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FREDERIC

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  1. Je commence avec une bande de 40 ou 60, puis 120 et enfin 240 et bande de polissage. Mais le travail du bois et la finition de l'acier autorisent l'utilisation du backstand si la vitesse du moteur est réglé au minimum!!!!
  2. Merci encore :) linchak: Mes manches sont ENTIEREMENT réalisés au backstand; de cette manière: http://www.treemanknives.com/upload/worksh...nding-handl.jpg M'as-tu déjà vu monter des lames guillochées??? Mais ma méthode est possible: il suffit juste d'appuyer un peu plus les coups de lime lors de la réalisation du guillochage (de toute façon j'enlève très peu d'acier lors de l'usinage final). Je te le re-dis ma méthode permet de conserver le travail décoratif de la lime. Pourquoi la rouge: elle est tout aussi résistante que les autres, sèche très rapidement (un collage réalisé en début de matinée permet de mettre les plaquettes en forme dans l'après-midi (pas en ce moment fait trop froid dans l'atelier)).
  3. Que je veux-tu, j'aime les risques et j'ai pris mes marques avec cette méthode qui me va tout à fait. De toute façon, le dos de ma lame, le tour de mes plates semelles ne sont pas finies afin de me permettre l'usinage final des plaquettes et des intercalaires: Tiens voilà à quoi cela ressemble:
  4. Gourmand, va! je ne travaille qu'avec de la bi-composants Aradilte ROUGE!!! elle me convient bien...rapidité et efficacité obligatoire: - de 3 minutes pour tout mettre en place. J'encolle entièrement les plates semelles, puis les rivets que je mets en place. J'encolle les extrémités (vers le ricasso et le talon) des intercalaires en cuir (afin d'être certain d'une bonne répartition de la colle) puis je les pose sur les plates semelles. J'encolle la partie des intercalaires qui va épouser les plaquettes bois. Avant de poser les plaquettes sur les intercalaires, je remplis de colle le passage des rivets (les rivets sont collés mais pas mâtés) Serrage dans l'étau pendant 12 heures. Reste plus qu'à usiner le manche, qui n'est à cet instant, qu'un gros bloc informe.
  5. Des petits morceaux d'amortisseur (pas mes gros habituels, héhéhé).
  6. Le temps est un allié, quand il fait oublier les querelles du passé. J'avais oublié le son de ta voix. Moi j'avais oublié ton regard. J'avais oublié la force de ta main. Moi j'avais oublié ton rire. Comme c'est bon de te revoir, mon frère. Comme c'est bon de te retrouver, mon frère. Les deux couteaux, presque symboles de ces retrouvailles mesurent 24cm. Des plaquettes de Padouk, des intercalaires en cuir noir, et deux rivets en laiton habillent les plates-semelles longues de 10cm.
  7. FREDERIC

    COUTEAU

    Tu es bien matinal, dis donc! J'aime beaucoup tes piémontais, surtout quand tu remplaces, comme ici, l'intercalaire bois par de l'acier finement guilloché. Tes créations sont toujours un ravissement pour les yeux: choix des formes et des matériaux..tu es toujours pris en faute de BON GOUT :115:
  8. Ca "sent" le boulot bien fini. Encore une histoire qui se termine bien! Sont sympathiques ces étuis B)
  9. La moitié, ce serait couillon: une lame sans manche, ou un manche sans lame, pfffff :109: Bon Anky, tu sais ce que je pense de tes knifes: de la progression, voila ce que tu nous montres. Un travail de mieux en mieux fini (ces intercalaires, une beauté...), qui montre ta volonté d'en donner plus à chaque couteau. Ok, on n'est loin de tes Ankeries, mais comme dit Gilles: faire tes gammes sur des surins plus tradi permet ensuite d'assurer techniquement tous tes futurs délires. Vivement que tu aies un back, hein papa Noël?!
  10. Il est très beau (même si ce n'est pas un camp knife :P ) Ce résultat augure de bonnes choses à venir. Bravo pour cette sympathique collaboration.
  11. S'il n'y a pas de gène, alors c'est parfait. Joyeux Noël.
  12. Très chouette. Le voici bien habillé...tu l'as testé, le passant n'est pas trop bas? Ce qui aurait pour conséquence de monter très haut le talon du couteau! Si j'étais toi, je teindrais les parties brut cuir. Perso j'utilise de la cire: teinte noyer. Encore bien joué :29:
  13. Une râpe qui coupe, et plutôt bien même B) Beau montage linchak, ces plaquettes lui vont comme un gant.
  14. Comme je te le disais, je m'étais posé la question! Mais ton amicale insistance m'amènera à envisager le prochain sous un autre angle. :37:
  15. Ta dernière remarque est très judicieuse..c'est une question que je me suis posé lors de la réalisation de mes deux dernières grandes lames. Mais ce double tranchant (non affûté) donne une telle gueule à ces grandes lames, que l'esthétisme a primé sur le pratique :37:
  16. Tout se joue lors du forgeage et se confirme lors de la finition des émoutures. Je m'explique: Sur mes couteaux de camp, le premier tiers de la lame (en partant de l'entablure), côté tranchant, est moins épais que le reste de la lame. La partie rasoir se trouve donc sur cette partie, qui sera utilisée à découper. Les deux autres tiers (jusqu'à la pointe) plus épais seront utilisés pour fendre...bois, os etc Cette méthode permet de répartir de poids de la lame vers l'avant, et de faciliter son ré-affûtage en gardant toujours le même angle.
  17. 100% de ton avis concernant le ratio épaisseur/largeur à respecter. 8mm et 4 cm (ici) me permette d'obtenir un tranchant rasoir, en dessous de 4cm ou au dessus de 8mm c'est plus problématique. Ce serait d'autant plus soucieux pour un couteau autre qu'un couteau de camp!
  18. David: 36/38cm sont des dimensions que j'aime (mon précédent lui aussi en était) forger et émouturer (avec l'habitude çà va tout seul maintenant). Je pense que l'impression de "gros" que tu décris pour ton couteau fait référence à un aspect trop massif; essaie sur ton prochain de réduire la lame à 4cm maxi de large. Tu obtiendras une lame plus élancée, qui te fera complètement oublier ses dimensions Garguantuesques. Rajoute un soupçon de courbure sur le dos et tu verras que le couteau, malgré ses 38cm, aura un tout autre charme. A chaque couteau son utilisation...quand je veux me couper un morceau à grignoter, je prends mon opinel. :37:
  19. Avec ce nouveau jour qui se levait, la promesse de retourner au campement devenait réalité. Voilà deux jours que je marchais seul dans sa direction. Mes compagnons y étaient restés regroupés en attendant que cette fichue tempête de neige se calme. Je les avais abandonné, car cette attente m'était devenue insupportable, et mon impatience m'avait poussé à les quitter sous le prétexte de tenter en reconnaissance. Mon équipement se résumait à quelques vivres, une bonne couverture et surtout mon gros camp-knife. Sans sa présence, le parcours de ces quelques jours aurait été plus difficile... Le couteau, forgé dans un lame d'amortisseur de camion (pour ne pas changer) mesure 38 cm. Sa lame de 23cm, de la pointe au ricasso, offre une largeur de 4cm, une épaisseur maxi de 8mm et un double tranchant (brise os). Le manche quant à lui mesure 12cm, et est constitué d'intercalaires en cuir noir et de deux plaquettes de prunus.
  20. Enfin un couteau d'homme :109:
  21. FREDERIC

    black

    Du pur David comme on l'aime, et ce bel ébène :29:
  22. J'aime beaucoup ce que tes mains ont fait de la lame. Tu as su finir le boulot avec beaucoup de finesse. Bravo à toi pour cette belle mise en valeur. Avalon, ton oeil expert à su percer à jour mon inclinaison, pour cette lame, vers le travail de Vally.
  23. FREDERIC

    COUTEAU

    Joli feuilleté au dessin quasiment symétrique...petite incursion (comme une coulure) du 15N20? Le manche est très original, il nous joue le Docteur jekyll et Mister Hyde. Choix judicieux, bien joué Gilles.
  24. Une petite astuce pour jumeler les deux couteaux. Une simple lanière passée entre les passants des deux étuis:
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