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ArcDeBouleau

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  1. j'ai 16 as et je suis en secondaire 5. le programme pei (programme d'éducation international) c'est un programme ou l'on voit plus de choses qu'au régulier et ou l'on doit faire un projet durant notre dernière année pour obtenir notre diplome pei (en plus de celui du secondaire normal) en gros tout ce que ce diplome fait c'est augmenter notre cote R au cegep
  2. merci, je vais reformuler et amélioré selon vos commentaires :)
  3. j'ai besoin de vos commentaires pour savoir si ma recherche est complète: Evolution de l’arc au fil du temps Le premier type d’arc abordé ici est l’arc droite, fait en bois et dont l’utilisation remonte à plus de 50 000 ans. Bien évidemment il y a eu différentes variantes de cet arc puisque chaque peuple avait ses besoins différents et ont donc adapté leurs arcs à ceux-ci. Prenons exemple sur les Amérindiens qui utilisaient un arc très long alors que plus tard les Chinois avaient adopté une version plus courte de cet arc pour en équiper leur cavalier lors des batailles. Bien plus tard, cet arc est revenu à l’honneur grâce à une association de Grande-Bretagne appelée la « british Long Bow Society ». Elle a fixé les normes de cet arc pour le tir à l’arc compétitif mais en gardant tout de même l’essence du modèle original. Le deuxième type dont il est question est l’arc à double courbure. Aussi appelé arc galbé, c’est un arc est plus puissant que l’arc droit dû à la double courbure des branches. Ce n’est qu’en 1950 que ce type d’arcs a fait son apparition, grâce aux nouveaux matériaux comme la fibre de verre ou le plastique. Les arcs n’étaient plus faits de bois mais de composite, un mélange de bois et de fibre de verre. Les premiers arcs de ce genre étaient faits d’une seule pièce. Cependant, l’arc d’une seule pièce présentait quelques inconvénients comme l’impossibilité de modifier la force des branches. De plus, il est encombrant et peu facile à ranger, ce qui rend ses branches vulnérables aux chocs qui pourraient les endommager. Ce n’est qu’en 1972, aux jeux olympiques de Munich, que l’arc à double courbure démontable fait son apparition. De nos jours certains fabricants ajoutent de la fibre de carbone dans la composition des branches. Ceci ajoute de la résistance à la traction et donc une plus grande puissance de propulsion. Le troisième type d’arc cité ici est l’arc à poulie, aussi appelé arc compound. Ce dernier a été inventé en 1961 par M. H. W. Allen, un chasseur américain à l’arc. Il avait coupé l’extrémité courbée de ses branches d’arc et leur avait ajouté des poulies. Plus tard, en 1965, il remplaça les poulies ordinaires par des poulies excentriques et obtint d’encore meilleurs résultats. En effet ce type d’arc propulse une flèche une fois et demie plus rapidement qu’un arc à double courbure ayant une traction égale. Il nécessite aussi beaucoup moins de force d’activation. Pour 50 livres de traction, il a une propulsion réelle de 150 livres !
  4. je vais devoir reformuler mes phrases car il semblerait que vous compreniez tous que j'ai sablé le dos de l'arc mais je n'y ait pas touché car je sais bien qu'il ne faut pas y toucher: j'ai sablé l'intérieur pour obtenir l'épaisseur que je voulais et c'est du au manque de temps que je n'ait pas utilisé une lame. pour le bouleau je sais bien mais il y est inscrit que c'est parce que c'est tout ce que j'avait sous la main. sinon pour la partie évolution j'aurais besoin de commentaires pour mon rapport( si vous avez le temps d'y jeter un oeil). merci
  5. merci bien mais je ne vais pas me faire d'habits : la fabrication et la publication étaient pour un projet d'école... pour mon rapport j'ai besoin de commentaires sur la recherche sur l'évolution: si vous avez le temp j'aimerais votre avis (la partie démarche devais être publiée pour mon projet mais c'est sur la partie évolution que j'ai besoin de commentaires.)
  6. daccord mais pour les étapes j'ai suivi tout les tuto que j'ai pu trouver. par contre je reconnais que je peut paraitre "merdique" étant donné le bois utilisé et que cela ridiculise mon projet mais c'est parceque c'est le seul bois que j'avais sous la main... mais sinon pour la partie évolution de l'arc au fil du temp est-ce véridique?
  7. j'ai obtenu un arc qui peut tiré et qui a une tout de même bonne puissance étant donné le bois utilisé (30livres). mais sinon pour la partie sur l'évolution au fil du temp est-ce correct?
  8. je nai pas pass/ le dos a la ponceuse et je sais pour boulot mais j<ai inscrit une remarque disant que c<est tout ce que j<avais sous la main et j<ai obtenu de bons r/sultats.
  9. Bonjour, Cette année, en secondaire 5 au programme P.É.I, nous devons tous faire un projet personnel pour avoir notre diplôme, le mien a été de créer un équipement d'archerie traditionnel: l'arc, les flèches et le carquois. De plus, j'ai dû faire une recherche sur l'évolution de l'arc au fil du temps. Pour mon rapport, j’ai besoin de vos commentaires portant sur la qualité et la véridicité de ma recherche. J’ai investi beaucoup de temps dans ce projet (surtout dans la création) et ainsi j’aimerais que seul les commentaires constructifs (positif et négatif tant qu’ils sont constructifs) soient postés. Merci d'avance pour vos commentaires. (Désolé pour le long texte mais je ne pouvais pas simplement insérer le ficher, car il était trop gros.) Étapes ARC *** Remarque : Pour cet arc j’ai utilisé un bouleau. Je sais que ce n’est pas l’arbre idéal mais j’ai utilisé ce que j’avais sous la main. 1 : Trouver un arbre bien droit et n’ayant pas de nœud ou de branches. 2 : Couper la longueur du tronc qu’il vous faut. Celle-ci est déterminée par la grandeur du tireur. Mesurez-vous et utilisez cette mesure sur le tronc. Il est préférable de couper le tronc au mois d’aout alors que le bois est gorgé de sève. 3 : Fendre le tronc en deux parties. 4 : Une fois le tronc coupé en deux il est temps de commencer à enlever l’écorce sur l’une des moitié ainsi que la couche superficielle du bois. Une fois terminé, on ne verra que le bois dur. Si vous utilisez le bouleau, il est normal que le tronc commence à brunir une fois la couche superficielle enlevée. C’est le contact de l’air avec la sève. (Voir la photo ci-dessous). À droite il y a le bois que l’on veut garder et à gauche ce que l’on doit enlever pour obtenir le bois de droite. Cette couche superficielle est très facile à enlever avec un canif. 5 : Il est maintenant temps de commencer à amincir le tronc sur la largeur. J’ai utilisé une hache pour cette tâche, mais pour réduire considérablement le temps de fabrication vous pouvez utiliser un banc de scie pour la largeur. 6 : Une fois la largeur suffisamment réduite, je vous conseille de vous faire un modèle papier des branches de l’arc. Recopier ensuite la forme voulue sur le tronc. Soyez certains de tenir compte de la poignée dans le calcul de la mesure des branches. Pour mon arc de 66 pouces de long mes branches mesurent 4.4 cm à leur plus large et 2 cm à leur extrémité. 7 : Une fois la forme tracée, il est temps de réduire les branches jusqu’à ce qu’ils soient de la forme désirée. Pour ce faire, je vous conseille fortement d’utiliser une sableuse à courroie puisque celle-ci est munie d’une fonction qui permet de la faire fonctionner sans tenir le bouton et en la renversant sur le dos de sorte que le papier sablé est sur le dessus. Cette technique permet de promené l’arc sur la sableuse sans avoir besoin de soulever la sableuse car celle-ci est beaucoup plus lourde que l’arc. Réduisez donc la largeur des branches jusqu’à ce qu’elle épouse la forme tracée précédemment. 8 : Lorsque la forme des branches et l’épaisseur de l’arc sont réglées, il est temps de travailler sur la poignée à l’aide d’une lime à bois pour la rendre confortable à la main du tireur. Lorsque la forme vous plait, sablez-la avec du papier sablé d’environ 150 grains pour la rondir et la rendre plus douce. N’hésitez pas à la retravailler si votre main ne retombe pas dans la même position à chaque fois. (La photo ci-dessous résume les étapes 6, 7 et 8) 9 : Après les branches, c’est au tour de l’épaisseur d’être diminuée. Pour cette étape ci, j’ai utilisé la même méthode qu’à l’étape précédente : promener l’arc sur la sableuse à courroie tournée sur le dos. Dépendamment du type d’arbre utilisé, je vous laisse juger de l’épaisseur des branches étant donné que certains arbres sont plus raides que d’autres. Vous ne devez pas sabler la couche extérieure du tronc, celle qui apparait en brunâtre sur la photo ci-dessus, ne sabler que l’intérieur Vous devez aussi penser à ne pas réduire tout l’arc à la même épaisseur partout. Par cela je veux dire de laisser une bonne épaisseur pour la poignée que vous personnaliserez plus tard. 10 : À cette étape on peut dire que votre arc est terminé en général. À l’aide d’une scie créez des encoches avec un angle de 45 degré vers l’intérieur. Sur mon arc l’encoche commence à 1 cm de l’extrémité du coté extérieur et à 2 cm pour l’intérieur. Ces encoches permettront de faire tenir la corde sur l’arc. (Voir la photo ci-dessous). Notez que les encoches seront élargies par rapport à la photo. 11 : Achetez une corde de (la longueur de l’arc -4 pouce) et la poser sur l’arc. Vous pourrez maintenant observer que l’une des branches plie plus que l’autre. C’est normal et pour y remédier sablez, à l’aide d’une lime, la branche la plus raide. Faites attention d’enlever peu de matériaux car elles s’égaliseront bien vite. Passez donc quelques fois sur la branche avec la lime et bandez l’arc en tirant sur la corde. Si l’une des branches est encore plus raide que l’autre continuez avec la lime (sans oublier de bander l’arc de temps en temps) jusqu’à ce qu’elles soient égale. 12 : L’arc est maintenant terminé. Il ne reste plus qu’à le sabler avec un papier sablé très fin (300-400 gains) pour enlever la couleur brunâtre et ainsi faire ressortie la belle couleur du bouleau. Pointes de flèches 1 : Achetez des os à soupe et les faire cuire 2 : Coupez les os en rectangle à l’aide d’une scie à ruban ou tout autre outil faisant l’affaire. 3 : À l’aide de la même sableuse à courroie utilisée précédemment rendre l’os triangle. 4 : Mettre l’os dans un étau et utilisez un drumel pour rendre les coté pointus. 5 : Réduire l’épaisseur de l’os sur environ 1 cm à la base de la pointe pour qu’elle loge dans l’encoche sur la flèche (voir plus bas). Flèches 1 : Trouver des branches ou des aulnes d’une grosseur respectable et qui sont droites. 2 : Dans la même journée enlevez l’écorce de la branche ou de l’aulne et faites les ensuite sécher le plus droites possible. 3 : Une fois séchée il est temps de choisir leur longueur. Choisissez une longueur qui va bien avec le band de l’arc, c’est-à-dire la distance entre la poignée et la corde lorsque l’arc est bandé. 4 : Couper les flèches à la longueur choisie. 5 : Dans l’une des extrémités, faites une encoche pour permettre à la corde de s’y loger. 6 : Dans l’autre extrémité, faites une encoche encore plus creuse pour y insérer la pointe de flèche. 7 : Coller, sur la première extrémité, trois plumes en respectant le même espace entre chaque plume. Pour ce faire, utiliser de la colle krazy glue, car elle sèche rapidement. 8 : Insérer les pointes de flèches dans l’encoche et coller le tout à l’aide de krazy glue. Carquois 1 : Récupérer l’écorce d’une bûche en la coupant sur la longueur pour ensuite la détacher de la bûche. 2 : Plier l’écorce en deux et percez des trous dans le bas et sur le coter. Pour faire ceci sans briser l’écorce, utilisez un marteau et un poinçon. 3 : Récupérer une très longue racine et si elle est trop grosse la couper en deux ou quatre. 4 : Passer la racine dans les trous précédemment percé. *** Mon carquois est en deux morceau et c’est parce que je n’avais pas de buches assez longue. Néanmoins passer la même racine dans les deux les maintient fermement ensemble. Évolution Le premier type d’arc abordé ici est l’arc droite, fait en bois et dont l’utilisation remonte à plus de 50 000 ans. Bien évidemment il y a eu différentes variantes de cet arc puisque chaque peuple avait ses besoins différents et ont donc adapté leurs arcs à ceux-ci. Prenons exemple sur les Amérindiens qui utilisaient un arc très long alors que plus tard les Chinois avaient adopté une version plus courte de cet arc pour en équiper leur cavalier lors des batailles. Bien plus tard, cet arc est revenu à l’honneur grâce à une association de Grande-Bretagne appelée la « british Long Bow Society ». Elle a fixé les normes de cet arc pour le tir à l’arc compétitif mais en gardant tout de même l’essence du modèle original. Le deuxième type dont il est question est l’arc à double courbure. Aussi appelé arc galbé, c’est un arc est plus puissant que l’arc droit dû à la double courbure des branches. Ce n’est qu’en 1950 que ce type d’arcs a fait son apparition, grâce aux nouveaux matériaux comme la fibre de verre ou le plastique. Les arcs n’étaient plus faits de bois mais de composite, un mélange de bois et de fibre de verre. Les premiers arcs de ce genre étaient faits d’une seule pièce. Cependant, l’arc d’une seule pièce présentait quelques inconvénients comme l’impossibilité de modifier la force des branches. De plus, il est encombrant et peu facile à ranger, ce qui rend ses branches vulnérables aux chocs qui pourraient les endommager. Ce n’est qu’en 1972, aux jeux olympiques de Munich, que l’arc à double courbure démontable fait son apparition. De nos jours certains fabricants ajoutent de la fibre de carbone dans la composition des branches. Ceci ajoute de la résistance à la traction et donc une plus grande puissance de propulsion. Le troisième type d’arc cité ici est l’arc à poulie, aussi appelé arc compound. Ce dernier a été inventé en 1961 par M. H. W. Allen, un chasseur américain à l’arc. Il avait coupé l’extrémité courbée de ses branches d’arc et leur avait ajouté des poulies. Plus tard, en 1965, il remplaça les poulies ordinaires par des poulies excentriques et obtint d’encore meilleurs résultats. En effet ce type d’arc propulse une flèche une fois et demie plus rapidement qu’un arc à double courbure ayant une traction égale. Il nécessite aussi beaucoup moins de force d’activation. Pour 50 livres de traction, il a une propulsion réelle de 150 livres !
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