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Bris D'un Longbow Avec Assemblage En Poignée


guillaumeleviking
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Non, je confirmes les 0,50 d'€uros mais c'était pour un texte technique de 2 pages, après négociation, nous avons pu réduire à 50 € la traduction mais sans recherche = une journée de travail supplémentaire pour rectifier les termes techniques.

Effectivement pour un livre cela doit être moindre (à la page ?). Une interprétation n'est pas qu'une simple traduction mot à mot mais nécessite toute une recherche pour interpréter au mieux le texte. Essaie de traduire avec un logiciel et tu verras le boulot qu'il reste à faire pour le rendre compréhensif et cela n'empêche pas certaines interprétations subjectives.

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J'ai fait un tout petit peu de traduction et je confirme les tarifs de Pedro.

Atrice, si je comprends ce que tu dis, vous seriez passé d'un tarif de 50 cents par mot à 50 euros pour un texte de 2 pages. Si on part sur une base de 500 mots par page (et c'est une base basse) vous auriez eu un tarif à 500€ que vous auriez finalement descendu à 50€? ça fait quand même une réduction de 90%. Tu es sur que ce n'était pas 50 cents la ligne?

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Au risque de dire une ânerie (je ne comprends pas bien la photo), les chevilles semblent localisées dans l'obier blanc et relativement près du dos. De plus, elles me semblent foncées comme le duramen.

Si c'est ça, la fracture se comprend : le bois est fragilisé par inhomogénéité, conduisant ici à la séparation de l'obier et du duramen puis bris sur le point faible constitué par le mauvais collage déjà signalé.

remarque à ceux qui estiment les chevilles inutiles : ici la rupture à eu lieux à coté mais en dehors de la poignée : aucun risque de blessure à la main. Ce détails pouvait avoir sont importances à une époque ou on pouvait casser plusieurs arc par an...

Les chevilles ne renforcent pas l'arc, elles le sécurisent. C'est une idée, comme ça... Je doute que quelqu'un dispose de données statistiques permettant de répondre sur ce point.

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Effectivement, je vois aussi que les tourillons étaient posés dans la zone du dos = en traction + il semble qu'il y avait un noeud au point de rupture ...

+ le ventre n'avait pas assez de matière ? un peu comme ce dernier :

DSC00676.JPG

Conjonction de tous ces facteurs ?

Pour la traduction, je ne me rappelle plus trop (quand je dit qu'Alzheimer c'est contagieux et que l'on bosse près d'eux ... :wacko: )

Edited by PatriceB
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remarque à ceux qui estiment les chevilles inutiles : ici la rupture à eu lieux à coté mais en dehors de la poignée : aucun risque de blessure à la main. Ce détails pouvait avoir sont importances à une époque ou on pouvait casser plusieurs arc par an...

Les chevilles ne renforcent pas l'arc, elles le sécurisent.

##

A une époque où.............................etc....on ne faisait pas d'arcs aboutés à la poignée, mais d'un seul tenant.

Ce système est récent, en particulier depuis qu'il y a des colles sérieuses.

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Les forces travaillent en cisaillement autours des chevilles et cela de manière encore plus importante pour un arc ou la poignée travaille comme celui ci, Les chevilles n'ont alors plus un rôle de sécurisation mais au contraire, elles créent un point de faiblesse qui peut entrainer, à plus ou moins long terme, la rupture.

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Effectivement, je vois aussi que les tourillons étaient posés dans la zone du dos = en traction + il semble qu'il y avait un noeud au point de rupture ...

Il est écrit dans arc 1 de placer les chevilles à mi-épaisseur de l'arc fini, je crois que cela maximise la solidité de l'arc.

remarque à ceux qui estiment les chevilles inutiles : ici la rupture à eu lieux à coté mais en dehors de la poignée : aucun risque de blessure à la main. Ce détails pouvait avoir sont importances à une époque ou on pouvait casser plusieurs arc par an...

Les chevilles ne renforcent pas l'arc, elles le sécurisent.

##

A une époque où.............................etc....on ne faisait pas d'arcs aboutés à la poignée, mais d'un seul tenant.

Ce système est récent, en particulier depuis qu'il y a des colles sérieuses.

c'est quelle siècle? 20°?

Les forces travaillent en cisaillement autours des chevilles et cela de manière encore plus importante pour un arc ou la poignée travaille comme celui ci, Les chevilles n'ont alors plus un rôle de sécurisation mais au contraire, elles créent un point de faiblesse qui peut entrainer, à plus ou moins long terme, la rupture.

Si je comprends, la technique n'est compatible qu'avec des arcs "loisirs" (pas très puissant) et-ou (?) ne travaillant pas à la poignée?

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Les colles sérieuses sont effectivement du 20ème siècle.

Cette technique n'a aucun autre intérêt que de pouvoir utiliser des longueurs de billettes qui autrement ne serviraient à rien., et aussi économiser du bois apte à la facture.....

Si les entures sont bien faites et la colle de bonne qualité correctement mise, ca tient parfaitement la route sans besoin de chevilles qui ne serviraient qu'à produire des points de faiblesse .

J'ai ainsi emmené au Mexique comme cadeau, il y a deux ou trois ans, dans ma valise un arc indien de 55# que j'avais coupé en deux au niveau de la poignée et reconstitué à l'arrivée avec de l'epoxy............il fonctionne toujours sans aucun problème .

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Les forces travaillent en cisaillement autours des chevilles et cela de manière encore plus importante pour un arc ou la poignée travaille comme celui ci, Les chevilles n'ont alors plus un rôle de sécurisation mais au contraire, elles créent un point de faiblesse qui peut entrainer, à plus ou moins long terme, la rupture.

L'afaiblissement cré par les chevilles me semble évidant et indiscutable. Je pensais à l'évitement de la possibilté de rupture de l'arc à la poignée, entre les chevilles, puisque justement ses forces de cisaillement vont fendrent le bois en long entre les chevilles.

La colle maintient les surfaces de collage en supportant un fort cisaillement. Les chevilles déportent ces contraintes en forces longitudinale qui peuvent fendre la poignée, non l'éclater, ce qui provoquerait de dangereux éclats et vilaines bléssures. Je considère qu'un arc bien fait présente un risque de casse uniformément répartit sur toute la zone qui travaille, d'ou, une certaine rétissance avec les arc à poignée travaillante (surement injustifier). Et je trouve intéressant de comprendre la manière dont l'arc peux se briser mais n'y connai pas grand chose (je n'ai pas non plus cherché).

Bien sur les colles modernes sont sérieuses, et, parfois, inspirent trop confiance. Elle auront toujours de possibles faiblesses (là je fais dans le parano, quoi que).

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L'afaiblissement cré par les chevilles me semble évidant et indiscutable. Je pensais à l'évitement de la possibilté de rupture de l'arc à la poignée, entre les chevilles, puisque justement ses forces de cisaillement vont fendrent le bois en long entre les chevilles.

La colle maintient les surfaces de collage en supportant un fort cisaillement. Les chevilles déportent ces contraintes en forces longitudinale qui peuvent fendre la poignée, non l'éclater, ce qui provoquerait de dangereux éclats et vilaines bléssures. Je considère qu'un arc bien fait présente un risque de casse uniformément répartit sur toute la zone qui travaille, d'ou, une certaine rétissance avec les arc à poignée travaillante (surement injustifier). Et je trouve intéressant de comprendre la manière dont l'arc peux se briser mais n'y connai pas grand chose (je n'ai pas non plus cherché).

Bien sur les colles modernes sont sérieuses, et, parfois, inspirent trop confiance. Elle auront toujours de possibles faiblesses (là je fais dans le parano, quoi que).

A part ça, ça va?

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A part ça, ça va?

Je viens de relire le début du post. La colle a lachée (surement inadaptée). Que crois-tu qu'il serait arrivé s'il avait tenté un début d'équilibrage à la mains?

Je viens de réaliser que le décollement d'une enture n'as pas grand chose à voir avec "l'explosion" d'un dos, certain propos sont donc quelques peut décalés. ne pas m'en vouloir.

Edited by pierre51
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Non, ca ne veut pas dire.......Il y a trop de facteurs qui entrent en jeu.....on ne peut pas incriminer la colle.

Tu feras mieux la prochaine fois, c'est tout.

C'est arrivé à tout le monde.

Exact, je dois corriger ce que j'ai écris. C'est le collage qui a lacher.

Alors tu peux t'entrainer, faire une enture nickel, un collage tout aussi nickel (avec ou sans cheville), le tout sur un morceau de la section d'un arc. Tu le brise et après tu sauras. Si la colle tient et arrache les fibres de bois, tu garde ton fournisseur. Si la colle lache, tu change. Si tu obtiens un résultat peu claire : fibres arrachées par endroit et colle cassé en d'autres, tu as probablement été maldroit et peut-être pas. Il me semble qu'une bonne colle doit boucher les trous et pardonner les maladresses.

C'est fastidieux. Tu peux aussi faire confiance au fabriquant et parfaire ta technique. Corbeau t'as fait part de ses déboires avec cette marque de colle. A confirmer par d'autres si vraiment une référence pose problème.

Edited by pierre51
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Pas eu de souci avec la Sader que j'ai utilisée récemment, prise longue, mais dans le doute vaut mieux utiliser la bonne vieille Araldite je suppose.

Si le mélange résine/durcisseur est bien fait, que le bois est dégraissé, l'assemblage bien ajusté et la prise effectuée au chaud et au sec, je pense que, poignée travaillante ou pas ça "tient sa mère" :D (les tourillons, inutiles voire fragilisants)

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Pas eu de souci avec la Sader que j'ai utilisée récemment, prise longue, mais dans le doute vaut mieux utiliser la bonne vieille Araldite je suppose.

Si le mélange résine/durcisseur est bien fait, que le bois est dégraissé, l'assemblage bien ajusté et la prise effectuée au chaud et au sec, je pense que, poignée travaillante ou pas ça "tient sa mère" :D (les tourillons, inutiles voire fragilisants)

Le fait que l'on aie une poignée qui travaille a deux conséquences. D'une part, les joints de colle sont soumis à une plus forte contrainte car justement ça travaille. d'autre part, la contrainte est d'autant plus forte que si la poignée est travaillante, cela signifie qu'elle est peu épaissece qui induit que la surface des joints de colle est aussi moins importante que pour une poignée rigide. Donc risque accru de problème....

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Le fait que l'on aie une poignée qui travaille a deux conséquences. D'une part, les joints de colle sont soumis à une plus forte contrainte car justement ça travaille. d'autre part, la contrainte est d'autant plus forte que si la poignée est travaillante, cela signifie qu'elle est peu épaissece qui induit que la surface des joints de colle est aussi moins importante que pour une poignée rigide. Donc risque accru de problème....

Tout à fait.

Ici la colle travaille : en plus de "tenir ça mère", elle participe à l'élasticité puisqu'elle est déformée. Idéalement, la colle ne devrait-elle pas avoir une souplesse-élasticité proche de celle du bois? Ou est-il bon qu'elle soit bien dure (mais élastique) pour soulager le bois fragilisé?

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