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owl

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  1. D'accord avec JMC il s'agit bien d'une arbalète a jalet mais modifiée pour tirer des traits. Pour mémoire voici les différents types de cet engin au cour des ages:Le principe de l'arbalète a bille vient de Chine , il existait aussi a partir d'un arc.
  2. Fichtre! Quelle jolie envolée, En utilisant un oeuil avisé, Pour une arme si belle parler. Ainsi de la branche au gosier, L'arbalète,l'oiseau nous a amené.
  3. Il s'agit d'une mauvaise copie moderne d'une arbalète a "jalet" que tu peux trouver dans les magasins de déco en quasi arme. L'original était a la mode au 16eme siècle surtout en Italie et en Allemagne mais l'invention vient des Chinois probablement avent notre ère
  4. Tu regarde attentivement ce plan tu as tout ce-dont tu as besoin regarde bien le tableau en bas il te donne les dimensions en fonction de la puissance . Sa te fera travailler ton Anglais!!! Toutes les dimensions sont en "inch" 1 inch= 2cm54. Observe bien comment l'arc est taillé a la scie,n'oublie pas de couper les bout de tes ressorts (ou se fixent les boulons).Pour les encoche de corde tu peut faire comme ils te le montre, personnellement je préfère tailler des encoches directement dans le ressert sa allège les bouts (plus de vitesse). Prend une lame de scie de la plus haute qualité possible (le ressort est trempé)
  5. Les dimensions sont pratiquement identiques ,il n'y a pas de "sya" sur celui de l'arbalète
  6. A l'origine mon premier arc composite devait servir pour une arbalète ,mais je le trouve très fun comme arc aussi le deuxième sert uniquement pour l'arbalète d'ailleurs il faudrait être un archer Gallois de la haute époque pour l'armer a bras franc!!!
  7. J'ai enfin terminé mon arbalète chinoise "classique " a arc composite.L'arc développe 120 livres pour 63 cms d'allonge Il reste encore un peu de réglage sur la détente et sur la corde je vais la raccourcir un petit peu pour légèrement augmenter le band.
  8. Je serai enclin a privilégier la même conclusion. Les informations sur cette arbalète sont très limité,si un distingue membre en possède elles sont les bienvenues pour le bénéfice de tous. J'ai essayé de contacter par mail Bede Dweyer (spécialiste archerie asiatique) mais le numéro de mail que je possède s'avère erroné,si quelqu'un le connait j'aimerai bien l'avoir pour lui transmettre mes travaux exécutés a partir de son article.
  9. Dans l 'arbalète original le chargeur , selon les dessins de Mr Dwyer ,contenait deux piles de 9 traits. Chacun de ces traits était extrêmement bien ouvragé: d'une longueur de 14,3cm,d'un diamètre de O,5cm en bambou dont une point triangulaire en bronze de 2cm manchon compris ces traits avaient même un petit empennage (très petit du a exiguïté du chargeur). Ces trait avaient une grosse force d'inertie a courte distance avec un vol droit du a leur bon équilibre et aux empennages. Dans ma réplique je rentre deux fois 8 traits (plus gros diamètre) ils font 14cm de long,pour une allonge de 11cms. Comme sur un Chu Ku No a levier ,le risque d'enrayage est fréquent si on essai de tirer trop vite (les carreaux tressautent car ils ne sont pas calés par un ressort) tout dépend aussi de la qualité et de la précision de la construction, de ce fait chaque arme devait avoir son propre "caractère" sur la mienne , en faisant attention je tire une paire de carreaux environ toute les deux secondes.
  10. Rien n'est exclu aucun textes ou autre exemples ne sont là pour affirmer quoique ce soit mais mais selon les archéologues c'est peu vraisemblable au vu des coutumes de l'époque
  11. En fait beaucoup plus précis qu'une arbalète a répétition classique, sa se pointe et se tire comme un arc a hauteur de l'œil et on peut viser le long du chargeur. La puissance comme j'ai put le constater, avec un arc a double lame de bambou, est suffisante pour projeter les carreaux (par paire) avec précision jusqu'à 10 m maxi, il s'agit de carreaux muni d'une pointe en bronze, tiré a hauteur de la figure ou sur un corps non protéger sa doit faire des dégâts et pour le moins calmer les ardeurs d'un ou de plusieurs malfaisants jusqu'à l'arrivée des gardes ou pour pouvoir fuir. D'après les archéologues Chinois il pourrait s'agir d'une arme de protection rapprochée prête instantanément a tirer . Sa préciosité est attestée par sa présence parmi les armes déposée dans la tombe d'un grand personnage.
  12. Pour terminer j'ai finit la teinture(encore quelques retouches),la fixation du boitier chargeur, J'ai également comme on peut le voire doublé l'arc (bambou) pour augmenter la puissance .Celle ci est maintenant satisfaisante permettant la projection correcte de deux traits simultanément. Les réglages ont été très laborieux car je ne disposais que de cotes générales:C'est un rapport compliqué entre le diamètre,la longueur du trait et l'espace sous la cloison centrale, l'angle formé par la corde a l'armé pour que les deux traits tombent correctement dans les rainures sens négliger la mortaise de la cloison centrale qui ne doit pas bloquer le passage du mécanisme ni l'arment (qui se fait par gravitation). Maintenant que j'ai déménager a Sully sur Loire,je dispose d'un véritable atelier que je suis en train d'équiper de machines adéquates et bientôt j'espère améliorer drastiquement la qualité de mes réalisations que je continuerai a publier si toutefois cela vous intéresse.
  13. Merci Thierry En effet j'ai déjà traité le sujet: Dans le moteur de recherche en haut a droite tu mets "arbalète chinoise" et la tu ouvre deux de mes sujet :(OWL) Chinoise a portée de tous vite fait et arbalète chinoise classique ,regarde aussi les excellentes publications de "Gallus Simensis" sur la meme page
  14. C'est une toute petite arme l'allonge est de 13cm ,la puissance négligeable. Le concept très novateur est d'une incroyable complexité a réaliser. J'ai tenté d'utiliser un arc en fibre disposé pour 50 livres et sa ne fonctionne plus, simplement a cause de la prise en main par la poignée qui en décalant l'axe d'effort produit des frictions insurmontables en fin de course.On sent dans le concept l'inspiration directe du le tir a l'arc .cette arme contrairement au Chu Ku No qui en se tirant a la hanche"arrose ",est très précise se prenant en main comme un arc avec une visée similaire.
  15. A l'armé ,ici maintenu artificiellement avec une cale ,le tir se déclenchant automatiquement quand la queue du mécanisme rencontre l'arretoire arrière.Ensuite on repousse la pièce mobile avec le creux de la main,en fin de course la noix se ré accroche sur la corde et ainsi de suite jusqu'à épuisement des chargeurs.
  16. Vue intérieure: il y a deux colonnes de traits séparées par une cloison dan la quelle il y a une mortaise afin de laisser le passage a la partie supérieure du mécanisme
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