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jicef

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  1. ;) Bonsoir, Je vous transmets les plans de mon arbalète. Il y a 4 feuillets de croquis. Les images du mécanisme, ainsi que de la hausse et la vue avant de l'arbalète qui étaient en grandeur réelle ont été réduites, mais j'ai rajouté quelques cotes.
  2. Bonjour, Ce cric est en effet un peu encombrant si on veut l'enmener avec soi pour aller sur le terrain. Il est destiné à armer l'arbalète dans un endroit fixé, ce à quoi je le destinais (pour faire du tir). Par contre, rien n'empêche d'adapter ce système. Il suffit de suprimer le logement du sabot de crosse et de faire fonctionner le cric en fixant des tétons de chaque côté de l'avant de la crosse avec des crochets sur la partie inférieure du bras armeur. L'ensemble est alors beaucoup plus léger et moins encombrant. C'est un choix... L'arceau à l'avant du cric est bien destiné à maintenir l'écartement des deux crochets pour qu'ils ne viennent pas se coincer sur l'arbrier lors de l'armement. Il sert également à positionner les crochets sur la corde. On tient l'arceau d'une main et on ajuste les crochets sur la corde tout commançant à faire pression de l'autre main sur le bras armeur. Ce cric sert également à armer l'arbalète à l'aide d'une fausse corde. Je reviendrai sur ce sujet dès que possible. Bonne journée. :
  3. Bonsoir Alain! Je comprends ton impatience, mais je vais te faire attendre un peu. En effet, j'ai scanné les plans de mon arbalète et je viens de m'apercevoir que les cotes ne sont plus bonnes. En effet, le mécanisme est dessiné grandeur réelle et ça ne correspond plus une fois que j'ai réduit l'image avec paint. Je dois donc rajouter des cotes sur mes croquis et les rescanner. Je pense faire ça ce week-end. Le système d'armement est totalement indépendant de l'arbrier . Cependant on aurait pu mettre des points d'ancrage fixes au niveau de l'avant de la crosse et celà aurait aussi bien fonctionné. Mon choix était purement esthétique, je ne voulais pas surcharger cette partie là... Les petits roulements que tu crois percevoir à l'extrêmité des bras du cric ne sont en fait que des renforts caoutchoutés (tuyau de gaz) mis sur les crochets pour ne pas "blesser" la corde lors de l'armement.
  4. Ishi Quand j'ai confectionné cette arbalète (au début des années 80), j'ai pris l'arc le plus puissant qu'il y avait sur le marché et c'était chez Barnett avec son 175 ibs, je n'en connaissais pas d'autres. Pourrais tu m'apporter plus de renseignements sur la possibilité de se procurer des arcs de 200 ibs et au-delà?
  5. Bonjour Massi! En réponse à ta question concernant les mécanismes d'arbalètes de chasse sous-marine adaptables sur les arbalètes traditionnelles, je te joins un schéma qui pourra peut-être faire avancer le schmilblick... C'est le principe de fonctionnement de la seconde arbalète que j'ai décrite dans mon post . Il suffit que le triangle, si on veut conserver cette configuration ait un axe déporté et il agit comme un balancier. Il se positionne alors naturellement lorsqu'on arme l'arbalète.
  6. L'amplitude du réglage au niveau de l'oeilleton est de 3 cm. le guidon est très fin mais n'est pas percé. Par contre, je ne me souviens plus des réglages car cette arme n'a pas tiré depuis de nombreuses années. Mais quelque chose me dit que ça pourrait bien revenir maintenant que j'ai du temps... En tout état de cause, ce n'est pas une carabine, ça reste une arme composée d'un arc et d'une flèche, donc forcément avec une parabole, surtout à grande distance. Comme tu le précise, je pense avoir trouvé un compromis intéressant en jouant sur les différents paramètres que sont le poids et la vitesse du projectile, ainsi qu'un système de visée élaboré.
  7. vue du viseur avec en arrière plan le guidon, dans le trou central.
  8. Détail fixatioin arc et système de visée
  9. avec l'armeur en position
  10. une autre vue du côté oppsé
  11. Bonjour, Voici la seconde arbalète! Je l'ai construite dans l'esprit de faire du tir précis et sur des distances respectables. L'arbrier est toujours en bois exotique (iroko), l'arc est le 175 ibs de chez Barnett et le système de visée par hausse et guidon. J'ai optimisé la puissance de l'arc pour la porter à un peu plus de 200 ibs, en reculant simplement le point d'ancrage de la corde de quelques centimètres. J'ai pris ce risque pressentant que les concepteurs de ce type d'arc avaient dû le tester au-delà de sa puissance d'usage habituel. L'expérience m'a conforté dans mon choix, puisque j'ai gagné en portée et puissance de pénétration. J'ai pu comparer l'arbalète commando équipée de cet arc puisque j'en avais fait l'acquisition. Les performances étaient sans appel. Au stand de tir à l'arc où je m'entraînais, je pouvais effectuer du tir avec grande précision jusqu'à 70 m. Il m'arrivait également de tirer à 90 m, tout en faisant des cartons encore honorables dans la cible. Les carreaux étaient confectionnés dans des tubes XX 75 de 20/13 de 30 cm de longueur avec inserts et pointes vissées et un empennage de 3 plumes fines en plastiques. Leur poids était d'une vingtaine de grammes. Je faisais du tir avec 10 carreaux, chacun était numéroté et j'en prenais le plus grand soin. Ces performances étaient dûes à la puissance accrue de l'arc et l'emploi de carreaux assez légers permettant un tir relativement tendu, à un arbrier de grande longueur augmentant le guidage du carreau sur son rail, ainsi qu'une ligne de mire très longue. L'armeur est indispensable pour la mettre en oeuvre. Je vous joins quelques photos. N'hésitez pas à poser des questions si vous êtes intéressés, ça permet à tout le monde d'en profiter. J'ai le temps puisque je suis à la retraite.
  12. Porte à faux : "se dit de ce qui n'est pas à l'aplomb de son point d'appui (CF "Petit Larousse") Pour être plus clair, comme tu peux le constater sur les photos, ce type d'arc (en une seule pièce) ne peut pas être monté d'aplomb en bout d'arbrier. Il faut qu'il ait un léger dévers pour que la corde puisse coulisser sur le dessus. Ce montage engendre une perte de puissance (porte à faux et frottement de la corde) et l'idéal est je pense, l'arc à deux branches réunies en leur milieu comme tu as fait sur ton arbalète.
  13. La corde est un câble plastifié. Il est enchassé dans une protection en cuir au niveau de l'anneau et ça tient bien. Pour le bruit de la corde, je ne l'entends pas, non pas que j'ai des problèmes d'audition, mais il est plutôt masqué par le bruit de la luge sur le rail au départ du coup (ferraille sur ferraille...). J'avais bien pensé utiliser cette arme contre les chars ennemis, mais le problème est bien à ce niveau là. J'ai peur d'être repéré à cause du bruit justement...
  14. Si mes élucubrations "arbalistiques" vous intéressent, je vous propose de lire l'article joint que j'avais écrit alors que je faisais du tir à l'arc dans un club (et oui, tout se tient...) qui était paru dans une revue consacrée aux armes, qui devait s'intituler "armes international" (je n'en suis plus sûr et j'ignore si cette revue existe toujours). A la fin de cet article, je fais état d'une arbalète plus performante que la commando, il ne s'agit pas de celle que je vous ai décrite plus haut, mais de la seconde que j'ai fabriquée dans la foulée dont je vous parlerai dès que j'aurai fait les photos. Bonne journée.
  15. Salut à tous! Voici le carreau que j'avais fabriqué pour mon arbalète (ou plutôt un missile...) Il mesure 20 cm de long, pèse une cinquantaine de grammes. Tout est en ferraille, y compris l'empennage en tôle soudée. Il fallait que ça résiste!!! Après avoir fabriqué cette arbalète qui ne me satisfaisait pas vraiment au niveau des performances, je n'ai pas poussé plus loin son évolution. Il aurait fallu changer carrément le mécanisme à "luge" et en faire un plus traditionnel pour l'optimiser, alors comme c'était ma première arbalète, je l'ai laissée dans son jus et suis passé à une autre étape.
  16. Une autre photo un peu plus détaillée
  17. Bonjour et merci à tous pour vos compliments, c'est flateur... Alain, en réponse à tes questions, pour ce qui concerne la fixation de l'arc, je l'ai faite avec deux morceaux de fer plats sur lesquels j'ai soudé de la tige filetée, une plaque pour maintenir l'ensemble et des écrous. (CF photo jointe ci-dessous). Le système de visée est copié sur ce que l'on peut trouver sur une carabine, avec un oeilleton muni d'une hausse et d'un guidon (point de mire). Comme je n'ai pas de plans précis pour en fabriquer une, je peux éventuellement répondre à tes questions et t'aider sur ce site (si ça peut en intéresser d'autres...) Maintenant, si tu veux faire le déplacement pour la voir, sache que tu peux venir quand tu veux. J'habite dans la région de Poitiers (86) et tu seras le bienvenu.
  18. l'arbrier est en bois exotique (iroko) et j'ai ffait la crosse sous cette forme en m'inspirant d'une crosse de fusil pour pouvoir épauler. Birke, je pense que tu as raison, il doit s'agir d'un système à luge, puisque cette pièce est solidaire de la corde. Toutefois, je précise que ce système m'a causé des soucis de mise au point. Non pas par le mécanisme même qui est aussi simple que fiable, mais par la "luge" qui au départ coulissait sur le rail creusé dans le bois de l'arbrier.... au bout de quelques essais, le bois (pourtant de l'iroko qui est assez dur) était tout déformé en raison du frottement excessif de cette pièce mobile. J'ai alors confectionné une glissière sur toute la longueur de l'arbrier, mais en métal. Lers frottements existent toujours, mais au moins ça résiste. A mon avis, bien que ce mécanisme fonctionne bien, il est un handicap pour une arbalète. Il y a une perte de puissance importante générée non seulement par les frottements, mais surtout par l'inertie de cette pièce mobile au départ du coup. L'arc est relativement puissant puisqu'il ne se bande pas à la main, mais uniquement avec le levier d'armement (CF photos) et les performances restent moyennes à mon goût.
  19. Avec ce petit croquis, j'espère que vous comprendrez mieux le principe de fonctionnement de cette arbalète. Toutes ces pièces sont métalliques. Le tube schématisé est poussé par le levier d'armement (CF photos) et vient s'enclancher sur une branche de l'étoile qui se met en position dès que le tube pousse dessus. L'étoile se bloque alors au niveau du bec de détente.
  20. et une petite dernière!
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