boucle, on est passé près de la cuisine

Techniques de tir

Un exemple de résultat encourageant

Le dit Félix en action

Le groupe de Félix nous suivait

Le lavoir près de l'église : l'eau est toujours aussi froide

Un parcours pas trop physique mais assez technique, avec quelques pièges visuels, des dévers, ...

Y'avait du beau monde, tout pour faire une épreuve relevée : un exemple.

Le dernier ouikande de juillet, pour quelques millions de français, c'est le "traditionnel-chassé-croisé-des-vacanciers-que-bison-futé-a-classé-noir-sur-la-route-des-départs-et-rouge-pour-les-retours" (à lire d'une traite sans respirer...) et, pour quelques dizaines d'autres, c'est La Chapelle aux Saints : ça, c'est important ! Cette année a été, comme les 2 précédentes, un succès : super accueil par une équipe bien rodée et toujours aussi enthousiaste, beau temps, parcours qui semble facile mais qui, mine de rien, est assez technique et, sans doute un effet du temps, pas de moustiques ! Bref : les absents ont eu tort.

Contrairement à celle-ci qui aurait eu du mal à aller plus loin : c'est fatiguant le tir préhistorique... Et pourtant, la visite des réserves du musée était passionnante.

Celui-ci, on ne sait pas d'où il venait mais il était pacifique, heureusement... Peut-être un lointain parent de l'homme de Tautavel, échappé du musée ?

Et un pavois mérité : merci patron. Et vivement l'an prochain.

Avec le patron aux commandes pour la proclamation des résultats

Et puis le traditionnel repas catalan

Et un animal autochtone

Et encore une...

Même cible avec une sagaie tordue

Et toujours la cible de tous les dangers : la championne n'a même pas peur mais elle sera pourtant battue par Mme 85-points-à-l'atlatl-qu'elle-le-croit-toujours-pas...

Et le lendemain, tir au propulseur avec des résultats assez bons pour certains

Heureusement, le soir, le repas convivial a remis les choses à leur place

Et puis est venue l'heure de faire les totaux, avec un Doudou encore sous le choc d'une flèche manquée...

Et le soir, on s'est couchés moins bêtes : on sait maintenant enfin à quoi ressemble la salsepareille... Merci Claude

Ah, l'odeur de l'huile de cade...

Cette année, le parcours avait été balisé par un botaniste chevronné.