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Jaque D'archer


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Il y a des références écrites sur la pénibilité des hommes en armes à cheminer et combattre avec de telles protections en été ! Et si c'est gorgé d'eau par la pluie, c'est effroyablement lourd !

Mais pas de problème, il y aura toujours un Pedro avec une bonne mousse bien fraîche ! :D

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je suis inquiet pour la teinture. En général (et en colonel aussi...!) les teintures se font par trempage, et le rembourrage va absorber les liquides en pagaille, allonger les temps de séchage et risque de se déplacer par gravité entre les coutures. Le problème a-t-il été envisagé ?

autrement formulé : cécile est-elle blonde ? :06:

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Pour se reconnaitre sur le champ de bataille............le (ou la) jaque n'est qu'une protection, faut pas oublier.............

Ca me fait penser que ce ne doit être efficace que contre les coups de taille................ bien moins, voire pas du tout contre les traits et les coups d'estoc.........

Cécile :clapping: , on demande des explications techniques.................

Quant au lavage, je pense que ce n'était pas une priorité historique!

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Ca me fait penser que ce ne doit être efficace que contre les coups de taille................ bien moins, voire pas du tout contre les traits et les coups d'estoc....

Je ne pense pas, ce genre de protection était parait-il assez polyvalent et efficace ! ça doit plutôt bien amortir les chocs avec tout ce rembourrage, mais il existait aussi des modèles composés de plusieurs ( 15/20) couches de tissus, plus lourd mais plus efficaces !

Tu comptes porte rune protection métallique par-dessus Cécile ?

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Nono : Le col de fourrure te zutte ! 8P

Pour ce qui est de teindre, on ne teignait pas le lin, pour la simple raison qu'il n'existait pas de mordant permettant de fixer les couleurs pour cette étoffe. Les tissus colorés sont de la laine ou de la soie. Il y a des références de lin coloré, mais çà devait délaver "sec" en cas de pluie. Donc, le meilleur moyen de rester histo quand on utilise du lin, c'est de le conserver écru.

Je pense que Silver Wolf est dans le vrai concernant le potentiel de protection. Il existait effectivement des superpositions de couches très nombreuses. Pour les tissus intermédiaires, on préférait le vieux lin, qui, semblait-il, devait permettre de mieux protéger.

A l'époque, on frappait plus de taille que d'estoc avec les épées. Mais je pense que le coup de dague devait passer sans soucis, particulièrement au niveau des coutures latérales.

Comme protection métallique, je ne porterai en plus qu'un camail et un casque. Le jaque ne se portait pas avec une protection métallique par dessus.

Sinon, voici avec les manches en place :

post-4-0-52162700-1361861891_thumb.jpg

Les manches ne sont pas aussi tordues que je l'espérais, mais elles le sont quand même un peu.

Cà sent la finition tout çà :)

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Je reste sur mon quant à moi concernant l'efficacité du ou de la jaque contre les coups d'estoc ..............je suis persuadé qu'une flèche traverse allègrement, peut-être pas à vide, mais avec une poitrine dedans, sûr que ca passe...............J'imagine qu'ils se mettaient à l'abri derrière des pavois en attendant de pouvoir y aller au corps à corps, où ils avaient plus de chances (pas facile de donner des coups d'estoc du haut d'un cheval sur des gars mobiles en contre-bas)........ ..........

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Tu as raison je pense pour ce qui est de la flèche ou du carreaux dans le buffet !

Mais il reste à ce que les archers se fassent percer et, disons que les archers étaient généralement hors de portée des autres archers puisque leur apport principal était en artillerie. Par contre, ils se recevaient les charges d'hommes d'arme qui, si elles allaient au bout étaient très meurtrières pour eux. On peut résumer par : mieux vaut percer l'autre avant de se faire percer !

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Tu as raison je pense pour ce qui est de la flèche ou du carreaux dans le buffet !

Mais il reste à ce que les archers se fassent percer et, disons que les archers étaient généralement hors de portée des autres archers puisque leur apport principal était en artillerie. Par contre, ils se recevaient les charges d'hommes d'arme qui, si elles allaient au bout étaient très meurtrières pour eux. On peut résumer par : mieux vaut percer l'autre avant de se faire percer !

pour ce que j'en connais je confirme la remarque de Pedro vaut mieux pas recevoir une flèche la dedans...

pendant la guerre des deux roses (guerre civile 16e siècle en Angleterre) il y a eu des batailles ou des archers se sont retrouvés face à face ....... les pertes ont été paraît-il effroyable et ont choqué les contemporains ... qui connaissaient l'efficacité de leur archers sans avoir eu à les subir

beau travail dame Cécile !!! ceci dit çà doit être chaud ce truc là non ???????????

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