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Cracoucass

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  1. … et recoller ensuite à la super glue afin que ça ne se voit pas… oui, ça me parait futé.
  2. Le kanji qui apparait sur l’une des poupées correspond au nom Katsura. Je suppose qu’il s’agit du facteur d’arc.
  3. Bonjour, Voici un yumi de facture récente dont je connais peu de choses. Je l’ai acheté à un importateur d’objets japonais dans un lot avec d’autres objets, bien qu’il m’intéresse moyennement. Je possède des arcs anciens dont l’esthétique me séduit davantage.Je regarde, je regarde mais je n’arrive pas à savoir s’il est fait à partir d’une âme de bambou laqué (mon impression au vu de quelques traces d’usage) ou s’il s’agit de fibre. Les connaisseurs de ce blog doivent savoir…
  4. La question est peut être de savoir quelles dispositions légales encadrent un ‘avis garanti’ et en quoi et de quelle manière il est ‘garanti’. En allant me balader sur ce site, j’ai quelques doutes puisqu’il apparait que cette société laisse le choix à ses clients vendeurs de ne pas afficher les avis négatifs.
  5. Bonjour, Deux bons livres concernant l'esprit et la pratique du Kyudo : - 'Kyudo, l'essence et la pratique du tir à l'arc japonais' de Hideharu Onuma - 'Kyudo, the way of the bow' de Flics Hoff Il y a également, bien sur, le grand classique sur le sujet de Eugen Herrigel, 'le Zen dans l'art chevaleresque du tir à l'arc' mais il est particulièrement hermétique et traite surtout de la philosophie du tir à l'arc japonais.
  6. Ah non, au temps pour moi ! Après des recherches approfondies, le nick name de la demoiselle est ´Elle Driver’ (correction pour les puristes).
  7. Arghhh…., l’infirmière de Kill Bill (alias Black mamba), superbe !
  8. Ben…un cache sur l’oeil. Et, en plus, c’est élégant et ça va avec tout.
  9. Bonjour, Les compétiteurs à la carabine qui tirent avec un oeilleton et un guidon utilisent depuis de longues années des paires de lunettes dont le verre de l’oeil directeur est muni d’un diaphragme qui réduit fortement le champ de vision. De la même manière qu’avec un objectif photo, une faible ouverture permet de voir nettement à la fois l’oeilleton, le guidon et la cible. Plusieurs opticiens commercialisent ce type de matériel.
  10. Ce que j’ai trouvé de plus commode, jusqu’à présent, ce sont les tubes plastiques - réglables en longueur - vendus en papéterie et destinés à transporter les grandes feuilles de dessin roulées. Ils existent dans différents diamètres. Je mets la moitié des flèches dans chaque sens et je n’ai jamais eu de problèmes lors de déplacements.
  11. Voici une photo du carquois. J'ai également mis en vente cet arc sur Archasse - avec son carquois - et je préfère donc ne pas les dissocier. Pour être honnête, je ne trouve pas que cet accessoire soit le mieux conçu dans la gamme BW. La réalisation est de bonne qualité mais il est lourd.
  12. Bonjour, Je vends un BW droitier monobloc, état neuf (utilisé 2 fois). Il s'agit d'un modèle PCH V. Il a été acheté en 2019 pour 1516 USD hors frais de douane. Je dispose de la facture. Longueur : 60" Puissance : 58 Allonge : 29 Je joins un carquois d'arc BW. L'arc est visible à Paris et je le propose à 750 Euros
  13. question : j'ai dans mes relations un vieux colonel de cavalerie je lui ai demandé pourquoi il y avait des gouttières sur les "lattes" * et les épées en général réponse : quand une lame est plantée profond dans un adversaire, l'effet de succion au retrait est important, d'autant plus que le sang vient s'insinuer entre la lame et la viande accentuant l'étanchéité de la "boutonnière" or le cavalier doit pouvoir retirer sa lame très rapidement puisque le cheval ne s'arrête pas (CF) ——— Bonjour CF, Je suis moi-même un (très) vieux ex officier de cavalerie mais pas suffisament vieux pour avoir connu les charges au sabre, légèrement obsolètes depuis l’entrée en scène des blindés durant la guerre de 14. Le sabre de cavalerie traditionnel de nos armées était, quoi qu’il en soit, fait pour couper mais surtout pour briser les membres et ‘démollir ‘ l’adversaire, dans la même logique que les masses en mouvement des chevaux. Même les sabres droits (les lattes) permettaient difficilement les coups d’estoc. A la fin des campagnes, le fil des sabres était d’ailleurs souvent passé à la meule pour émousser les tranchants et éviter les réglements de compte fréquents entre soldats démobilisés. Les gouttières contribuaient á la rigidité de la lame des sabres et servaient également á les alléger. La logique d’emploi des sabres est donc très différente de celle des rapières dont les gorges remplissaient effectivement la fonction que tu décris.
  14. ‘’sans savoir s'il n'était pas déjà en fin de vie active quand il a été remisé...’’ (Pedro) ——— … voici également une variable que je ne maitrise pas. L’arc restera donc sagement sur son socle en rêvant de ses vies antérieures.
  15. Dans un registre qui n’a strictement rien à voir avec le sujet, un RPM 360 m’a explosé à la figure, il y a deux ans (ma seule expérience de ce genre, après avoir maltraité une trentaine d’arcs classiques et une demi douzaine de ‘poulies’ ). C’est bien qu’il n’y ait pas eu de témoins parceque, dans le domaine du juron, je peux prouver que j’ai des ressources.
  16. Merci pour ta réponse, JMG. Pour expliciter un peu plus les raisons de ma démarche... Je suis collectionneur d'art japonais et, notamment, d'armes (sabres, en particulier) et d'armures. Les fourreaux (saya) de sabres sont très fréquemment recouverts de laque et les armures sont, le plus souvent, également enduites de laque, côté externe et aussi interne. A moins de s'être pris des gnons violents, ces objets ne bougent quasiment pas, même après plusieurs siècles, en raison des propriétés de la laque japonaise et de son élasticité. J'ai restauré récemment une armure d'un peu plus de 250 ans (ère Edo) et la seule chose qu'il a fallu intégralement changer était la tresse en soie (odoshi) complètement moisie et bouffée aux mites. La laque intérieure s'était décollée par endroits mais, surtout, avait conservé son élasticité et son intégrité. ...d'où ma question initiale sur l'évolution, dans le temps, des propriétés d'un arc en bambou couvert d'une laque japonaise qui le conserve de manière quasi étanche. Quoi qu'il en soit, je rejoins votre avis concernant le risque de tenter l'expérience sur cet arc.
  17. Je laisserai donc le vénérable se reposer.
  18. Bonjour, Une question adressée aux spécialistes de l'arc japonais. Ce yumi traditionnel mesure environ 218 cm et son âme, ainsi que ses ligatures en bambou paraissent en bonne condition de même que ses poupées et l'état de sa laque. Il y a quelques années, je l'avais 'soclé' en raison de son ancienneté (ère Meiji). Depuis longtemps, je me dis que j'aimerais bien voir son aspect, une fois bandé, ce qui fiche un peu les jetons compte tenu de sa forme fortement réflexe. A votre avis, quel est le risque de casse d'un arc d'un peu plus de 100 ans, compte tenu des propriétés du bambou ? (si ça craint trop, je ne tenterai évidemment pas l'expérience) (Ci-joint, photos de l'arc, de sa poignée et d'une poupée)
  19. Bonjour à tous, Je me présente, Cracoucass, chasseur à l’arc depuis un peu plus de 30 ans et fana des arcs traditionnels, recurves en particulier. J’utilise également beaucoup les poulies, dont les aspects fonctionnels font, en partie, oublier la mocheté intrinsèque. Je suis heureux de vous rejoindre, en raison de la diversité de vos rubriques dont plusieurs répondent à des centres d’intérêt anciens, notamment l’arbalète.
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