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ishi78

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Everything posted by ishi78

  1. c'est surtout l'escalade pour reprendre les flèches qui était "technique" Ouais, bon on va dire ça comme ça... L'après-midi était effectivement moins humide que la matinée pour le tir à l'arbalète Alors, là effectivement il n'y a pas d'ambigüité, de bonnes rencontres, des "sud-ouestistes" (ou sud-ouestiens ?... ) qui ont poussé loin vers le nord pour notre plus grand bonheur. :37: Essai transformé ! :24: :24: :24:
  2. :100: Désolé, mais je revendique les droits d'auteur sur ce coup-là :109: Pedro n'y est pour rien... pour une fois :07:
  3. On ne saurait reprocher à Etnoc de continuer à apporter un vent de fraîcheur sur ce post !... Cependant la discussion autour de l'évènement qui nous est présenté dans ce documentaire présente un intérêt évident pour la connaissance des techniques médicales préhistoriques. La faiblesse du matériel disponible sur les sites de fouilles (non non, je ne contrepète pas :100: ) ouvre la place à un débat que je salue d'avance comme seul à même de faire avancer nos maigres connaissances. Il conviendrait néanmoins pour enrichir ce débat d'entamer au plus vite des travaux de reconstitution et d'archéologie expérimentale. L'appel à candidature est déclenché, qu'on se le dise.... :06: :33: :génial:
  4. Certains mots changent parfois de sexe genre en passant outre-Quiévrain.
  5. Ya sûrement un peu de ça... aussi. Moi ça ne sera pas une surprise, mais l'inconnue c'est le nombre de schtroumpfs (1, 2 voire 3... on ne sait jamais), donc l'inscription sera probablement un peu tardive, désolé. :bhaoui..:
  6. Je n'aurai qu'un mot : rafraîchissant ! Tant d'entêtement naïf et déconnecté de la moindre once de réalisme ça ne peut être que rafraîchissant. :107: Et ce rafraîchissement est clairement soutenu par certain délire verbal que je ne veux même pas souligner tellement il se suffit à lui-même. :115: En même temps il y a tout lieu de penser qu'un léger dépassement de la dose prescrite pourrait bien conduire à des effets secondaires dévastateurs.
  7. Bon, enfin, j'ai réussi à trouver le temps d'envoyer le chèque.... Ayé ! c'est parti. :109:
  8. ça devait bien arriver un jour.... Maintenant avant qu'il lui mette la pâtée à l'arc (et à quelques autres activités), il va faire chaud, faut pas rêver
  9. C'est probablement une peau d'antilope, mais il en existe une telle quantité d'espèces... Essaie sur Archasse, un des "africains" devrait pouvoir reconnaître facilement.
  10. La première des choses, comme tu l'as déjà écrit c'est de vérifier la force réelle F correspondant à l'allonge de 7,5cm. La valeur indiquée de 150lbs n'est généralement qu'une valeur théorique et à but essntiellement commercial. Ensuite tes équations sont correctes en apparence, mais je te conseille d'abord de tout laisser en unités conventionnelles : 150 Lbf = 667,23324225 N Pour Ep l'énergie potentielle accumulée dans l'arc, on a Ep = F x l /2 D'où Ep= 667,2 x 0,075 / 2 = 25,02 J Pour Ec, l'énergie cinétique du projectile on a Ec = 1/2 mV² D'où Ec = 0,03 / 2 x 60² = 54 J Il y a donc bien en apparence un facteur 2 entre les deux valeurs. Cependant l'Energie potentielle d'un ressort préchargé ne se calcule pas comme celui d'un ressort au repos à sa longueur initiale. En fait le graphe de la fonction F = f(L) n'a pas son origine en O, mais en A qui correspond à l'effort nécessaire pour amener l'arc à sa position bandée (valeur de précharge). L'énergie emmagasinée dans l'arc correspond à la surface cumulée du triangle et du rectangle bleu. Donc il faut pouvoir mesurer ou calculer cette valeur A et l'énergie potentielle devient donc : Ep = A x L + 1/2 F x L Pour déterminer la valeur de A, on peut essayer de mesurer la "puissance" à une allonge différente pour tracer la droite F = f(L) ou F = kL à partir d'un deuxième point. Avec ces deux valeurs, on peut déterminer le coefficient de raideur k de l'arc.
  11. Vloui, tu as vlapporté une pliste... Phil, il faudrait que tu enlèves tes gants pour taper sur le clavier
  12. Effectivement le Beryllium contenu dans le bronze CuBe1,9 standard est un métal lourd considéré comme toxique (au même titre que le cadmium). Cependant, outre le fait que le Beryllium est inclus dans le cuivre dans la proportion normale de 1,9%, chaque bout de limaille n'en contient que quelques microgrammes, soigneusement enrobés dans le cuivre, il faudrait donc se mettre en inhalation de bronze pendant quelques jours pour devenir intoxiqué. Même si le Be est maintenant prohibé en usage aéronautique, le CuBe1,9 est toujours toléré comme ne présentant pas de danger pour l'environnement et l'homme. Ceci dit, les inox comme le 17-4 PH sont à l'évidence bien mieux à même de satisfaire les besoins de l'ami jmc.
  13. Les alliages cuivre-zinc comme les laitons ne sont pas les plus résistants, et ils sont très nettement inférieurs aux aciers. Seuls les bronzes (cuivre-étain, cuivre-béryllium, cuivre-phosphore) peuvent s'approcher de certains aciers de bas de gamme à condition de bénéficier d'un traitement thermique approprié. Pour moi, il n'y a pas à chercher de matériau plus résistant qu'un acier fin au carbone apte au traitement thermique.
  14. Moi je ne demande qu'à croire ce qu'on voudra, du moment qu'on m'explique ce qu'est un pédoncule dans ce contexte...
  15. Les inconels (il y en a plusieurs variantes assez différentes) sont des alliages à base essentiellement nickel-chrome, très résistants à la corrosion, mais pas vraiment extraordinaires du point de vue caractéristiques mécaniques.
  16. La photo 37 présente un peu d'intérêt, mais la 72 a été visiblement ratée.... <_<
  17. Trop de culture tue la culture... :104: :bhaoui..:
  18. Je suis désolé, mais je n'ai vraiment pas compris la question .... De quel endroit tu parles ?
  19. Pour vous éviter de tomber dans des excès de pédanterie héllenistiques, je vous propose ce monument de culture.
  20. Tes précédentes photos permettaient effectivement de supposer que ton ébauche avait été taillée dans ce sens-là (transversalement à l'axe naturel du bois), on voit bien un peu de spongiosa dans le milieu. Je me suis quand même demandé s'il ne serait pas intéressant de tailler dans le sens longitudinal et de coller un insert dans un trou creusé là ou se trouvait la spongiosa. Maintenant ta solution me semble très sensée et la spongiosa est clairement dans une zone qui n'est pas sollicitée par les efforts qui se concentrent autour des crochets, du trou d'axe et du cran d'armé. S'il y a de la matière dure dans ces zones, il ne peut pas y avoir de fragilité.
  21. Ce n'est pas vraiment choquant. Mais il faudrait que tu jettes un oeil sur Arcs 1, les explications par le texte ne peuvent en aucun cas remplacer les petits schémas qu'on peut y trouver. Ce qu'il faut surtout comprendre c'est que la fabrication d'un arc consiste très souvent à enlever tout le bois qui entoure l'arc qui s'y trouve caché. Donc il faut d'abord regarder (plus ou moins longuement : il n'est pas nécessaire, voire nuisible de se presser) son "bout de bois" quel qu'il soit, pour entrevoir l'arc, trouver la courbure générale qui va définir le sens dans lequel on va tailler le bois. Généralement on essaie de tailler le ventre de l'arc du côté convexe (donc externe) de cette courbure pour bénéficier de ce qu'on appelle le "reflex" naturel du bout de bois. On n'enlève du bois que très doucement, uniquement du côté du ventre (qui sera l'intérieur de l'arc) en laissant le dos intact, ce qui est plus facile au début que d'arriver à rester sur un cerne en enlevant du bois. On laisse intact dans un premier temps la zone centrale qui deviendra la poignée, on enlève de la matière progressivement de la poignée vers le bout des branches. Dès qu'on a un peu ébauché un ventre, on trace la ligne de centre et les contours des branches (voir Arcs 1 pour les dimensions). On taille en suivant ces contours, puis il n'y a plus qu'à affiner progressivement l'équilibrage en travaillant toujours exclusivement sur le ventre.
  22. Je savais bien qu'il ne résisterait pas à cet appel du pied Pour confirmer ce propos par l'expérience, je peux dire qu'une pointe de sagaie en bois de cerf est parfaitement capable de survivre à un impact violent dans la muraille du château de Crépy... :bhaoui..:
  23. La résistance de ce matériau est assez étonnante. Il est d'une nature tout à fait identique à l'os mais avec un mode de croissance très différent puisqu'un bois pousse en quelques semaines alors qu'un os a évidemment une vitesse de croissance bien plus faible. L'os en croissance passe également par une étape semi-cartilagineuse au tout début, alors que le bois est directement assez dur dès le début (même s'il reste un peu fragile tant que le velours n'est pas tombé). Je vais essayer de trouver des informations sur la structure microscopique de ces deux matériaux (d'ailleurs d'autres membres devraient avoir des lumières sur ce point ) pour comprendre en quoi ils ont des performances aussi différentes. Le seul problème qui se pose pour une utilisation en tant que matériau, c'est la spongiosa qui occupe une part plus ou moins importante du centre. Je serais d'ailleurs intéressé de savoir comment tu as contourné ce problème dans le façonnage de cette superbe noix. J'ai cru voir que tla spongiosa était perpendiculaire à l'axe de rotation...
  24. Enfin une journée de M...e qui commence vraiment bien par un éclat de rire. :07:
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