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ishi78

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Everything posted by ishi78

  1. Effectivement, pas d'aubier différencié, au moins visuellement. On peut faire le dos directement avec la surface de la billette sous l'écorce. C'est un bois à grain très fin, quasiment sans noeuds, très agréable, voire facile à travailler et tout à fait adapté à la facture. :29: A la fracture aussi, mais c'est une autre histoire. <_< Ma seule recommandation issue de l'expérience : ne pas faire un decrowning trop prononcé si on veut faire un flatbow. En longbow, il ne devrait y avoir aucun piège particulier.
  2. Comme dit (un peu succinctement ) l'ami JMG, il faut utiliser une fausse corde qui soit pratiquement identique à la corde d'origine (même nombre de brins, tranchefil etc...) à 2 exceptions près : elle doit mesurer une petite dizaine de cm de plus et elle doit avoir des boucles de poupée sensiblement plus grandes (environ 3cm de long lorsque la boucle est pincée). On passe les boucles par dessus celles de la vraie corde, on arme l'arbalète en attrapant la fausse corde avec les crochets et on peut enlever la vraie corde une fois l'arbalète complètement armée. Ensuite on désarme la fausse corde en la retenant avec les crochets et on peut l'enlever (pour déposer l'arc par exemple). Si l'on veut juste changer de corde et qu'on a la corde de rechange sous la main, il est inutile de désarmer la fausse corde. Bien penser à passer les boucles de la vraie corde A L'INTERIEUR de celles de la fausse corde avant de les installer sur les poupées, sinon il faudra recommencer.
  3. En cire perdue d'alliages d'aluminium il y a deux techniques : le plâtre et la céramique. Seule la première est éventuellement accessible à l'amateur. Il faut suspendre le modèle en cire au centre d'une caisse et y couler du plâtre. Il faut au moins 20 cm de plâtre tout autour du modèle. Laisser sécher longuement, étuver lentement et longuement (ça fera fondre le modèle, il faut donc étuver "à l'envers" et prévoir un récipient pour récupérer la cire) Ensuite il faut utiliser des alliages compatibles de la fonderie (AS7G06 idéalement) Après coulée, laisser refroidir lentement, et décocher (c'est le terme usité) la carapace en plâtre par des moyens mécaniques (dégrossissage au burin-marteau, puis brossage brosse métallique).
  4. é....tion précoce ?... :oups: Solutions : baisser la puissance, et faire "de la paille" :bhaoui..:
  5. Il me semble qu'il y en a deux à Crépy. Mais je n'ai pas plus d'infos.
  6. Chez le marchand qui te l'a vendue... :bhaoui..: Sinon c'est chinois et je pense qu'ils n'ont pas prévu de mettre en place un réseau de vendeurs de pièces détachées, ni en France ni ailleurs. Enfin n'importe quel arc en fibre de la bonne puissance et des bonnes dimensions devrait pouvoir aller et on peut trouver des pièces pour des Barnett ou Horton en cherchant bien sur le Net.
  7. Petit garnement, dévoyé ! <_< Encore un qui va finir avec un bonnet d'âne avec tous ces trous de mémoire... Enfin il faudra bien qu'il s'assagisse s'il veut mériter que le Testeur officiel y poses ses mimines délicates. C'est mieux quand il y a moins de neige, hein ? :104: Sinon c'était quelle marque le rabot électrique :pfff: ?...
  8. Archer je te salue. Nous avions échangé occasionnellement il y a fort longtemps, ça m'avait suffi pour savoir que Baloo était un homme précieux. Sincères condoléances à ses proches.
  9. C'est sûrement un coup de Marthe Richard: la veuve qui clôt a encore frappé Bon, elle n'est peut-être plus très fraiche, on va dire ses descendants alors.
  10. Ce dépôt d'alliage cuivreux sur l'acier est en fait de même nature qu'une brasure forte. C'est très adhérent mais il n'y a pas formation d'un alliage fer-cuivre, l'interprénétration des métaux est quasi inexistante, et plutôt à l'échelle atomique. Pour obtenir une adhérence parfaite, il suffit que le métal de substrat (fer ou acier) soit nu, exempt d'oxydes (décapé avec un acide ou équivalent) et porté à la température de fusion de l'alliage cuivreux. C'est pour ça que ça "prend" mieux sur les armatures chauffées. Il faut également éviter la surchauffe qui peut entrainer une oxydation de l'alliage qui ne "mouille" plus.
  11. Les epoxy sont toujours thermodurcissables, contrairement à la résine Ferr-L-Tite qui est strictement thermoplastique.
  12. Les cuivreux s'oxydent comme tous les métaux, mais sensiblement moins vite que les ferreux. L'une des caractéristiques particulières des oxydes de cuivre (le "vert de gris") c'est qu'ils forment une couche de quelques microns qui est protectrice et relativement étanche à l'oxygène, ralentissant le processus voire le stoppant s'il n'y a pas de phénomène secondaire (abrasif ou chimique) qui entame cette couche protectrice. Les bronzes (à l'étain) résistent encore mieux que les cuivres "purs", surtout en atmosphère saline ; les autres alliages cuivreux sont soit trop fragiles pour un emploi militaire(laitons), soit inconnus au M-A (bronzes au phosphore ou au cobalt, maillechort). Les propriétés toxiques du vert de gris étaient évidemment connues, un usage d'empoisonnement des armatures cuivrées (plutôt que bronzées effectivement) n'est sûrement pas à exclure, même s'il n'est qu'accessoire. Le bronzage n'est pas un traitement électrochimique, c'est un traitement chimique pur, en l'occurrence une oxydation contrôlée par couches successives, avec accélération éventuelle par élévation de la température des bains de sels oxydants.
  13. Des traces de cuivreux pourraient à mon sens avoir 2 origines : un cuivrage superficiel pour éviter la corrosion, dans l'esprit de votre essai ou une brasure de la douille. La répartition des traces de cuivreux devrait permettre de se faire une idée plus précise. J'ai du mal à imaginer le premier usage, la rouille d'un enferron n'a pas que des inconvénients, on savait bien à l'époque que ça pouvait envenimer les plaies, même si on ne savait pas pourquoi. Par ailleurs avant qu'une pointe en acier soit bouffée par la corrosion l'arbalétrier aurait largement eu le temps de commencer à bouffer les pissenlits par la racine. Ce traitement parait cher, compliqué et d'une utilité douteuse.
  14. La hauteur de 7,33 mm est peut-être la flèche au repos, mais l'information la plus importante c'est la raideur indiquée par la valeur de 14,46 mm/kN : c'est la valeur du déplacement pour 1000 Newton. En prenant cette valeur dans l'autre sens, on obtient une raideur de 65,16 N/mm soit environ 6,5Kg par mm de déplacement. En unités "d'archerie", ça correspond à environ 15,5 lbs/mm ou encore 393,7 lbs/" ce qui donne un arc de 11023 lbs à 28"... Clairement ce n'est pas utilisable en l'état même pour une baliste, la structure de ton engin devrait être absolument monstrueuse.
  15. ishi78

    MON 6ème

    Oh, sûrement un coin mal famé :pfff: , peut-être même avec des gens douteux et des tristes sires à proximité :génial: :P :hihahiha:
  16. ishi78

    MON 6ème

    Je vois que le nouveau retraité trouve à occuper ses petites mimines... :29: :24: Pour le dernier la pointe est un poil trop fine pour un vrai skinner et ça doit la rendre sûrement fragile pour un travail en puissance. Mais ça lui donne un élégance toute JFienne. :109: L'autre point remarquable c'est comme l'a souligné GIL la qualité des assemblages, on voit que la main est sûre et habituée aux travaux de précision, la pratique assidue du modélisme a laissé des traces durables. :115: Ya plus qu'à installer une forge :107:
  17. C'est une question de temps : ton cerveau va (normalement ) rapidement comprendre que ce n'est pas vrai, que ça ne bouge pas ; il va corriger/compenser et la marée va redescendre. :109: Le seul truc auquel je n'arrive vraiment pas à m'habituer, c'est à baisser la tête quand je descend un escalier pour voir où je mets les pieds.
  18. T'es un peu d'jeun pour devenir presbyte, gamin! Bon, alors un autre vieux peut te confirmer tout ce que les autres ont dit avant, et j'ai comme toi l'avantage relatif d'avoir longtemps été myope et de le devenir de moins en moins. J'ai des progressifs de course, mais qui ont l'inconvénient d'avoir une zone sans correction de myopie sur les côtés, donc pour le tir (aussi bien à l'arc qu'à la carabine) c'est pas glop. Alors je pense sérieusement à reprendre des lunettes pour vision de loin seule, ma vision de près restant encore acceptable, j'arrive encore à lire sans lunettes, c'est juste pour voir à moins de 20cm que le problème se pose vraiment, donc je pourrais même prendre la marque, mais comme je ne sais pas écrire Les tireurs carabines (surtout âgés et à vision corrigée) ont généralement des lunettes spéciales (Knobloch) avec un champ de vision spécialement réduit. L'intérêt c'est de focaliser plus facilement et de concentrer la lumière dans l'axe idéal avec une position de tête reproductible. Pose la question à ton ophtalmo (quand tu auras réussi à avoir un autre rendez-vous d'ici 2 ans ) Pour le mal de mer, ça va passer, il faut juste penser à baisser la tête en descendant les escaliers, sinon... :27: Après ça devient automatique, surtout après une paire de chutes :05: Bienvenue au club et bon courage :37:
  19. Le tannage le plus naturel c'est le tannage à la cervelle... On dit habituellement que chaque animal possède une cervelle suffisante pour tanner sa peau. :108: Va voir sur Planète Zol, il y a un post complet sur le tannage des peaux de chèvre à la cervelle par les élèves de ZOL.
  20. JP, c'est juste la preuve, s'il en était besoin, que tu n'as pas encore 77 ans :P
  21. Rien à voir en terme de puissance ni même de design avec les merveilles de jmc, mais ça vaut le détour... :109: http://www.youtube.com/watch?v=QS4RKoRyTik&feature=player_embedded#
  22. Quand on voit les reproductions d'arbalètes réalisées par jmc, on comprend que l'arc et l'arbalète ont vraisemblablement eu des utilisations militaires totalement différentes. Une arbalète médiévale à moufle ou cranequin avec un arc en acier qui "titre" 250 à 300# est parfaite pour tirer précisément un vireton très lourd à une distance moyenne (50 m maxi) en tir "tendu". L'arc médiéval, lui, est fait essentiellement pour tirer à grande distance (150-200m) des flèches les plus lourdes possibles également mais qui ne feront jamais beaucoup plus que le tiers du poids d'un vireton. Mon expérience n'a qu'une valeur très relative et limitée. Elle avait surtout pour objectif de démontrer que l'arbalète était moins "dangereuse" qu'un arc et qu'un tir d'arbalète (avec des traits courts en alu) pouvait être arrêté par un paillon du même type que ceux qu'on utilise avec des compounds et n'était pas plus "destructeur".
  23. ishi78

    COUTEAU

    Tu aurais pu l'appeler Dr Jekyll and Mr Hyde :104: Je suis d'accord avec GIL (c'est pourtant difficile de départager des Gilles :107: )pour ce qui concerne la position. Par contre j'ai une petite réserve sur le fait de laisser ce trou brut dans la corne, un oeillet en laiton avec un arrondi à la sortie présente moins de risques d'abrasion du lacet ou d'écaillage de la plaquette. Pour le reste, j'ai encore dû essuyer mon clavier avant de pouvoir poster :bhaoui..: :115: :29: :24: :07:
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