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la visée en tir " instinctif "


alain de caen
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je me demandais justement si on pouvait appliquer cette technique dans le noir.

Pour ma part, je pense que ça donnerait d'assez mauvais résultats : j'utilise intuitivement ma vision périphérique, les 2 yeux ouverts,pour atteindre l'objectif (enfin, essayer...) et pas uniquement une mémorisation physique.

Mais faudrait que j'essaie tiens, histoire de prendre confiance en moi et de voir ce que ça donne...

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  • 1 month later...

Allez, petit retour d'expérience de 6 mois de tir "au jugé", à 15/20 m (je ne mesure pas la distance avec précision), avec un arc de 32#, dans mon terrain, sans aucun encadrement ni volonté de faire du score.

- 1er constat : je ne peux tirer correctement que si je VOIS un point particulier sur la cible. Je ne peux pas encore me contenter de l'imaginer. Pour illustrer, si je vise le milieu d'une feuille de papier A4 blanche, je suis à peu près certain de taper autour ou en périphérie. Si je colle une feuille de chêne au milieu, je vais taper nettement plus au centre, voire dans la feuille d'arbre ...

- 2e constat (je tire les 2 yeux ouverts en fixant la cible. L'arc, la main, la flèche sont dans ma vision périphérique) : plus il fait sombre, moins bien je tire. L'exercice de tir sur cible illuminée dans le noir, c'est pas encore pour moi. Je ne sais pas comment, mais j'utilise donc ma vision périphérique dans sa totalité pour ne pas faire un tir trop merdique.

- 3e constat : moins j'attends à la décoche, mieux je tire. Si j'essaie de réfléchir à quoi que ce soit ne serait que quelques secondes à l'ancrage, je perds en précision, et/ou plus grave pour moi, en groupage de flèches sur une volée.

Tout se joue au final lorsque je monte le bras d'arc tout en l'armant. Et moins je réfléchis, mieux ça marche.... Tout doit être fluide et "naturel" je dirais (en gros, je dois sentir que c'est OK).

- 4e constat : si la décoche est merdique, ça se ressent quand même sur le résultat. Surtout si elle est merdique mais pas régulièrement dans la façon de faire (logique me direz-vous).

- 5e constat : lorsque je regarde la flèche voler (c'est très court sur ce type de distance ceci dit), et que j'accepte de regarder éventuellement mon échec en face, ça se passe en moyenne mieux.

- 6e constat : il y a clairement un apprentissage du geste, même inconscient (ou du moins que je ne saurais retranscrire et expliquer) : si l'on excepte la fatigue, à une distance donnée, les premières flèches ne sont qu'exceptionnellement les meilleures et les suivantes gagnent en précision.

Au final, je ne suis pas super précis, mais j'arrive à pas mal regrouper les flèches, voire à toucher le jaune du blason (40 cm) assez régulièrement sur certaines volées et surtout, je me sens libre quand je tire : rien à penser... je tire, je vais jardiner un peu, je retire, je vais m'occuper d'autre chose, je tire encore... Le plaisir est nettement supérieur à cette sorte d'angoisse du résultat que j'éprouvais en tirant en salle de manière classique.

Et tout tend à montrer que bien entendu, même si je dois faire en sorte d'être le plus confiant, fluide et détendu possible, ce n'est pas non plus 100% inné.

A poursuivre donc...

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Et tout tend à montrer que bien entendu, même si je dois faire en sorte d'être le plus confiant, fluide et détendu possible, ce n'est pas non plus 100% inné.

A poursuivre donc...

le fond du problème est là:

la posture psychique se décline en posture physique facteur direct du tir. Evidence encore et toujours, tout est dans la "tronche" mais en apparence seulement.

confiance , fluidité, décontraction peuvent se résumer en des termes musicaux comme harmonie et accord. Harmonie car la réussite du tir impose l'alliance du corps et de l'esprit, d'autres diraient "cohérence entre le savoir faire et le savoir être".

Ce à quoi j'ai envie d'ajouter la notion d'accord qui, comme en musique associe des notes différentes en un même son, relie l'archer à sa cible par la trajectoire de sa flèche. Accord dont la justesse, comme beaucoup ont pu le ressentir, s'entend dès la décoche avant même de le vérifier en cible.

Oui rien d'inné, seulement du travail et encore travail

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sans chercher à intellectualisé le tir " instinctif "

pour moi ça peu s 'apprendre comme le reste

ce post a pour vocation d 'apporter d'une manière constructive des réponses que pourrai ce pauser certain archers

comment vise ton avec un arc droit ou un arc chasse .

c'est une question quel on me pause souvent ,

je leur répond c est comme lorsque l'on montre au loin un objet du doitg , le bras ce positionne naturellement ( instinctivement )

dans ça direction .

après dire moi je tir instinctif pur etc ... ces pas le débat . il existe des méthodes elle sont plus ou moins bonne ou plus on moins perverse ;

.quoi qu'il en soit il faudra avant maîtrisé toute la séquence de tir

notre amis nockset utilise plus la methode d écrite par Fred Absel

je site : une visée instintive , on la ressent elle provient d 'une mémorisation physique et mentale .C'est la reproduction de

quelque chose déjà accompli auparavant .

Vous visez instinctivement en vous concentrant sur votre cible, les deux yeux ouverts.tout en laissant votre bras d 'arc opérer les ajustements requis par la trajectoire . Comme votre bras et votre flèche forment une entités , vous ne faites que pointer le bras .L'un des plus importants aspects du tir instinctif , c'est de concentrer votre objectif et votre oeil sur un point , que vous choisirez le plus petit possible .

bonjour à tous je reviens après un long trou...sur le sujet j'ai déjà posté il y a qq années..;c'est toujours d'actualité !

bon courage à tous!

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  • 2 months later...

Howard Hill était un "archer professionnel", il chassait pendant ses loisirs et effectuait des tirs de démonstration et des "tricks" dans des cirques pour vivre

son numéro avait fini par atteindre une célébrité mondiale aux USA (joke); c'est le cinéma qui lui a permis de s'exprimer pleinement, de se faire connaitre à travers des courts métrages où il présentait certains de ses plus célèbres "tricks", enfin, de participer plus qu'activement au tournage de "the adventures of Robin Hood";

en tout état de cause, son niveau par rapport à l'archer qui tire le week-end en parcours était à peu près celui du gendarme motocycliste, qui roule 8 heures par jour par tous temps par rapport au motard de base qui fait moto boulot dodo - il fut un temps, j'avais la même bike que ces braves gens, et je n'aurais pas osé faire la moitié de ce qu'ils faisaient !

toutefois, ne vous y trompez pas, j'apprécie en connaisseur le bonhomme mais je ne le mets pas sur un piédestal !

dans le fameux film cité plus haut, on lui a confié la direction technique des opérations pour le tournoi d'archerie, pour lequel ont été recrutés tous les archers du coin, et pour la fameuse flèche fendue en deux (trois prises, 'parce que dans les deux premières la flèche n'était pas parfaitement fendue'; gros professionnalisme, le réalisateur n'y avait vu que du feu ! )

mais ce brave Howard n'était pas versé dans les arcanes de l'histoire de l'archerie comme les membres éminents de ce glorieux Forum, ce qui nous valut un concours d'archerie du 12ème siècle avec des cibles "Anglaises", en 5 couleurs sur papier ... 'In glorious Technicolor ! ' :06:

un bon p'tit gars de l'Alabama, quoi !

et puis quelle importance, les gens viendraient pour voir Olivia deHavilland et Eroll Flynn.... :115:

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  • 3 weeks later...

bonjours a tous

pour ma part qui est un gaucher contrarié , qui n'y connait pas gd chose en archerie (pour du reste passionné depuis peu) je pratique de surcrois en droitier je pratique comme me dit mon entraineur ...

a l'apache , j'aimme a dire que je vise, je bande,je decoche et je penetre , dans l'absolu il faut que je lache mon fagot pour en mettre 2,3 ou 4 dans la cible sur 8 ou9 .

donc je tire en instinctif a mon gout mais pour auntant j'essai de viser et de prendre des points de repere et de progresser .

je suis avare de tous enseignements , renseignements sur ces conditions et cette pratique de tir.

etant chasseur (pour l'instant au fusil ) on tire pour etre dedans peut importe la cible et le repect est valable pour les animaux aussi .

ainsi je pense que l'excellence ne peut que se faire par l'envie et la pratique.

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pour moi( en prehisto) :

j'arrive a la cible je fixe du regard le rouge et c'est une histoire de sensation, je ressent une sensation spéciale ( que je ne sais pas contrôler) et je sais au moment de lâcher la corde si c'est un 5 ou pas idem au propulseur alors est ce ça de l'instinctif?????

de plus quand j'ai commencé, avant d'avoir eu les conseils des différents pseudo pro du tir a l'arc j'avais beaucoup plus souvent cette sensation, je faisait beaucoup plus de 5 mais moins des autres et maintenant je fait énormément moins de 5 mais beaucoup plus de 1,2,3et 4 au total je fait beaucoup plus de points mais moins dans le centre et ai très rarement cette fameuse sensation alors est ce les différents conseil qui me font plus réfléchir sur le pas de tir et perdre" l'instinct"??????

I don't know......

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Je suis d'accord avec Phil.

Quand j'étais môme, je tirais dans le jardin avec une vieille arbalète un peu déglinguée (c'est JMC qui détient ses restes) et des carreaux bidouillés avec des plumes de poule et des clous martelés. A force d'entrainement, je tapais dans un carton à chaussures rempli de copeaux à 20m, en tirant à la hanche...

C'est le principe de tous les numéros de cirque, toujours le même geste avec le même matériel, la même distance, répétés des milliers de fois.

Si en plus il y a un don au départ comme Hill..............

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  • 7 years later...

Et si la vérité se trouvait dans un entre-deux... Que vaut un musicien s'il joue avec le coeur un instruments qu'il découvre à peine, ou à l'inverse si c'est un virtuose à l'âme étouffée.. L'archerie, ça doit être un peu pareil.

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il y a une heure, kaosmos a dit :

Et si la vérité se trouvait dans un entre-deux...

Mais alors pas du tout d'accord, laule.

Soit tu maîtrises le geste mille fois répété au mieux, soit tu maîtrises le geste mille fois improvisé au feeling, mais répéter une improvisation ou improviser une répétition, ça ne donne rien de consistent.

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il y a une heure, MarcoP0l0 a dit :

Mais alors pas du tout d'accord, laule.

Soit tu maîtrises le geste mille fois répété au mieux, soit tu maîtrises le geste mille fois improvisé au feeling, mais répéter une improvisation ou improviser une répétition, ça ne donne rien de consistent.

Hmm je ne crois pas avoir parlé d'improvisation, à mon sens on peut jouer avec le coeur un morceau répété des milliers de fois. Pour moi la musique, que je connais sans doute un peu mieux que l'archerie est un bon exemple d'unité entre l'âme et l'esprit. En ce qui concerne l'impro, sais tu que tout les musiciens improvisent sur des bases techniques connues? Les gammes ou les accords ont été assimilés et répétés pour qu'ensuite dans un champ musicale riche le joueur puisse exprimer au mieux ce qu'il ressent (le feeling). Le feeling est à mon sens une intelligence innée, mais son expression sur le plan matériel dépend jusqu'à preuve du contraire de l'acquisitions des outils d'expressions (champ lexical pour parler ou écrire, champ musical, gestuelle etc). On peut être doté d'une tecnhique très riche mais avoir un coeur bridé, étouffé par un mental agité, une vie stressante etc, et cela ne produit pas de bon musicien, leur musique sera froide et n'atteindra pas le coeur de l'auditoire, à l'inverse un homme au coeur serein ne produira rien de bon musicalement si il touche un instrument pour la première fois. Pour revenir à l'archerie, je considére qu'être en paix avec soi mm ne suffit pas si on ne connait pas notre arme, l'expérience me semble nécessaire, mais si on envisage le tir que pour avoir le meilleur résultat et qu'on se force à l'apprentissage on risque de perdre la légèreté qui porte la flèche droit dans le mile. Pour conclure je ne pense pas qu'il y ai de dualité entre la technique et le feeling, le deux se complètent nécessairement dans l'acte dans un équilibre plus ou moins harmonieux.

Edited by kaosmos
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C'est curieux.

Je ne suis pas stressé, j'ai le cœur serein, pas bridé, ni étouffé par un mental agité, une vie stressante .......

Je connais bien mon arc et je tirais avec , plutôt pas mal (j'ai des témoins), il y a 3 ou 4 ans.......je m'entraîne régulièrement, et pourtant je ne tire plus du tout correctement.

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il y a une heure, PEDRO a dit :

C'est curieux.

Je ne suis pas stressé, j'ai le cœur serein, pas bridé, ni étouffé par un mental agité, une vie stressante .......

Je connais bien mon arc et je tirais avec , plutôt pas mal (j'ai des témoins), il y a 3 ou 4 ans.......je m'entraîne régulièrement, et pourtant je ne tire plus du tout correctement.

Oui c'est curieux en effet. T'as une idée du pourquoi?..  Qu'on se le dise je ne prétendais pas exposer tout les facteurs de réussite, un guitariste peut être un virtuose au coeur ardent, si on lui coupe une main il sera un peu en galère. En revanche j'ai noté l'antagonisme récurent entre le tir instinctif qui serait inné et le tir instinctif qui serait le produit de l'acquis, ça me fait penser à d'autres débats qui existent depuis l'aube de l'humanité, et de mon point de vue, je vois que bien souvent il y a des passerelles entre les opposés, la vérité se trouve dans un juste milieu. En tout cas l'expérience que tu décris mérite réflexion.

Edited by kaosmos
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il y a 16 minutes, kaosmos a dit :

Hmm je ne crois pas avoir parlé d'improvisation, à mon sens on peut jouer avec le cœur un morceau répété des milliers de fois.

Il y avait un soupçon d'humour quand je disais que je n'étais pas du tout d'accord avec toi d'où le laule à la fin.

Ceci dit, l'improvisation mille fois répétée est une chose qui me tient à cœur car c'est de cette manière que je fonctionne pour acquérir une technique quel qu’elle soit même si cela me vaut mille et une critiques. Ça m'a valu beaucoup de problèmes, surtout à l'école où il fallait rentrer dans le moule et bosser dur pour réussir mais je suis quand même rentré à l'université avec une année d'avance sur les copains qui étaient vachement jaloux.

Adolescent, j'ai fait hurler une guitare électrique sans jamais avoir appris la musique. Pas longtemps car mon père trouvait que ça faisait trop de bruit mais j'ai quand même été intégré un groupe de hardrock pour remplacer le contrebassiste qui s'était pété le bras à ski. C'était du grand n'importe quoi comme les guggenmusik mais ça ne cassait pas les oreilles des filles ce qui était l'essentiel. On n'a jamais fait de répétitions mais on adorait se retrouver pour faire hurler nos instruments. On était trois, batterie, guitare électrique et contrebasse et la seule chose qui était réglée comme du papier à musique, c'est qu'à tour de rôle, on attaquait un truc et les deux autres copains suivaient selon leur inspiration du moment, parfois c'était bien et ont continuait, parfois c'était horrible et on s'arrêtait. Même si on faisait surtout n'importe quoi, on jouait quand même de grand classique comme la romance espagnole que j'avais entendue en regardant le film. J'adorais attaquer ce truc tendre à la contrebasse et ça inspirait les copains qui se lâchaient sur le thème qui nous inspirait. Tout le monde reconnaissait le morceau même si c'était chaque fois différent. Et si on a eu un certain succès, ce n'est pas qu'on n'avait des bases ni qu'on travaillait nos morceaux, nous, ce qu'on aimait, c'était faire du bruit qui nous plaisait et ça plaisait.

Si je raconte ça, c'est que ce qui m'horripile, ce sont ceux qui choient les bosseurs, même les moins doués et qui méprisent les déconneurs, même les plus doués. Çà, ce n'est pas sympa pour eux, ni pour les bosseurs qui sont mauvais mais ont l'illusion d'être bons, ni pour les déconneurs qui sont bons mais ont l'impression d'être mauvais, et c'est trop de vie gâchées.

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Il y a 2 heures, MarcoP0l0 a dit :

Il y avait un soupçon d'humour quand je disais que je n'étais pas du tout d'accord avec toi d'où le laule à la fin.

Ceci dit, l'improvisation mille fois répétée est une chose qui me tient à cœur car c'est de cette manière que je fonctionne pour acquérir une technique quel qu’elle soit même si cela me vaut mille et une critiques. Ça m'a valu beaucoup de problèmes, surtout à l'école où il fallait rentrer dans le moule et bosser dur pour réussir mais je suis quand même rentré à l'université avec une année d'avance sur les copains qui étaient vachement jaloux.

Adolescent, j'ai fait hurler une guitare électrique sans jamais avoir appris la musique. Pas longtemps car mon père trouvait que ça faisait trop de bruit mais j'ai quand même été intégré un groupe de hardrock pour remplacer le contrebassiste qui s'était pété le bras à ski. C'était du grand n'importe quoi comme les guggenmusik mais ça ne cassait pas les oreilles des filles ce qui était l'essentiel. On n'a jamais fait de répétitions mais on adorait se retrouver pour faire hurler nos instruments. On était trois, batterie, guitare électrique et contrebasse et la seule chose qui était réglée comme du papier à musique, c'est qu'à tour de rôle, on attaquait un truc et les deux autres copains suivaient selon leur inspiration du moment, parfois c'était bien et ont continuait, parfois c'était horrible et on s'arrêtait. Même si on faisait surtout n'importe quoi, on jouait quand même de grand classique comme la romance espagnole que j'avais entendue en regardant le film. J'adorais attaquer ce truc tendre à la contrebasse et ça inspirait les copains qui se lâchaient sur le thème qui nous inspirait. Tout le monde reconnaissait le morceau même si c'était chaque fois différent. Et si on a eu un certain succès, ce n'est pas qu'on n'avait des bases ni qu'on travaillait nos morceaux, nous, ce qu'on aimait, c'était faire du bruit qui nous plaisait et ça plaisait.

Si je raconte ça, c'est que ce qui m'horripile, ce sont ceux qui choient les bosseurs, même les moins doués et qui méprisent les déconneurs, même les plus doués. Çà, ce n'est pas sympa pour eux, ni pour les bosseurs qui sont mauvais mais ont l'illusion d'être bons, ni pour les déconneurs qui sont bons mais ont l'impression d'être mauvais, et c'est trop de vie gâchées.

Quand on sera plus enclin à accepter ceux qui sont différents plutôt qu'à les juger peut être qu'on économisera notre énergie pour des fin plus constructives.. À mon sens tout celà fait parti d'un certain art de vivre dans lequel toutes disciplines peuvent trouver leur perfectionnement, d'aucuns parlent de la maîtrise de l'esprit.

Edited by kaosmos
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Il y a 4 heures, kaosmos a dit :

Quand on sera plus enclin à accepter ceux qui sont différents plutôt qu'à les juger peut être qu'on économisera notre énergie pour des fin plus constructives.

Entièrement d'accord avec toi et pas seulement notre énergie mais aussi beaucoup d'argent, c'est pourquoi je milite pour le revenu universel de base car ça permettrait d'éviter à des marginaux de tomber malades à force d'être rejeté à ne rien faire de productif et ça couterait beaucoup moins cher à la société.

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il y a 3 minutes, MarcoP0l0 a dit :

Entièrement d'accord avec toi et pas seulement notre énergie mais aussi beaucoup d'argent, c'est pourquoi je milite pour le revenu universel de base car ça permettrait d'éviter à des marginaux de tomber malades à force d'être rejeté à ne rien faire de productif et ça couterait beaucoup moins cher à la société.

Et puis la notion de productivité est relative, on dit que t'es un feignant qui ne bosse pas dès lors que la valeur de ton activité ne s'intègre pas dans l'économie de marché. Des marginaux qui passent leur temps à des taches constructives pour tout un chacun ça existe aussi même s'ils sont au crochet des allocs, et parfois , ils sont bien plus utiles pour le bien commun que des cadres grassement payé pour demander de faire des trous pour les reboucher ensuite, les bullshit job comme on les appel. Bref c'est cool qu'il y ai encore des gens pour accepter les marginaux, vu comment les choses tournent nous on se fait du soucis.

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