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jicef

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Posts posted by jicef

  1. ;) Bonsoir Gaël,

    Bonnes questions!!!

    J'ai déterminé l'angle de l'arc par rapport à l'arbrier après de laborieux essais et pas mal de temps. Tantôt la corde passait par dessus le trait et parfois pas, sans que je sache pourquoi d'ailleurs (je précise que le trait est placé devant le basculeur et que la corde doit pousser précisément le talon du carreau qui n'a pas d'encoche...), tantôt c'était trop incliné et ça frottait trop sur l'arbrier d'ou usure rapide du tranchefil sur la corde. Et à force d'essai, au pif, on tombe sur la bonne inclinaison et ça fonctionne. A ce moment-là, on oublie tous les em... de mise au point.

    Pour la crosse, il en a été de même. Au départ, je l'avais généreusement dimensionnée, de façon à pouvoir la retailler en fonction de ma morphologie. il m'était plus facile de pouvoir enlever du bois que d'en rajouter....

  2. Vue de l'arc démonté.

    La plaque métallique carrée sert de pièce de serrage sur l'arc lorsque La tige métallique prend appui dessus sous la pression du boulon et maintient l'ensemble en place.

    A l'endroit de la fixation, l'arc est protégé par une pièce de cuir collée afin de ne pas l'abîmer.

    post-58-1139852977_thumb.jpg

  3. Sur cette vue, l'arc est retiré.

    Dans la fenêtre d'arc, on distingue à gauche l'extrémité de la tige métallique qui fait pression sur l'arc lorsqu'on serre le boulon.

    Les plaques métalliques qui entourent la fenêtre d'arc servent à consolider cette partie de l'arbrier qui est très sollicitée.

    post-58-1139852488_thumb.jpg

  4. Vue des détails de la fixation, de 3/4 avant gauche:

    On distingue une pièce en tôle pliée sur l'avant de l'arbrier, maintenue par un gougeon qui traverse de part en part et des vis aux extrêmités.

    Le gougeon supporte également le système de visée par guidon sous tunnel.

    Cette tôle en forme d'étrier sert au serrage de l'arc par l'intérmédiaire d'un boulon qui se visse dans une plaque filetée (insérée entre l'avant de l'arbrier et la plaque), en prenant appui sur une tige métallique qui plaque l'arc en position.

    post-58-1139850973_thumb.jpg

  5. :07: pour vos encouragements bien sympathiques!

    Les axes sont faits avec de la boulonnerie traditionnelle à tête hexagonale.

    J'ai coupé les boulons à la longueur voulue, fileté leur extrêmité et retravaillé la tête du boulon ainsi que celle de l'écrou pour les diminuer en épaisseur.

    Pour les différentes parties du mécanisme (boîtier, basculeur, détente) j'ai utilisé du fer plat de différentes épaisseurs. Il n'y a pas de pliage, tout est assemblé par soudure.

  6. Sur cette vue du dessous de l'arbalète, le pontet a été retiré.

    A gauche, on voit la grosse vis de fixation du mécanisme.

    Juste à côté, la petite plaque métallique fixée par deux vis à bois maintient le ressort de détente. Cette plaque est filetée et la vis hexagonale règle la dureté du ressort de détente.

    En butée de cette pièce, la queue de détente.

    Juste derrière, on voit la sûreté qui est mise. Aucune action n'est possible sur la queue de détente.

    post-58-1139406706_thumb.jpg

  7. Vue du basculeur (postionné dans le mauvais sens....)

    C'est la pièce maîtresse du mécanisme et qui demande le plus grand soin pour sa réalisation. Il doit être parfaitement ajusté et poli. En effet, il doit tourner librement sur son axe pour fonctionner. Il n'y a pas de ressort, c'est simplement son contrepoids qui le met en position verticale.

    Le système est très fiable et robuste, mais impose d'armer l'arbalète en position sensiblement horizontale. Opération rendue obligatoire par le système de cric qui sert à l'armer. webarcherie.com/forum/index.php?showtopic=7952&view=findpost&p=173313

    post-58-1139406103_thumb.jpg

  8. Vue du mécanisme désassemblé.

    C'est très simple et il n'y a pas de pièces superflues. tout est là!

    J'ai positionné l'ensemble basculeur (noix) détente et son ressort, tels qu'il se trouvent dans leur boîtier.

    La grosse vis de maintien est à droite du boîtier.

    Sur le dessus du boîtier, on voit la languette qui maintient le carreau en place. Elle est constituée de morceaux de feuillard (ce qui sert au sertissage de caisses), maintenues en forme par une pièce métallique.

    post-58-1139405363_thumb.jpg

  9. Excusez-moi, j'ai fait un oubli. Je vous détaille ce qui apparaît sur cette dernière photo.

    Le trou central sert au passage de la grosse vis qui retient le mécanisme.

    Le petit écrou à gauche enchassé dans le bois sert au vissage du pontet.

    A droite, on voit le ressort de dessus et tout à droite, un peu plus bas, on aperçoit la sûreté qui sert à bloquer la détente.

    post-58-1139404453_thumb.jpg

  10. ;) Bonjour!

    Je pense que tu auras la réponse sur le post de "Barbakan" où il y a eu débat sur le sujet pour la trempe de son arc en lame de ressort de voiture.

    Le sujet (relativement récent) est : fabrication arbalète; mon arbalète étape par étape.

    Bonne journée!

  11. J'ai retrouvé des anciens tarifs de chez "Barnett". Au début des années 80, l'arc de 175 lbs m'avait coûté 495 F (75,46 euros) et l'arbalète commando valait 2810 F (428,38 euros).

    Le prix des arcs proposés chez "LOTHAR-WALTHER" est sensiblement identique à ceux que l'on trouve chez "DIGITARC"; autour de la centaine d'euros. J'ai d'ailleurs envoyé une demande de renseignements chez "DIGITARC" et j'attends toujours la réponse...

    A noter, une différence importante dans les puissances d'arc proposées :

    chez "LOTHAR-WALTHER" celà va de 18 à 28 kg, tandis que "DIGITARC" propose des arcs de 60 à 325 kg!!!

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