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FREDERIC

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Posts posted by FREDERIC

  1. Maintenant je vous propose un petit défi bande de mécréants.

    Forge d'un couteau ( ou stock remouval on s'en fout).

    Une lame, prolongée d'une partie du manche en plate-semelle et le reste du manche en montage soie. Fin de l'exercice : Fin Novembre.

    Vous relevez le défi ? Même pas cap' !

    A vos marteaux !

    Intéressant :29:

    Je suis partant, faut juste que je trouve le temps B)

  2. :whistling::whistling:

    Fred , tu as bien fait de préciser qu'il s'agissait de ton point de vue car c'est très discutable !!!!!

    Ma petite expérience dans ces deux domaines m'amènerait à dire que le montage en plate semelle est surtout plus rapide à exécuter ....

    Les éléments "dissociateurs" que tu considères comme les points forts du montage avec soie, peuvent aussi se transformer en écueil esthétique ...

    Si la sobriété correspond à l'essentiel ,à ce que tu appelles un" simple trait sur la feuille" ...il est vrai que la plate semelle sera une solution interessante mais le montage avec soie offrira le défi de l'aborder autrement en ajustant et en combinant différents éléments .....C'est un autre plaisir :104: une autre technique ;)

    Tu remarqueras dans mon message que je reconnais la difficulté de réaliser un montage sur soie en précisant que les "ajustages" doivent être parfaits.

    Malgré tout à la vue de certains couteaux je continue à croire que la garde sert parfois de "mur" entre la lame et le manche.

    La séparation qu'elle offre entre bois et acier, masque parfois des alignements ou proportions "douteuses" qui se remarqueraient de façon évidente sur un plate semelle.

  3. Belle histoire et beau couteau.

    C'est vrai qu'un montage sur soie est plus technique, voire plus "laborieux" à réaliser; les ajustages ne souffrant d'aucune approximation.

    Mais, à mon goût, il est plus difficile de réaliser esthétiquement un montage sur plate semelle.

    Il n'existe dans ce cas ni garde ni empilement de matériaux susceptibles de jouer un rôle séparateur, """dissociateur""" entre lame et manche.

    Avec le montage sur plate semelle on se rapproche de l'essentiel, du simple trait sur la feuille...

    Anke, quand tu auras testé ton couteau décris nous la réelle utilité des premiers cm de ta lame, situés juste avant la partie en laiton.

    Ne crois-tu pas qu'étant plus haute que la partie la plus ventrue de ta lame, elle ne soit jamais en contact avec ce que le couteau sera destiné à découper?

    Merci pour tes lumières :37:

  4. Comme je te le disais ailleurs, tu n'es qu'un grand filou.

    J'ai d'abord lu le texte, puis vu les images...tu parles d'un choc quand j'ai maté les clichés du gringalet.

    Tu m'as bien eu, vieux loup de mer.

    Il est superbe ce petit pointu.

    Tant par son damas aléatoire son montage et la démarche qui a guidé ton marteau.

    Tu as, également, toute mon amitié...et ce clin d'oeil me touche.

  5. Il a un charme fou ce couteau.

    Cela tient-il de son damas aléatoire ou de sa forme si proche des couteaux asiatiques??.

    Les deux sans doute!

    En tout cas ta maîtrise de la forge et du montage sont, eux aussi, pour beaucoup dans ce très bel objet.

    :29:

  6. C'est pas faux Gilles :109:

    Mais vu la constitution du niolox j'en ferai bien des grosses lames...un gros baroudeur inoxydable :wub:

    Reste plus qu'à adapter les traitements thermiques à l'utilisation.

  7. Anke, moi qui ne suis pas fan de déco sur les lames, je t'accorde que le guillochage asymétrique peut se révéler très "artistique".

    Car loin de reproduire à l'identique 2 ou 3 encoches différentes qui se répondent en vis à vis, le guillochage aléatoire (faussement) s'il est envisager dans son ensemble peut apparaître comme oeuvre (petite) à part entière.

    Le coutelier devant, à mon avis, coucher sur le papier l'ensemble de ses futures incisions afin de créer au final un ensemble structuré, ou déstructuré, mais en tout cas cohérent.

    Cohérent car je ne vois pas sinon l'intérêt d'aligner des coups limes pour la seule envie de "griffer" le dos de la lame.

    Bien vu Anky :37:

  8. Dis donc, M'sieur connait Fred Perrin :whistling: :109:

    Un sacré technicien ce gars là, même si la forme de ses surins me laisse de marbre.

    J'suis pas fan des petits surins tactiques, mais si c'est une commande c'est différent.

    Surtout s'il est conforme aux cahiers des charges...c'est une bonne méthode pour forcer l'acier à obéir, non mais qui c'est l'patron :P

  9. Quelques heures hier soir m'ont permis de réaliser l'étui du "gros" façon green river.

    Le couteau part sous peu dans les bagages d'un ami, à qui je l'ai offert.

    Direction le Canada pour plusieurs jours de chasse à l'arc.

    dsc4886qd0.jpg dsc4888nd0.jpg

  10. Excellent!

    J'espère que tu as deux brûleurs dans ta forge?

    Parce que avec une lame aussi longue tu as du "danser" devant ta forge pour maintenir l'ensemble de l'acier à une température homogène.

    Même si avec patience les choses se mettent en place correctement!!!!

    Comment as-tu trempé ta lame?...verticalement dans ton bidon à lait?

    Judicieux le choix de fixer la lame avec plusieurs rivets.

    Si habituellement deux suffisent, ici la flexibilité de la lame doit sans doute se ressentir jusque dans la poignée, et la solliciter plus que de coutume!?

    :29:

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